Parce que nos divisions sont la meilleure manière de créer la machine à perdre.
Parce que les querelles de personnes ne devraient pas prendre le pas sur les idées qui nous rassemblent.
Parce que ce qui nous rapproche est plus important que ce qui nous sépare.
Parce que l’état de notre pays, de notre civilisation, nous demande de nous serrer les coudes et de faire Front…uni.
Ce que nous sommes
La majorité silencieuse des sympathisants du FN, et plus largement de la cause nationale.
Les dizaines de milliers de voix qui se sont réfugiés dans l’abstention, suite aux scissions successives.
Des militants écoeurés que l’intérêt national soit subordonné aux ambitions personnelles, aux disputes, aux divergences artificielles, d’où qu’elles viennent.
Nous avons nos préférences, certains soutiennent plutôt Marine, d’autres Bruno, mais cela ne nous empêche pas d’être d’accord sur l’essentiel.
Ce que nous voulons
Un signal fort, un vrai message d’unité pour faire du FN une machine à gagner, pas seulement les élections, mais un parti apte à gouverner.
Ce que nous proposons
Bruno Gollnisch, président du FN – Marine Le Pen, candidate à la présidentielle
Nous voyons...
En Bruno Gollnisch, le militant infatigable de la cause nationale, le plus fidèle lieutenant de Jean-Marie Le Pen, la tête pensante du mouvement qui a développé une remarquable vision générale de notre combat pour la France dans son appel de Saint-Denis.
Le rassembleur des cadres de la droite nationale, indispensable pour faire du FN un vrai parti de gouvernement.
Celui qui peut réconcilier tous les nationaux afin qu’ils cessent de se tirer dans les pattes, et qui, à défaut de pouvoir à nouveau travailler ensemble, apprennent au moins à travailler dans le même sens.
Bruno a l’expérience militante, il a été responsable d’une des plus importantes fédération du mouvement, ce qui, avec sa hauteur de vue, le qualifie pour diriger le Front.
En Marine Le Pen, la femme et mère de famille qui a hérité de beaucoup des qualités de son père, celle dont la niaque sur les plateaux télévisés, la répartie de Sniper, et la notoriété médiatique, font la meilleure opposante à Nicolas Sarkozy, et qui pourra réunir le mieux l’électorat populaire.
Marine, par son ressenti médiatique, sait toucher le peuple mieux que personne. Elle porte le nom, la marque Le Pen. Elle est la mieux placée pour la présidentielle.
Vous avez peut-être des perceptions légèrement différentes, PEU IMPORTE.
Ce qui compte, c’est que nous sommes intimement persuadés que l’un ne peut réussir sans l’autre.
Marine, 1ère opposante de France à Nicolas Sarkozy, pour porter nos idées à la présidentielle.
Bruno, l’homme d’Etat, pour donner le cap et pour gouverner.
Loin de tout esprit polémique, il ne s’agit pas ici d’opposer Marine à Bruno ou Bruno à Marine, mais de discerner objectivement ce que l’un et l’autre fait de mieux.
Le Ticket, c’est la garantie :
- De nous priver d'aucun talent et d'aucune des compétences complémentaires de nos deux candidats.
- Pour ceux qui craignent que les fondamentaux du Front soient bradés, de l'arbitrage de Bruno, qui reste le gardien des fondamentaux.
- Pour ceux qui craignent le retour de dissidents, de la condition préalable à tout passage à la commission de réintégration, un soutien loyal à la candidature de Marine pour les présidentielles.
- Pour ceux qui ne souhaitent pas retourner au FN, d'une union des patriotes sur le modèles de 2007 avec un arrêt immédiat des critiques.
On nous oppose...
...la distinction des rôles, une idée peu répandue ? Allons, donc !
Les deux fonctions de président de parti politique et de candidat n’appellent ni les mêmes qualités, ni les mêmes compétences.RIEN dans les statuts du Front ne l’empêche.
Une distinction commune en Europe...
Cette distinction est très répandue dans les partis européens. C’est le cas des droites nationales de bien des pays et des plus importants d’entre eux.
- Le Vlams Belang
- Le FPÖ
... Et en France:
Eva Joly, Dominique Straus-Kahn, ne sont pas présidents de leur partis, ils sont pourtant présidentiables avec d’excellents sondages !
Jean-Marie Le Pen lui-même, s’est toujours défendu d’être le candidat DU Front National, mais plutôt le candidat soutenu PAR le Front National. Il avait son programme de campagne, qui n’était pas rigoureusement celui du FN.Cette distinction, artificielle à l’époque, permettait d’insister sur le fait que Jean-Marine n’est pas le candidat d’une caste et d’un parti, mais le candidat du peuple.
La distinction réelle des rôles n’en a que plus de sens, valorisant la candidature de Marine tout en permettant de rassembler la grande famille nationale.
... des exemples tronqués :
- Balladur a perdu, non parce qu’il n’était pas chef de son parti, mais parce que le chef du parti s’est présenté contre lui à la présidentielle, ce qui n’est pas la même chose.
- Ségolène a perdu, moins par le fait qu’elle n’était pas chef de parti, que par le fait qu’il y avait 10 chefs de 10 partis. Elle a surtout perdue parce qu’elle était un pur produit marketing sans les compétences de la fonction à laquelle elle postulait, cela a finit par se voir...
Ce que cela nous apprend en réalité...
...C’est que la machine à perdre est enclenchée dès lors que le parti est divisé.Or Marine n’arrivera à rien sans Bruno, ni Bruno sans Marine. Si nos deux candidats n’envoient pas un signal fort d’unité aux militants, c’est la catastrophe assurée à long terme.
Le Front a perdu 80% des ses cadres depuis 1998. Ne rajoutons pas la division à la division. Arrêtez les attaques personnelles et les postures hypocrites!
Avec votre aide, et votre soutien, nous pensons qu’il faut leur envoyer un signal fort. Si nous parvenons, à nous rassembler, militants, sympathisants, cadres des deux camps, alors nous pouvons peser. Il en va de l’avenir de la droite nationale.
Rejoignez-nous sans tarder !!!
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