On le savait déjà, mais il n'est pas inutile de le rappeller, le prétendu catholique Golias fait bien partie des loups dévorants auxquels Benoit XVI a fait référence à l'occasion de la déformation médiatique, (déjà) de ses propos sur le préservatif. Dans sa dernière livraison, le ridicule s'ajoute à la malveilance habituelle. Concernant "l'appel à la vérité pour plus de déontologie envers l'Eglise et le pape", Golias n'a pas peur d'écrire :
Peu importe le nom des signataires. Même si certains sont prestigieux comme ceux de l’écrivain François Taillandier (sans doute bientôt académicien...), de Claude Bébéar, de Denis Tillinac, des philosophe Rémi Brague et Jean-Luc Marion, de l’historien Jean Chélini, de Chantal Delsol, du mathématicien Laurent Lafforgue, de Gérard Leclerc, du comédien Michael Lonsdale. Sans même parler de la parodiste Frigide Barjot, à l’origine du projet. Au passage on y trouve aussi des figures aussi connues pour leurs positions conservatrices, ou réactionnaires, que le député-maire Jean-Marc Nesme, le journaliste Philippe Oswald (« Famille chrétienne »), l’écrivain Patrice de Plunkett, Ivan Rioufol, Jean Sevillia ou Christian Vanneste (tiens donc !). On est plus surpris et peiné d’y trouver Henri Tincq. Qui se montrait plus lucide dans ses articles du Monde. Passons.
Thomas
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