Quand les "chiens" se mettent à pleurer...
Ambroise
Quand les "chiens" se mettent à pleurer...
Ambroise
Rédigé le 09 août 2009 à 00h00 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, La vie des médias, Notre Eglise, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Tribune libre
La langue française est un attribut de souveraineté en France : c'est la langue de la République française (article 2 de la Constitution de 1958). Elle est également le principal véhicule de la pensée et de la culture française dans le monde.
Elle est une des trois langues internationales à être présentes et enseignées sur les cinq continents, une des six langues officielles et une des deux langues de travail (avec l’anglais) de l’Organisation des Nations unies, et langue officielle ou de travail de plusieurs organisations internationales ou régionales, dont l’Union européenne.Les patriotes ne peuvent que défendre le trésor inestimable qu’est la langue française et s’indigner de son délaissement par ceux qui prétendent représenter la France.
François RAZUMOWSKIRédigé le 27 juillet 2009 à 23h28 dans Economie et social, Identité, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 21 juillet 2009 à 03h06 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Constitution française, Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Identité, Le dimanche, c'est sacré !, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Raymonde LE TEXlER, Annie JARRAUD-VERGNOLLE (vice-présidentes de la commission des affaires sociales du Sénat), Christiane DEMONTES, Bariza KHIARI et Jean-Pierre CAFFET sénateurs socialistes signent une passionnante tribune contre le travail dominical. Extrait :
Tous les salariés, de tous les commerces, de toutes les villes dites «d'intérêt touristique», sur tout le territoire, devront travailler le dimanche. Dans ces communes, le travail dominical sera de droit. La notion juridique de «commune d'intérêt touristique» est une improvisation de dernière minute sans définition claire. En l'état, il est impossible de savoir si ces villes seront plutôt 500, ou 6 000. Toutefois, la France étant la première destination touristique au monde, il semblerait logique qu'on se rapproche de l'estimation haute. Et, quel que soit le nombre de ces communes, toutes les grandes villes de France seront concernées, donc la majorité des Français. Dans la capitale elle-même, alors que la création de «zones touristiques d'affluence exceptionnelle» était soumise à l'approbation des élus locaux, désormais ce sera le préfet qui décidera seul en lieu et place des élus, remettant ainsi en cause leur légitimité démocratique. Alors, oui, on peut dire sans exagérer que cette loi généralise le travaille dimanche.
Rédigé le 21 juillet 2009 à 02h47 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Identité, Le dimanche, c'est sacré !, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu chez Fromage Plus :
Rédigé le 18 juillet 2009 à 13h19 dans Culture de mort, Identité, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent
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rappelle Me Eolas à propos de l'appel du procès Fofana.
Ambroise
Rédigé le 16 juillet 2009 à 01h03 dans Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Tribune, Vie politique française | Lien permanent
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Me Frédéric Pichon explique longuement pourquoi la HALDE est nocive pour la France et les Français. Il conclut :
"Ensemble, tout devient possible"... y compris la fin de la HALDE. A condition d'essayer !
Rédigé le 16 juillet 2009 à 00h59 dans Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, Identité, Réacosphère, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent
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par Christian Vanneste, Véronique Besse et Dominique Souchet, députés de la nation
Il y a des combats symboliques. Aux yeux des pragmatiques, ils sont
comme les gestes du même nom, vains, inutiles parce que gratuits. Ce
sont cependant les plus importants car ils se réfèrent aux valeurs et
au sens.
Ainsi en est-il du travail du dimanche. En apparence, il s’agit de légaliser une pratique de fait dans certaines zones et pour certains types d’activité commerciale. En réalité, il s’agit d’une illusoire avancée économique qui masque mal un recul social et spirituel.
L’ouverture des magasins le dimanche ne créera aucune richesse supplémentaire. Elle n’augmentera pas un pouvoir d’achat qui s’étalera simplement sur un jour de plus au bénéfice de grandes surfaces spécialisées, fortement importatrices, et au détriment des commerçants indépendants, incapables par manque de personnel d’assurer une activité continue. Faut-il rappeler que ces entreprises emploient trois fois plus de personnel pour le même chiffre d’affaires que les grandes surfaces. Chez ces dernières, les généralistes ne montrent d’ailleurs aucun engouement pour cette mesure.
Sur le plan social, en revanche, le recul est évident. La liberté de choix des salariés sera un leurre. La vie familiale des employés du dimanche sera gravement compromise. Leur participation à la vie associative sera également perturbée. L’équilibre par les loisirs sportifs ou culturels sera pour eux hors d’atteinte. À une augmentation de salaire légitime correspondra une perte d’emplois dans les commerces incapables d’ouvrir le dimanche, une diminution de la participation à la vie sociale en dehors de la consommation de masse.
C’est là l’essentiel. La sourde complicité du libéralisme économique et du marxisme revêt de multiples visages. Celui du réductionnisme qui rétrécit l’homme jusqu’à n’être qu’un producteur-consommateur. Celui du relativisme qui tend à niveler toutes les distinctions essentielles à la vie humaine. Non ! Tout ne se vaut pas. Il est bon qu’il y ait des jours à part, où on n’accomplit pas les besognes quotidiennes. La différence entre le profane et le sacré est certes identifiée à la religion, mais c’est dans la mesure où comme l’a montré DURKHEIM celle-ci est inséparable de la condition sociale de l’homme.
Celui du matérialisme enfin pour lequel les valeurs et les institutions qui les incarnent ne sont rien auprès de l’individu et de ses besoins.
Les vrais libéraux, ceux qui s’inspirent de Constant et de Tocqueville savent que la liberté politique est plus importante que la liberté économique, comme la fin l’emporte nécessairement sur les moyens. Or, cette liberté n’existe que si la famille, les associations préservent leur autonomie entre l’État et le Marché car c’est dans cet espace qu’il peut y avoir du temps pour l’esprit et pour la personne. Sachons préserver cet espace et ce temps.
Rédigé le 15 juillet 2009 à 19h43 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Tribune, Vie politique française | Lien permanent
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La rédaction d'e-deo a prit position au sujet de l'annonce de l'interdiction du rappeur Orelsan de se produire au festival des Francofolies à cause de son clip intitulé sale pute, approuvant ainsi la décision de la député de Poitou-Charente Ségolène Royal. Une foi n'est pas coutume, je désapprouve personnellement cette décision et me permets de faire entendre un son de voix discordant avec notre rédacteur en chef préféré.
Il se trouve que j'ai pu visualiser le clip en question sur internet (pour prendre position sur une œuvre, je mets un point d'honneur à la voir dans son entièreté) et il ne m'a pas plus du tout, je l'ai trouvé brouillon, violent, vulgaire, immature, bref à l'image de ce qu'est systématiquement le rap de nos jours. Ceci étant dit, je ne peux que désapprouver une censure parfaitement incongrue et qui n'est motivée que par une idéologie féministe intrinsèquement haineuse, sectaire et porteuse de mort (banalisation de l'avortement, incitation à la haine des hommes, multiplication des suicides d'hommes engagés dans des procédures de divorce...). Venant de Ségolène Royal, la socialo bon teint (qui, par ailleurs, ne semble pas avoir beaucoup de problème avec l'islam, pourtant essentielle cause de vraie violence envers les femmes), une mesure aussi démagogique et opportuniste. Du reste, il me semble pertinent d'observer que la sortie d'un clip comme celui d'Orelsan (qui n'améliore certes pas la situation) n'est qu'une conséquence de cette mentalité instaurée par le féminisme le plus agressif et le plus sectaire qui domine depuis maintenant plus de quarante ans. par ailleurs, je remarque qu'aucune personnalité ne s'est levé pour dénoncé des clips de rappeuse incitant à la haine ou à la violence envers les hommes de la aprt des femmes, tel Confession nocturne de Diams et surtout Gare aux cons de Koxie, aussi vulgaire que le clip d'Orelsan (le mot con doit être prononcé au moins une bonne soixantaine de fois et je ne parle même pas de l'image des hommes véhiculées). Deux poids deux mesures donc. C'est pourquoi, à titre personnel, je désapprouve cette interdiction et ce boycott, du moins tant que de semblables mesures ne seront pas également appliquées aux clips de Diams et Koxie (et franchement, dans tous les cas, la musique française n'y perdra rien, bien au contraire). Cet avis n'engage évidemment que moi et je l'assume entièrement.
Raspail
Rédigé le 15 juillet 2009 à 13h11 dans Jeunes, Musique, Tribune | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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La Saint-Cyrienne, est l'association des élèves et anciens élèves de l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr. Voci le dernier édito de son président:
Paris 7 juillet 2009
En ce début d’été les sujets d’actualité sont nombreux et très différents. Il y a ceux qui, soi-disant, passionneraient le plus grand nombre, comme la mort d’un chanteur mondialement connu ou comme le transfert de joueurs de football. Cette médiatisation extrême paraît « invraisemblable », comme l’est le montant du transfert d’un seul joueur de football, équivalent à ce qu’à pu faire l’Armée de terre pour adapter ses équipements aux conditions des combats d’Afghanistan ! « Invraisemblable », et pour autant vraisemblablement exacte, l’information comme quoi 45% des professeurs des écoles (22% dans le privé) ont « posé » des arrêts maladie, bel exemple donné à ceux qui sont leurs élèves !
Ces derniers jours la loi de programmation militaire est passée au parlement, on en a peu parlé dans les médias. Les textes de loi sur la Gendarmerie vont être votés. Quelques experts, hors de l’institution, se sont discrètement exprimés et ce fut à peu près tout. Dans notre histoire les budgets militaires suscitaient davantage de débats mais il est vrai que c’était, alors, le premier budget de l’Etat.
La situation, est bien différente, dit-on partout, avec une crise économique bien réelle, un endettement record qui s’accentue, et des revendications catégorielles multiples de groupes de nos concitoyens qui attendent beaucoup trop de l’Etat ! Pour autant, comme pour susciter d’autres réactions, un ami m’a envoyé un article de Raymond Aron, écrit en 1947, où ce dernier rapproche « La Réforme intellectuelle et morale de la France » de Renan et « L’Etrange défaite » de Marc Bloch. L’un et l’autre livres appartiennent à un genre ingrat et nécessaire : l’autocritique nationale. L’un et l’autre recherchent les causes profondes d’un désastre français, celui de 1870 et celui de 1940. Pour Aron, « les ressemblances, dans le diagnostic et l’explication, n’en sont que plus constructives. Les trois idées maîtresses de Renan : notre défaite est une défaite intellectuelle, notre armée s’est sclérosée parce qu’elle était séparée de la nation, un pays divisé sur la question du régime est incapable de faire la guerre, se dégagent, analogues sinon identiques, du témoignage de Marc Bloch ».
Cet article, retenu par la revue Commentaire, N°124 Hiver 2008-2009, reprend des arguments sévères et parfois, à mon avis, justes, qui illustrent une certaine pauvreté intellectuelle et morale dans le haut commandement de ces époques. Je l’ai lu en ayant aussi en tête les remarquables chefs qui nous ont conduits à la victoire en 1918 et en 1945 et ceux qui avaient dénoncé des carences inacceptables. La critique trouve alors son équilibre.
Là où le développement, dans ce texte de Raymond Aron, me paraît étonnamment faible se situe dans une certaine incapacité à dénoncer les responsables politiques de ces années qui précèdent les guerres perdues. Ces derniers, qui ont choisi leurs chefs militaires, ont manqué de jugement ou plus certainement encore ont nommé de simples « bons exécutants » d’une politique de défense « en-dessous » de ce qu’elle aurait du être pour la France dans le contexte géopolitique des époques concernées.
Sommes- nous si loin de ces périodes noires en ce début du 21e siècle ? Le monde a profondément changé mais il reste instable et donc dangereux. Notre pays n’a plus d’empire colonial et sa puissance économique le place maintenant dans les bonnes puissances moyennes. Pour autant ses ambitions sont grandes en voulant défendre la liberté, renforcer les droits de l’homme et la sécurité dans le monde, protéger notre population et nos intérêts.
Il nous manque Raymond Aron pour décrire la situation présente, je l’aurais volontiers rencontré, avec d’autres, pour lui dire cette volonté de servir de nos plus jeunes camarades et aussi cette certaine inquiétude concernant l’avenir que je sens chez nombre d’entre eux. Eux, comme moi, ne sommes ni sourds ni aveugles.
Il nous manque peut-être aussi, dans le monde civil, des Renan et des Bloch, des âmes fortes, dans les mots et les actes. Déjà, les moins de trente ans ignorent, en grande majorité, le rôle de l’armée au service de la nation.
Le 25 juillet je serai, à Coëtquidan, au Triomphe de la promotion « Commandant Segrétain », au changement d’épaulettes de la « Lieutenant de Loisy » et au baptême de la nouvelle promotion. Les jeunes Saint-Cyriens ont choisi des parrains exemplaires pour débuter une carrière militaire, voilà qui est bien « réel », loin de « l’invraisemblable » du quotidien actuel.
Raymond Aron aurait pu reconnaître en la circonstance, que l’on peut « développer l’esprit de recherche et de discussion » chez les futurs officiers de 2009 tout en les préparant, en temps de paix, peut-être pas à des « vertus d’exception » mais à être forts dans des situations exceptionnelles.
Pour finir, je vous laisse méditer sur cette citation (1947) de Raymond Aron : « La vanité française consiste à se reprocher toutes les fautes, sauf la faute décisive : la paresse de pensée. »
Général de corps d'armée (2S) Dominique Delort
Promotion Lieutenant-colonel Brunet de Sairigné (67-69)
Rédigé le 08 juillet 2009 à 14h02 dans Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Le Rassemblement pour l'Indépendance de la France communique :
Quatre mois après les émeutes aux Antilles françaises contre la vie chère, Sarkozy propose aux Guadeloupéens et aux Martiniquais de se prononcer par référendum sur leur autonomie. En 2003, les électeurs de Martinique, tout comme ceux de la Guadeloupe, avaient refusé à 50,48 % l'instauration d'une collectivité unique. Sarkozy juge qu’après les événements passés, les citoyens de ces deux départements français sont mûrs pour « une décolonisation de l’esprit ».
On ne peut qu’être surpris de cette initiative qui ne répond en rien à une revendication et qui n’apporte rien aux problèmes économiques et aux urgences sociales des Domiens.
On ne peut que constater l’incohérence du Président de la République, quant à l’usage des référendums. Après avoir escamoté la décision du peuple français sur le projet de Constitution européenne, en imposant par la voie parlementaire le traité de Lisbonne, il réinvente la consultation populaire pour les départements d’Outre-mer.
Il s’agit ni plus ni moins que d’une manœuvre de diversion dont Sarkozy est familier pour évacuer les vrais problèmes.
Le RIF dénonce avec force ces procédés misérables qui sont indignes d’une authentique démocratie.
Rédigé le 08 juillet 2009 à 01h24 dans Economie et social, Identité, L'UE au quotidien, Tribune, Vie politique française | Lien permanent
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Tribune
Ce sont tout de même près de 48% des voix des électeurs d'Hénin-Beaumont qui se sont portées sur le candidat du Front National, Steeve Briois. Insuffisant cependant pour porter le mouvement national à la victoire. Mais face à cette coalition ripoublicaine, nos amis du Front National ont tout de même manifesté qu'ils étaient définitivement implanté à Hénin et qu'il sera difficile pour leurs adversaires d'ignorer leur voix au conseil municipal. Il reste que nous pouvons tirer au moins deux leçons de cet épisode.
La première leçon, c'est que le clivage politique ne se fait plus aujourd'hui entre la droite et la gauche, mais entre les tenants du mondialisme et les nationaux. Les premiers postulent la disparition des structures nationales sur lesquelles s'est pourtant construite l'Europe au cours des siècles au profit d'un mondialisme qui, absorbant les identités particulières, ne prendrait racine nulle part; les second affirment au contraire l'existence des communautés naturelles d'enracinement et d'appartenance que sont les nations, qui sont en même temps des protections évidentes face à la mondialisation. Loin de cet universalisme désincarné que défendent les internationalistes et autres mondialistes, les nationaux reconnaissent finalement l'existence d'un ordre naturel: leur défense de la famille et de la nation implique en effet la reconnaissance de certaines réalités naturelles que l'homme n'a pas décrétées mais dont il est naturellement tributaire. Quand leurs adversaires, niant ces réalités et dénonçant les valeurs traditionnelles, veulent fonder un ordre nouveau, ex nihilo, sur les cendre de nos traditions millénaires...
La seconde leçon que nous pouvons tirer de cette élection partielle, c'est évidemment, ainsi que le soulignait Maurras, que "tout desepoir en politique est une sottise absolue". Car en l'état, Steeve Briois et Marine le Pen ont créé à Hénin-Beaumont une formidable et, espérons le, inéluctable dynamique de redressement qui devra bien aboutir un jour, ainsi que le laisse augurer le très bon score qu'ils ont fait ce soir. Il reste que, la politique étant l'art de rendre possible ce qui est nécessaire, leurs efforts doivent s'inscrire dans la durée...
Rédigé le 05 juillet 2009 à 20h25 dans Culture de vie, Défendre la famille, Identité, Immigration, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Secrétaire Général Adjoint
Les artisans et commerçants
peuvent déjà ouvrir le dimanche : de droit, parce qu'ils n'emploient
pas de salariés, ou par le jeu des dérogations existantes. S'ils ne le
font pas, c'est parce qu'ils estiment que le travail 7j/7 est
déstructurant socialement, mortifère humainement et, tout simplement,
non rentable économiquement.
Secrétaire Général Adjoint
Rédigé le 04 juillet 2009 à 02h41 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Tribune, Vie politique française | Lien permanent
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Tribune
Mes chers amis,
Cette année encore, l’UMP, HandiPop et d’autres formations politiques de notre Majorité participeront à l’édition 2009 de la GayPride.
Attention, il y a un piège !
Si le combat contre les discriminations que nous menons au quotidien est bien légitime, nous devons pour autant faire extrêmement attention à ne pas nous laisser instrumentaliser.
En utilisant le slogan "A quand l'Egalité réelle", la thématique retenue par la GayPride 2009 ne peut que prêter à confusion entre un combat pour l'égalité des chances que nous soutenons tous, et une manipulation politique, pourtant condamnée par le Président de la République.
Peut être mon message ne vous fera pas changer d’avis. Mais je vous le redis, comme un conseil d’ami, il nous faut faire très attention, en tant qu'acteurs de la Majorité Présidentielle, de ne pas verser dans le communautarisme et la promotion de lobbys qui ne recherchent pas l'intérêt général de la société.
Amicalement et Sincèrement,
Christian Vanneste,
Député du Nord
Vice-Président du CNI
Membre du groupe UMP
Jérôme Besnard
Président des Jeunes CNI
Gonzague de Chantérac
Secrétaire Général des Jeunes CNI
Rédigé le 26 juin 2009 à 20h25 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Jean Degert signe pour le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine (site) une très intéressante analyse dont voici un extrait :
Jean Foyer, ministre du Général de Gaulle, avait mis en garde contre les conséquences à long terme de la dépénalisation de
l'avortement : « Vous allez
amener le Parlement à porter une atteinte au respect de la vie humaine et je
crains que cette atteinte ne soit suivie de beaucoup d'autres.» (1). Une certaine
conception du monde et de la vie (le terme allemand utilisé de ce côté-ci du Rhin également, de « Weltanschauung » rend davantage l'idée de
conception métaphysique et la profondeur des influences) préside à cette
nouvelle acception - voire à l'acceptation - de l'assassinat. La vie anténatale
n'étant plus sacrée, la mère ayant le droit d'arrêter sa grossesse puisque la
loi considère l'embryon et le fœtus comme des éléments de son corps, c'est une
nouvelle perception de l'humanité qui a pris forme. Une perception de
l'« anténatalité » par exemple défendue par le philosophe
Francis Kaplan au nom de l'absence d'autonomie du fœtus (2), peut dévier en une
perception du nouveau-né comme une
simple excroissance. Et l'infanticide est alors simplement considéré comme
un fœticide, lui-même jugé légitime.
Véronique
Courjault ne pouvait avorter en Corée, l'IVG n'y étant autorisé que sur
des critères médicaux et psychiques et avec l'accord du mari,
au nom de sa paternité. Elle s'est donc comportée comme si le filicide
de
l'enfant né participait du planning familial. Ses actes s'inscrivent
dans une
logique de plus en plus courante : celle de l'assassinat légitimé du
fruit
de ses entrailles né vivant quand l'avortement n'a pas été possible et
envisagé
auparavant. Le meurtre de son enfant handicapé en est
un exemple, les peines tendent à
devenir complaisantes. Cette nouvelle Weltanschauung
en lien avec la dépénalisation, la légalisation et - ou - la légitimation de
l'avortement comme moyen de contrôle des naissances (voire considéré comme un
moyen de contraception) semble de plus en plus prégnante. Une comparaison entre
deux sociétés - ou Etats - issu(e)s d'une même nation est édifiante. La Corée du Sud pose des
conditions à l'avortement, la Corée du
Nord non : l'IVG se fait à toute période de la grossesse et sans
l'accord du père.
Rédigé le 26 juin 2009 à 02h56 dans Avortuerie, Culture de mort, Délinquance, Histoire, La vie des médias, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Rédigé le 22 juin 2009 à 21h44 dans Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Jeunes, La vie des médias, Musique, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Annick du Roscoät
En subventionnant tous deux le festival Hellfest qui a lieu ce week end à Clisson, les deux présidents (du Conseil régional des Pays de la Loire et du Conseil général de Loire-Atlantique, NDLR) portent une lourde responsabilité.
Les chrétiens sont tolérants, mais il ne faut quand même pas pousser le bouchon trop loin et ici les limites du supportable sont dépassées.
Ce sont nos impôts qui servent à diffuser des message extrêmement violents. Comment s'étonner des violations de cimetières, d'actes de vandalismes ?
Au delà des attaques inadmissibles contre les fondements même de notre civilisation commune qui va bien au delà de la religion, la question qui se pose est : quel exemple voulez vous donner à notre jeunesse ?
Messieurs les présidents socialistes, ce n'est pas en versant dans l'outrance que vous regagnerez le terrain que vous avez perdu.
Vous avez mieux à faire en temps de crise avec les impôts que vous collectez. Le Conseil général doit faire face aux dépenses d'action sociale, d'aide aux personnes âgées et handicapées... Le conseil régional n'a-t-il plus aucun lycée, aucune route à améliorer, à construire ?
J'ai honte pour vous, quelle mouche vous a piqué ?
Rédigé le 19 juin 2009 à 18h09 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Identité, Jeunes, Notre Eglise, Satanisme, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Alain Dumait
Les résultats des élections du 7 juin obligent à tirer plusieurs conclusions.
1) Au plan national, la gauche n’a jamais été à la fois aussi divisée et, en même temps, aussi forte. Symétriquement, l’UMP n’a jamais été aussi dominant et aussi minoritaire…
L’extrême gauche est à 13 %, les Verts à 16 et les socialistes à 17. Total : 46 %. L’union de cet ensemble, pour difficile qu’il soit, n’est pas impossible, puisqu’il a eu lieu dans le passé récent (de fait, entre 1981 et 1995).
L’UMP est à 28 %. Avec les divers droite – notamment Philippe de Villiers –, on monte à 35 %. Mais personne ne peut raisonnablement penser que le Front national et autres mouvements dits d’extrême droite, qui, assemblés, ont obtenu 7 % des voix, puissent se réunir avec le parti du Président. Et le Modem de François Bayrou, réduit à 8,5 %, penche beaucoup plus à gauche qu’à droite.
C’est le premier et double paradoxe. Nicolas Sarkozy peut y trouver de nouvelles justifications de sa stratégie d’ouverture à gauche. D’autres – dont nous sommes – lui conseilleraient plutôt de cesser de faire la promotion de la culture de la gauche…
2) L’émergence des Verts est aussi impressionnante qu’inquiétante. Globalement, le parti de Cohn-Bendit fait presque jeu égal avec le PS. Mais, à Paris, où la sociologie de l’électorat, plus bobo que partout ailleurs, grossit les phénomènes nationaux et souvent les anticipe, les Verts font près de deux fois plus que le PS !
Or, Dany-le-rouge est depuis longtemps partisan d’un compromis très simple avec ses vieux complices/ennemis sociaux-démocrates, qui peut ainsi se résumer : « À eux les places, à nous le programme ». Je crains que, sur une telle base, l’accord se fasse assez facilement et assez rapidement.
Les Verts, en renonçant d’emblée au leadership, conforteraient leur influence réelle, qui est d’ores et déjà dominante dans les médias. Si 85 % des journalistes disent eux-mêmes voter plutôt à gauche, plus de la moitié de cette large majorité sont de sensibilité « écolo ».
C’est ce qu’on a encore vérifié avec la diffusion mondiale du film « Home » de Yann Artus-Bertrand, le 5 juin, ultime coup de pouce aux Verts. La politique dite de l’environnement est bonne pour les Verts, comme la politique dite du logement social, ou de l’aide sociale, est bonne pour la gauche.
En ce sens, les hommes politiques de droite, depuis trente ans, auront beaucoup fait pour apporter des électeurs à leurs principaux adversaires…
3) À ce point de mon raisonnement, certains me feront remarquer que je
me situe au plan de la politique politicienne. Mais il s’agit aussi
d’un choix de société, le plus grave jamais posé… Si les
catastrophistes de l’environnement et les réchauffistes du climat ont
raison, si notre planète est en péril, à l’horizon des vingt prochaines
années, alors il faut en effet fermer nos usines, en commençant par les
mines et les centrales électriques, obliger le tiers-monde à en faire
autant, et revoir complètement nos modes de vie et de consommation.
Car, au
nom du réchauffement climatique, c’est ni plus ni moins à la croissance
et au progrès, en commençant par notre liberté, que la terreur verte
nous demande de renoncer.
Or, ce réchauffement climatique, proclamé par la pensée unique, n’est pas du tout certain. Au pire, il serait assez faible ; et probablement moins « industriel » que « naturel » (le CO2 est plutôt le fait des vaches que des usines !…). De toute façon, les forces du marché sont plus efficaces pour s’y adapter que les réglementations étatiques.
Au nom d’un réchauffement climatique hypothétique, voulons-nous, oui ou non, renoncer à notre liberté ? Tel est l’enjeu de ce nouveau totalitarisme, dont les Verts de Daniel Cohn- Bendit constituent l’avant-garde. (Sur ce sujet, lire impérativement, de Vaclav Klaus : « Planète bleue en péril vert »)
4) On vérifie une fois de plus que les élections à la proportionnelle sont à la fois plus justes, mais aussi qu’elles ouvrent la voie à toutes sortes de manipulations.
Le 7 juin au soir, en moyenne, dans toute l’Union européenne, la droite et les conservateurs l’emportent. Et le 8 juin au matin, les écolos proposent une entente aux sociaux-démocrates pour essayer de barrer la route au président sortant de la Commission, Manuel Barroso, réputé de droite, en profitant de la dispersion des autres groupes.
On pense à certaines périodes de la Quatrième République, quand la victoire électorale d’un camp aboutissait à la désignation d’un Président du Conseil de l’autre camp…
Rédigé le 11 juin 2009 à 14h26 dans Culture de mort, Ecologisme, Economie et social, Elections européennes, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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