Lu dans les confidentiels de Minute :
Bruno Gollnisch a révélé une (...) conversation privée qu’il avait eue avec Philippe de Villiers, au cours de laquelle Villiers lui avait dit que sa marge de man oeuvre était limitée en raison de la crainte que la majorité présidentielle lui fasse perdre la Vendée. Gollnisch lui aurait fait cette réponse : « Si vous n’êtes pas prêt à risquer la Vendée, vous n’êtes pas prêt pour avoir un destin national. »
Thibaud
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