C'est la bonne nouvelle du jour.
Thibaud
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C'est la bonne nouvelle du jour.
Thibaud
Rédigé le 10 décembre 2009 à 19h56 dans Détente, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le débat actuel autour de la réduction des émissions de CO2 ne prend pas en compte les effets pervers des politiques publiques qui sont en train de se mettre en place pour les combattre. Alors que la poursuite du réchauffement climatique pourrait faire peser certains risques sur les pays du sud, et tout particulièrement les pays pauvres, certaines politiques publiques qui seront étudiées à Copenhague les exposent à des risques bien plus grands. Le développement du Sud serait en effet sacrifié sur l’autel d’un réchauffement climatique d’origine hypothétiquement anthropique (pour des résultats négligeables dans la lutte contre ce réchauffement qui plus est).
L’une des mesures négociées au sommet de Copenhague est l’instauration de droits de douane sur le CO2. En effet, depuis déjà plusieurs mois il se discute la taxation des importations provenant des pays avec des réglementations CO2 moins sévères. Pour convaincre les dirigeants des PED d’accepter une politique aussi dévastatrice pour leur croissance et développement, un autre des mécanismes importants est discuté durant ce sommet : les transferts des pays riches vers les pays pauvres.
Les droits de douane environnementaux sont annoncés comme complémentaires aux taxes carbone internes et autres permis négociables actuellement en discussion. Ces « droits de douane carbone » (défendus par le Président Sarkozy au niveau européen, et débattus au Congrès américain, ainsi qu’en Australie, en ce moment même) seraient mis en place pour ne pas désavantager les pays ayant adopté une taxe carbone. La principale crainte, et c’était l’objet du rapport Keller de juin dernier remis à l’UE, est la fuite des emplois vers des juridictions plus permissives en matière d’émissions carbone. Ce mécanisme devrait être efficace pour… condamner les PED à la pauvreté.
Au bas mot, le sort d’environ 4 milliards de personnes dépend du commerce international pour espérer voir leur condition s’améliorer. Ce nouveau protectionnisme les empêchera donc dans une large mesure d’échanger avec les pays (riches) adoptant une taxe carbone aux frontières. Ces pays du sud subiront donc une isolation économique encore plus grande du fait de ce protectionnisme carbone. Leur industrialisation est ainsi fortement compromise du fait de leur impossibilité d’accéder réellement aux marchés du Nord. Et le protectionnisme agricole européen et américain empêche déjà les PED du Sud d’exploiter leur avantage comparatif agricole. La taxe carbone aux frontières est donc le chemin vers un sous-développement avancé du Sud.
Le contre-argument des tenants de Copenhague est ici que le système de compensation permettra à ces pays d’innover en technologies à faible carbone. En effet, pour rallier les pays pauvres, le sommet de Copenhague précisera les bases du système de transferts entre pays riches et pays pauvres pour mitiger les émissions de CO2. C’est ce que vient de détailler par exemple le Plan Justice Climat du Ministre Borloo, qui parle de 410 milliards de dollars sur 10 ans, financés par des taxes mondiales (taxe carbone mondiale, taxe Tobin, taxe maritime, taxe sur le baril de pétrole) et par un fonds dédié alimenté par les pays riches. Mais ce contre-argument tient-il ?
Ces transferts posent en effet de graves problèmes. Ils utiliseraient des canaux identiques à ceux de l’Aide humanitaire internationale actuelle, dont l’efficacité est très contestée, notamment du fait de la corruption à laquelle elle donne lieu. C’est un problème majeur en économie du développement : des spécialistes de l’économie de l’Aide humanitaire comme William Easterly expliquent qu’on ne connait toujours aucune manière satisfaisante de s’assurer que l’Aide des États profite réellement aux nécessiteux et aux projets les plus efficaces et urgents. Selon l'OCDE, les nécessiteux ne voient que 50 centimes sur chaque euro d'Aide. Mais on peut craindre que cette évaluation soit très optimiste.
Ainsi, l’aide internationale depuis un demi-siècle représente 2300 milliards de dollars, dont près du quart officiellement pour l’Afrique avec un résultat catastrophique. Parce que dans de nombreux pays l’argent de l’aide a une fâcheuse tendance à disparaître et à ne pas atteindre les plus nécessiteux. Cela s’explique par les incitations bureaucratiques d’un côté comme de l’autre du tunnel de l’aide, ainsi que les problèmes d’information sur quelles urgences traiter... avec l’argent qui reste. Ces aides au développement durable seront attribuées de la même manière et… atterriront donc probablement dans les mêmes comptes en banque en Suisse ou dans les poches de riches bureaucrates d’organisations internationales.
Certains mécanismes d’aide mis sur la table permettraient par ailleurs aux pays de récupérer des « crédits carbones ». C’est donc dire qu’un pays riche réalisant un investissement dans une technologie propre dans un pays pauvre pourra s’affranchir de ses promesses de réduction de production co2. Comment aller vérifier que les investissements ont bien été réalisés de manière pérenne ? Comment éviter la corruption ici aussi ? Aucune piste de réflexion réaliste ne semble s’attaquer à ce problème de taille. Il s’agit tout bonnement de la construction d’une autoroute de la corruption pour acheter l’accord des dirigeants des pays pauvres.
Le bilan de ces propositions fait émerger une situation assez surréaliste : les populations pauvres des pays pauvres verront leur production se heurter à des droits de douane, ne toucheront qu’une infime partie de la contrepartie financière qui leur est destinée, et seront tenues de suivre un sentier de développement écologique que même les pays riches n’ont pas encore su trouver ! Le fantôme de l’aide réapparait pour donner une tonalité de bonne conscience et de justice, mais pour paraphraser Shakespeare, il semble qu’en réalité il y ait quelque chose de pourri au royaume de Copenhague.
Rédigé le 10 décembre 2009 à 12h51 dans Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Environnement, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 10 décembre 2009 à 11h48 dans Détente, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 10 décembre 2009 à 11h45 dans Antichristianisme, Culture de mort, Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Environnement, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le blogueur qualifie le "climategate" d' "offensive négationniste" et y voit la trace de l'Arabie Saoudite (qui n'a pas inventé les courriels!). Il traite les blogueurs catholiques (sans jamais les nommer, Patrice de Plunkett ne procède que par allusions) qui refusent l'idéologie écologiste de "Sainte Ligue négationniste climatique" et se moque de les voir dans le même camp que l'Arabie Saoudite (il nous juge "islamophobes") et Claude Allègre (qu'il qualifie de "cathophobe" pour avoir dit une ânerie sur l'affaire Galilée...).
On ne va quand même pas changer notre discours parce que l'Arabie Saoudite s'affiche climato-sceptique !
Rédigé le 10 décembre 2009 à 11h37 dans Antichristianisme, Culture de mort, Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Science | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 10 décembre 2009 à 10h35 dans Délinquance, Economie et social | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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selon Corinne Lepage et Chantal Jouanno, qui ne répondent bien évidemment pas sur le fond. A partir de 3'45" :
Thibaud
Rédigé le 10 décembre 2009 à 10h19 dans Culture de mort, Ecologisme, Economie et social, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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et s'affichent comme tels : Sebastian Pinera, Eduardo Frei Ruiz et Marco Enriquez-Ominami.
Rédigé le 10 décembre 2009 à 10h12 dans Culture de mort, Economie et social, SOS Homofolie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Selon Le Figaro, Patrick Poivre d'Arvor a refusé « de figurer à la deuxième place de la liste UMP à Paris, conduite par Chantal Jouanno ». Chef de file du parti en Ile-de-France, Valérie Pécresse en personne lui avait fait la proposition. « Avec l'aval de l'Elysée », évidemment.
Contacté par Rue89, l'intéressé n'a pas souhaité répondre aux questions sur le sujet. Mais son entourage a expliqué à l'AFP qu'« il a d'autres priorités pour l'instant » :
« Depuis son départ de TF1 il y a un an et demi, il a été plusieurs fois sollicité de bords différents pour un engagement politique et il a décliné ces différentes propositions, la dernière venant de Valérie Pécresse. »
Mais sa « priorité » était surtout de figurer en première position de la liste pour les régionales à Paris. Un membre de l'entourage de Valérie Pécresse a confié à Rue89 :
« En réalité, ses prétentions étaient un peu trop élevées. Disons qu'il souhaitait être au-delà de la deuxième place… »
Rédigé le 10 décembre 2009 à 10h03 dans La vie des médias, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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aux frais du contribuable français...
Thibaud
Rédigé le 10 décembre 2009 à 09h58 dans Ecologisme, Economie et social, Environnement, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu sur Rue 89 :
Il est suisse, il s'appelle Guillaume Morand, il n'est pas musulman, il est propriétaire de la chaîne de magasins de baskets Pomp it up et il vient de construire un minaret sur le toit du siège de son entreprise à Lausanne pour manifester son opposition à l'interdiction de construire des minarets, décidée par 57% des votants lors du référendum organisé en Suisse le 29 novembre.
Guillaume Morand affirme par ce geste son opposition à la démocratie. Mais trouve également là un moyen de faire parler de ses magasins dont le public semble être composé de "chances pour la Suisse".
Rédigé le 10 décembre 2009 à 09h55 dans Culture de mort, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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en 48 heures. RIP.
Thibaud
Rédigé le 10 décembre 2009 à 08h58 dans Antichristianisme, Délinquance, Economie et social, RIP | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Les Français qui ne veulent pas de nourriture certifiée halal et... les autres !
Lu sur un site communautaire musulman :
il n’est pas acceptable de se dire halal et de vendre des produits non halal. Vouloir commercialiser du halal nécessite en effet de se plier à quelques règles. D’où la distinction fondamentale entre « viande certifiée halal » et « restaurant certifié halal ».Un restaurant certifié halal est un restaurant contrôlé par un organisme tiers dont la mission est de vérifier non seulement que la totalité des produits vendus par ce restaurant est halal (et ne contient aucun produit non halal), mais encore que la viande, spécifiquement, est certifiée véritablement – et non frauduleusement – halal. C’est le cas des restaurants, tels l’Alambra ou encore Half Time que l’on a pu découvrir dans un reportage de France 5 (Reportage d’Arte sur le halal et la certification). Ces restaurants reçoivent tous les jours, trois fois par jour et à l’improviste, la visite d’un contrôleur qui met son nez partout. Ce dernier a carte blanche pour vérifier tous les produits alimentaires stockés dans le restaurant. En échange, le restaurant reçoit une certification qui rassure une clientèle effrayée par les fraudes au halal. Ainsi pour quelques centaines d’euros par mois (prix de la certification), ces restaurateurs choisissent la transparence, qui plus est via un organisme tiers, seul critère qui vaut aux yeux des consommateurs musulmans.
Non, vous ne rêvez pas : pour être certifié halal, il faut être contrôlé trois fois par jour et verser de l'argent (à la mosquée?) !
Qu’en est-il pour ces huit restaurants Quick ? Aucun n’est certifié halal. Les plus à l’écoute auraient supprimé alcool et bacon (remplacé par de la dinde) de leur carte, tous auraient simplement changé de fournisseur de viande. Seule donc la viande serait certifiée halal. Or, on sait que tout aliment contenant des produits contenant de l’alcool ou origine animale sont non halal (précisons toutefois qu’il y a divergence sur ce point). Ainsi un restaurant Quick non certifié peut très bien vendre de la viande halal et d’autres produits non halal.
Et de conclure :
En attendant que Quick choisisse la voie du tout-halal et du halal certifié comme tel, sans opacité ni louvoiement, nous nous abstiendrons d’y mettre les pieds (...). Le halal ne souffre pas les approximations.
Lire aussi : SCANDALE à LYON ! Depuis le 1er décembre, Quick impose à ses clients des menus halal !
ThibaudRédigé le 09 décembre 2009 à 10h25 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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Rédigé le 09 décembre 2009 à 10h06 dans Délinquance, Ecologisme, Economie et social, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu sur Slate.fr :
«Il y a beaucoup plus d'homosexuels à l'UMP que dans la moyenne des Français. C'est vraiment flagrant», assure un Jeune Pop, qui préfère que son nom ne soit pas utilisé car il n'est pas autorisé par le parti à parler aux journalistes, et aussi parce qu'il n'a pas envie d'être l'homo de service. «Ce n'est pas qu'une impression. Aujourd'hui dans les cabinets ministériels, ils sont partout, il y a un vrai réseau d'homos qui entretiennent beaucoup de relations entre eux, qui sont un peu partout dans le gouvernement et dans le parti.»
«Je peux vous dire que les soirées des Jeunes Pop sont assez gratinées. Dans les soirées pour célébrer la victoire en 2007, c'était quand même très très open», complète un ancien stagiaire de la campagne présidentielle de 2007. «C'est limite un concours de qui couchera le plus», embraye Romain, qui fut un responsable des Jeunes Pop en province.
Les homos de l'UMP sont nombreux et ils ne sont pas dans le placard. Ministres, députés, militants, responsables de fédérations, conseillers ministériels... Etre gay et assumer n'est plus un tabou. Sauf dans le programme officiel du parti.
La "faute" à la base conservatrice. A vous, chères lectrices et chers lecteurs ! Nous devons cependant rester particulièrement vigilants :
Thibaud(...) Les UMP gays conservent une excellente image de Sarkozy: beaucoup restent persuadés que le président est de leur côté, qu'en privé il serait favorable à l'adoption.
Rédigé le 09 décembre 2009 à 09h39 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Réacosphère, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Le leader de la majorité démocrate Harry Reid a refusé d'en dire plus à la presse, mais a annoncé qu'"un accord large" avait été trouvé entre les progressistes et les modérés sur cette question controversée. Cela devrait permettre de voir aboutir le texte en discussion depuis des mois.
Au lieu de cette option publique destinée à susciter la concurrence parmi les assureurs privés, les démocrates envisagent une alternative. Un système privé pourrait être supervisé par une agence publique fédérale.
Les sénateurs pro-vie ont par ailleurs échoué (44-55) à amender le projet de réforme de la santé discuté au Sénat américain mardi.
En outre, la question des fonds pour l'avortement devrait se poser de nouveau à terme, car une mesure similaire a été adoptée à la Chambre des représentants dans sa propre version du projet de loi de réforme de la couverture santé, adoptée le 7 novembre. Lorsque le Sénat aura adopté la sienne, les deux chambres devront se mettre d'accord sur un texte commun.
Soeur Mary Ann Walsh, porte-parole de la Conférence des évêques catholiques américains (USCCB) a déclaré que ce vote était "une grave erreur et un coup sérieux à la réforme de la couverture santé". "Mais nous avons toujours l'espoir d'arranger cela, car beaucoup d'élus ont dit qu'ils étaient pour l'amendement Hyde".
Rédigé le 09 décembre 2009 à 09h25 dans Avortuerie, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Etats-Unis, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu sur le blog Couleurs irlandaises :
un certain nombre de protestants nord-irlandais (très représentés dans la classe politique) ne considèrent pas les Catholiques comme des chrétiens. Pour eux, l’Église catholique est une aberration. Elle n’est pas seulement l’institution qui a présidé à la persécution de protestants; elle est théologiquement dans l’erreur. Pire: elle est antinomique, et le pape est donc taxé d’«antéchrist», comme l’expliquait récemment sur son site le très protestant député Ian McCrea, rejoignant en cela l’actuel ministre des Sports nord-irlandais, Nelson McCausland (...). À peine nommé, McCausland a d’ores et déjà décrété qu’il boycotterait les églises catholiques, mais qu’il ne fallait surtout pas que les Catholiques se vexent…Le doux surnom d’«antéchrist» n’est pas sans rappeler les frasques du tonitruant révérend Ian Paisley (fondateur du parti auquel adhèrent McCrea et McCausland), qui avait été expulsé du parlement européen en 1988 à l’occasion de la visite du pape précédent (il lui avait hurlé «Je renonce à toi, Antéchrist!»).
J’ai dégoté un site hallucinant, celui de la Free Presbyterian Church, église que Paisley a lui-même fondée et qui relate cet épisode par le menu, ainsi que d’autres «exploits» du gourou, du style distribution d’exemplaires de la «Bible du roi Jacques» (une Bible protestante, en somme) au Vatican…
Mais la Free Presbyterian Church tente maintenant de tourner la page, et le vieux Ian s’est fait pour ainsi dire virer il y a de cela deux ans de l’église qu’il avait lui-même fondée. Comment? Les Free Presbyterians mettraient-ils de l’eau dans leur vin (un comble pour des abstinents)? Non, qu’on se rassure: il n’a pas été remercié parce qu’on le considérait trop réac’, mais parce que ses fidèles estimaient qu’il était devenu trop mou!
Rédigé le 09 décembre 2009 à 09h18 dans Antichristianisme, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Histoire, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud
(source : FDesouche)Rédigé le 09 décembre 2009 à 01h39 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, La vie des médias, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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