42 jours de prison pour le viol d'une mineure, "c'est très lourd" selon Bernard-Henri Lévy...
Thibaud
42 jours de prison pour le viol d'une mineure, "c'est très lourd" selon Bernard-Henri Lévy...
Thibaud
Rédigé le 13 juillet 2010 à 20h55 dans Cinéma, Culture de mort, Délinquance, La vie des médias, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 13 juillet 2010 à 07h24 dans Cinéma, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, La vie des médias, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 12 juillet 2010 à 17h53 dans Cinéma, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Les fans de l'univers du "Seigneur des anneaux" et de son auteur catholique John Ronald Tolkien doivent sûrement s'inquièter de ce qui doit advenir du projet d'adaptation cinématographique de "Bilbo le hobbit", préquelle de la saga susnommée. Il est vrai qu'il y a de quoi. Au départ, le réalisateur Guillermo Del Toro ("Mimic", "Hellboy" 1 et 2, "L'échine du diable") était pressenti pour réaliser le film qui devait être produit par Peter Jackson, réalisateur de la trilogie du "Seigneur des anneaux". Mais ces derniers mois, les événements se sont précipités. Del Toro a du renoncer au projet à cause d'un emploi du temps serré et, plus récemment, Peter Jackson en personne se serait finalement dévoué pour en assurer la réalisation, replongeant ainsi dans l'univers de Tolkien. Le casting demeure tout aussi incertain puisque le choix de l'acteur devant incarner Bilbo n'a toujours pas été choisi (Ian Holm, qui incarna le personnage dans la trilogie de Peter jackson, est trop vieux pour se mettre à nouveau dans la peau de ce dernier censé être plus jeune) et Ian Mc Kellen, qui interpréta quant à lui le magicien Gandalf dans la même trilogie, envisagerai de se retirer du projet face à tant d'incertitude. Le tournage, déjà repoussé, devrait donc encore être retardé et les fans devront prendre leur mal en patience pour ce beau projet dont la sortie ne devrait pas intervenir avant 2012. Que Dieu y pourvoit!
Raspail
Rédigé le 08 juillet 2010 à 19h43 dans Cinéma, Etats-Unis, Jeunes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 09 juin 2010 à 07h00 dans Avortuerie, Chronique culturelle, Cinéma, Culture de vie, Défendre la famille, Détente, Jeunes, Promenade sur la toile | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Balises: 10000, avortement, avortuerie, blockbuster, film, ivg, paternité, sois un homme, succès
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"L'anglaise et le duc" de Eric Rohmer, avec Lucy Russell, Jean-Claude Dreyfus, Alain Libolt
Synopsis: Grace Elliott, aristocrate anglaise installée à Paris, est une amie intime du Duc d'Orléans, cousin du roi Louis XVI. Elle assiste, inquiète, aux débuts de la Révolution française et commence à se distancier du duc au fur et à mesure des événements et des engagements personnels de ce dernier en faveur de la terreur révolutionnaire grandissante. Bientôt, la situation devient dramatique. Après avoir voté la mort de son cousin le roi, le duc est lui-même sur la selette et Grace est elle aussi menacée.
Critique: Voici un film bien particulier d'Eric Rohmer qui, du reste, filme rarement de manière ordinaire. En ce qui concerne la forme, les décords extérieurs sont tous constitués de tableaux peints à l'huile par Jean-Baptiste Marot. Les comédiens et figurants ont été rajoutés sur ces fonds par un procédé numérique. Un parti pris étonnant, surtout à l'époque de "Star Wars" ou "Taxis", mais qui convient parfaitement à l'ambiance feutrée et austère du film. Sur le fond, il s'agit d'un des rares films critiques sur la révolution françaises et le seul qui adopte le point de vue d'aristocrates royaliste, de surcroît étranger dans le cas de Grace Elliott. Un personnage émouvant, spontané et idéaliste, incarnée avec une grande conviction par l'anglaise Lucy Russell (vue comme second rôle dans "Tristan+Isolde" de Kevin Reynolds, "Batman Begins" de Christopher Nolan ou "L'immaginarium du docteur Parnassus" de Terry Gilliam). Cette personnalité produit d'ailleurs un contraste saisissant avec l'univers sale, froid, vulgaire et cruel de la révolution française, présentée ici sous son pire jour, celui d'un régime totalitaire qui broit sans vergogne les destins individuels y compris ceux qui l'ont bien servi. Parmi ceux-là, le Duc d'Orléans, Philippe Egalité, cousin de Louis XVI, acquis aux idées de la révolution. Ce dernier est incarné à merveille par Jean-Claude Dreyfus, ("Delicatessen" de Marc Caro et Jean-Pierre Jeunet, "Deux frères" de Jean-Jacques Annaud, "Un long dimanche de fiançaille" de Jean-Pierre Jeunet) qui se montre aussi chaleureux et suave que retors et machiavélique. Un homme pour qui balance le coeur de Grace autant que celui du spectateur, au fur et à mesure que sont révèlées les compromissions auxquelles il s'est livré mais qui sont contrebalancées par l'amitié que lui porte Grace et, ultérieurement, le sort funeste qui sera le sien. Deux personnages fort différents l'un de l'autre bien qu'issus du même milieu et qui se complètent d'ailleurs à merveille. Le film conserve un aspect très théâtral du fait de la quasi-unité de lieu (il n'y a pas plus de cinq lieux d'actions différents en tout) et de l'omniprésence des scènes avec un nombre réduit de personnages. La sobriété et la retenu caractérisent l'oeuvre qui aborde un passage dramatique de notre histoire. Il est seulement dommage que le film laisse entendre que la révolution française fut avant tout hostile à l'aristocratie et au roi (alors qu'elle l'était en fait d'avantage à l'Eglise catholique) et qu'elle fut menée par des gens du peuple (en fait, par la bourgeoisie des villes). Néanmoins, une critique si forte et bien menée de cette dramatique période et une telle originalité de ton ne peuvent être que pleinement appréciés et illustrent la permanence du talent du défunt Eric Rohmer à la fin de sa carrière (il s'agissait là de son antépénultième film). N'hésitez donc pas à (re)voir cette oeuvre pour apprècier le vrai cinéma historique !
Raspail
Rédigé le 06 juin 2010 à 20h14 dans Cinéma, Histoire, Identité | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Dennis Hopper, le célèbre acteur et réalisateur culte des années 1970 et 1980, est décèdé à l'âge de 74 ans d'un cancer de la prostate qui lui avait été diagnostiqué il y a quelques mois. Ainsi disparait une figure marquante du cinéma américain.
Né en mai 1936, Dennis Hopper se découvre tôt un intérêt pour le théâtre. Parti très jeune tenter sa chance à Los Angeles, il obtient son premier rôle dans le western Johnny guitar" de Nicholas Ray. Il va alors accumuler les seconds et troisièmes rôles, notamment dans "La fureur de vivre" d'Elia Kazan aux côtés de son ami James Dean, mais surtout dans des westerns comme "Géants" de Georges Stevens et "Réglement de comptes à OK Corral" de John Sturges, où il fréquente les stars Kirk Douglas et Rock Hudson. Déjà, il se constitue une solide réputation d'individualiste forcené et de caractériel, allant jusqu'à se disputer avec le réalisateur Henry Hattaway sur le tournage de "From hell to Texas" dont il est renvoyé, renvoi qui le met au ban de Hollywood pour quelques années. C'est à ce moment qu'il se consacre à ses deux autres passions, la peinture et la photographie. Dans les années 1960, il s'affirme comme un second rôle récurrent, notamment dans "Luke la main froide" de Stuart Rosenberg ou "Pendez-les haut et court" de Ted Post. Il apparait également dans des séries télévisées renommées comme "Bonanza" ou "La quatrième dimension". Ce sera finalement l'année 1969 qui lui apportera la renommée mondiale avec le film "Easy rider" qu'il réalise et interprète aux côtés de Peter Fonda et Jack Nicholson, road-movie initiatique et véritable ôde au mouvement hippi. Le film est un succés commercial, impressionne les critiques et reçoit le prix de la meilleure oeuvre au festival de Cannes 1969. Devenu une star, Hopper réalise son deuxième film au titre curieusement évocateur (et qui faillit être prémonitoire) "The last movie". Mais ce dernier est un échec cinglant. Déjà dépendant de la drogue et de l'alcool, l'acteur va sombrer davantage dans cet enfer artificiel et va voir sa carrière péricliter. S'il tourne encore (notamment avec Orson Wells et Wim wenders), la décennie 1970 est bien une mauvaise passe pour lui. Mais il saura finalement rebondir, notamment grâce à son rôle de photographe fou pour lequel il révèle un grand charisme dans "Apocalypse now" de Francis Ford Coppola, aux côté de Martin Sheen et Marlon Brando. L'année suivante, son nouveau film en tant que réalisateur, "Out of the blue" est un succès. Relancé dans le métier et désormais débarrassé de ses addictions à la drogue, Dennis Hopper arrive à sa maturité et fait désormais figure de monstre sacré. Durant les années 1980, il impressionne encore la critique en tueur psychopathe dans "Blue velvet" de David Lynch et réalise "Colors" avec Sean Penn et Robert Duvall. On le voit aussi dans des séries B comme "Massacre à la tronçonneuse 2" de Tobe Hopper produit par la Cannon, film dans lequel il s'avère enclin à l'autodérision. Il passe sans trop d'encombre le cap des années 1990 où on le verra notamment dans "True romance" de Tony Scott, "Speed" de Jan de Bont et "Waterworld" de Kevin Reynolds, films dans lesquels il inaugure la longue série de méchants interchangeables qu'il interprètera par la suite. Mais après "En direct d'Ed TV" de Ron Howard en 1999, sa carrière s'enlise à nouveau, essentiellement composée de série B et Z ou de téléfilms. On le voit même jouer aux côté de Steven Seagal ou de Christophe Lambert! Il réapparait cependant dans des grosses productions comme "Land of the dead" de Georges A Romero ou "An american carol" de David Zuckers, charge jouissive contre Michael Moore où il rencontre le gotha des acteurs hollywoodiens républicains (James Woods, John Voight, Kelsey Grammer). Il est également présent à la télévision, notamment dans la première saison de "24 heures chrono" ou "DOS : Division des Opérations Spéciales". Son dernier film au cinéma sera "Swing vote" de Joshua Michael Stern, avec Kevin Costner.
Politiquement, en dépit du propos gauchisant de "Easy rider", Dennis Hopper était un républicain convaincu qui soutint successivement Ronald Reagan, George H W Bush et George W Bush lors de ses deux élections. Toutefois, déçu par l'administration Bush à cause de la guerre en Irak, il soutient Barack Obama en 2008.
Un homme de paradoxe donc, aussi bien chien fou que monstre sacré et véritable touche à tout (il fut également un peintre et un photographe renommé) et qui restera dans les mémoires comme l'un des grands acteurs américains du siècle dernier. Chapeau bas l'artiste!
Raspail
Rédigé le 30 mai 2010 à 21h25 dans Cinéma, Etats-Unis, RIP | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La semaine dernière, a été projeté au Festival de Cannes le film de Rachid Bouchareb "Hors la loi" qui représente l'Algérie. Il relate l'histoire de trois frères (incarnés par Djamel Debbouzze, Roschdy Zem et Sami Bouajila) engagés dans la lutte pour l'indépendance de l'Algérie. Le réalisateur a affirmé publiquement vouloir rétablir la vérité historique, rien que ça! Or, si l'on se rappelle qu'il s'agit du même réalisateur que le film "Indigènes" (avec les mêmes acteurs et Sami Naceri, ici absent pour cause de problèmes judiciaires) et au vu de la bande-annonce, on peut en douter. Du reste, le film s'est vite trouvé un contradicteur en la présence du député des Alpes-Maritime Lionnel Luca, déjà connu pour ses prises de position courageuses sur la peine de mort ou la repentance mémorielle au sujet de la colonisation. Ce dernier n'a pas mâché ses mots et a accusé le film de "négationisme", de "falsification historique" et de propager une "vision hémiplégique de l'histoire". Monsieur Luca était présent à la manifestation de protestation contre le film qui s'est tenu la semaine dernière à Cannes et qui regroupait des anciens combattants d'Algérie, des associations de harkis et de pieds-noirs et des hommes politiques de l'UMP et du Front National. Ils étaient plus d'un millier selon la police. Le député, qui avait cette fois vu le film, a pleinement confirmé ses propos et regretté que la France ait participé au financement du film (à hauteur de 7%, 59% si l'on compte les partenaires privés). De son côté, le service historique de la défense a relevé un grand nombre d'erreurs historiques et d'anachronismes: entre autre, le film mentionnerait le FLN dès 1945 alors que ce dernier n'est apparu qu'en 1954 et situerait le retour au pouvoir de De Gaulle en 1954 au lieu de 1958.
Bref, il semble bien que nous ayons à nouveau affaire à un film de propagande ouvertement anti-Français, dans la lignée d'"Indigènes", grosse production rutilante mais sans talent et sans âme, qui se préoccupe plus de message idéologique que de performance artistique comme jadis en URSS et dont la conséquence principale sera surtout de renforcer la haine de la France et des français auprès des populations issues de l'immigration. Espérons que ce film soit un échec au box-office et qu'il trouve suffisamment de contradicteurs dans la sphère publique!
Raspail
Rédigé le 25 mai 2010 à 16h31 dans Cinéma, Histoire, Identité, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 12 mai 2010 à 17h18 dans Avortuerie, Cinéma, Culture de mort, Etats-Unis, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le tournage commencera en juin, au Mexique, et ce sera (probablement) un film « catho »… L'acteur mexicain Eduardo Verastegui, héros du film pro-vie Bella, partagera avec Eva Longoria et avec Andy Garcia (Le Parrain III, Dead Again, Les Incorruptibles…) l'affiche d'un film relatant l'épopée des Cristeros. Cristiada reviendra sur les persécutions laïques qui ont frappé dans les années 1926 et 1929 les catholiques, souvent des paysans illettrés, qui se sont battus pour leur foi et pour les droits de l'Eglise face au pouvoir maçonnique en place au Mexique. Lire la suite...
Rédigé le 10 mai 2010 à 09h24 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Cinéma, Histoire, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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sur le site de Bernard-Henri Lévy.
Le cinéaste défendu par l'immense majorité des figures médiatiques du monde politique et culturel demande entre autres à "être traité comme tout le monde" !
Sauf que "tout le monde" n'a pas violé une mineure de 13 ans après l'avoir fait boire. En tous les cas pas chez les Français d'en bas...
Notez quand même qu'il ne demande pas à être traité "comme l'Eglise". Au cas où vous ne l'auriez pas compris, il y a pédophile... et pédophile !
Et quelle maladresse de tenter de prendre à témoin l'opinion... sur le site de BHL !
Rédigé le 03 mai 2010 à 09h45 dans Cinéma, Culture de mort, Délinquance, SOS Homofolie, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu sur le Twitter de Neal McDonough, écarté d'une série en raison de son refus de jouer une scène de sexe :
Thank You for all your wonderful supportive comments through this very difficult, personal time. Much appreciated!
Rédigé le 07 avril 2010 à 20h02 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Cinéma, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Etats-Unis, La vie des médias, Société civile (EU), Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Né en 1966 à Boston (Massachusetts), marié et père de trois enfants, l’acteur américain Neal McDonough (wiki) est catholique issu d’une pieuse famille catholique d’origine irlandaise.
Cet acteur célèbre a notamment joué dans les films Band of Brothers, Star Trek, Minority Report…, et dans de très nombreux feuilletons ou séries réalisés pour la télévision américaine. Les amateurs de Desperate Housewives l’ont vu incarnant le méchant dans la cinquième “saison” de cette série. Les producteurs avaient été prévenus qu’il se refuserait à jouer des scènes érotiques par respect pour sa famille et ses convictions catholiques.
Choisi pour jouer le rôle principal dans une nouvelle série d’ABC, Scoundrels, McDonough a été précipitamment “remercié” et remplacé par un autre acteur, moins scrupuleux, au motif qu’il se refusait à jouer une scène érotique avec l’actrice de la série. C’est qu’on a des principes à Hollywood et ne pas s’y soumettre vaut Berufsverbot (interdiction professionnelle). Cela lui coûte un contrat d’un million de $. Mais cela lui vaut notre admiration…
Rédigé le 07 avril 2010 à 19h29 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Cinéma, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Etats-Unis, La vie des médias, Société civile (EU), Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Après La Fontaine et Céline, le talentueux acteur Fabrice Luchini ("Le genou de Clair" de Eric Rohmer, "Uranus" de Claude Berri, "Le bossu" de Philippe de Brocca) revient au théâtre pour lire des textes de l'essayiste et intellectuel anticonformiste Philippe Muray, bien connu pour ses ouvrages "Le XIXe siècle à travers les âges", "Moderne contre moderne" ou "Festivus festivus". Un acteur talentueux et un des très rares de sa génération à être aussi bon dans ses interviews que dans ses films récitant des textes d'un des grands pourfendeurs de la bêtise humaine contemporaine, voila qui ne peut être qu'appréciable d'autant plus que le premier semble avoir bien compris le second: "Lire Philippe Muray à l’ère de l’hyper festif a quelque chose de réjouissant et de très stimulant" a déclaré l'acteur dans une interview. Fabrice Luchini se produira au Théâtre de l'Atelier (1 Place Charles Dullin dans le 18e) les 13, 15, 22 et 29 mars à 20h30.
RaspailRédigé le 13 mars 2010 à 21h47 dans Cinéma, Identité, Littérature, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Une exécution ordinaire" de Marc Dugain, avec Marina Hands, André Dussolier, Edouard Baer, Denis Podalydès.
Synopsis: Dans l'URSS de 1952, alors que la terreur stalinienne bat son plein, Anna, médecin urologue et magnétiseuse, tente de survivre avec son mari face à la pénurie et leur désir insatisfait d'enfant. Un jour, elle est emmenée par des employés du NKVD qui l'amènent au maître du Kremlin, Joseph Staline en personne, qui souffre de douleurs inguérissables et lui demande de le soulager. Commence alors une relation forcée et ambigue entre l'humble femme médecin et le petit père des peuples, relation qui devient vite dangeureuse pour la première car Staline, sous son air bonhomme et paternaliste, s'avère être un manipulateur et un tyran impitoyable.
En 2007, l'écrivain Marc Dugain publiait "Une exécution ordinaire", roman historique composé de sept récits se déroulant à un moment donné de l'histoire contemporaine de la Russie. Trois ans plus tard, il adapte lui-même le premier récit de son propre ouvrage "Je ne suis que Staline" au cinéma. Signalons qu'un de ses précédents livres "La chambre des officiers", traitant des gueules cassées de la Grande Guerre,avait déjà été adapté au septième art par François Dupeyron. Il n'est pas le premier à faire ainsi, avant lui, Yann Moix avec "Podium" et Michel Houellebecq avec "La possibilité d'une île", avaient déjà adapté au grand écran leurs propres romans respectifs, avec un bonheur inégal (voire franchement désastreux dans le cas de Houellebecq). En l'occurence, Marc Dugain s'en sort heureusement fort bien et nous livre un tableau assez saisissant des dernières années du stalinisme en URSS. Une période encore dangeureuse pour nombre de russes et qui vit notamment se constituer l'affaire du complot des bouses blanches. D'emblée, le réalisateur mise sur la sobriété de ton et l'attention accordée aux personnages, pari gagnant qui fait de ce récit une double page d'histoire émouvante: d'une part, la petite histoire avec Anna et son mari Vassili; de l'autre, la grande histoire avec les derniers instants de Joseph Staline, le pire dictateur qu'est connu ce siècle et probablement l'histoire.
La première question qui vient à l'esprit du lecteur curieux connaissant la distribution et s'intéressant un temps soit peu à l'histoire du XXe siècle sera sûrement : Alors, André Dussolier est-il convaincant en Staline? D'emblée, on peut répondre oui et sans réserve. L'acteur, déjà largement reconnu pour ses rôles dans "Les enfants du marais", "Tanguy", "Un crime au paradis", "Effroyable jardin" ou encore "La chambre des officiers", s'avère largement à la hauteur du défi important que consistait l'interprétation d'une figure historique majeure. Physiquement méconnaissable (les techniques de maquillage actuelles rendant quasiment tout possible), il incarne à merveille un tyran famélique en fin de règne, aussi affable et bienveillant en apparence que traître et impitoyable en réalité, le timbre de voix si particulier de l'acteur se prêtant à merveille à ce type de personnage. Face à lui, la jeune actrice Marina Hands ("la fidélité" d'Andrzej Zulawski, "Lesinvasions barbares" de Denys Arcand, "Ne le dis à personne" de Guillaume canet) est également très convaincante dans le rôle d'Anna, à la fois faible de par sa condition sociale et de jouet aux mains du dictateur mais aussi forte de par sa détermination et son amour pour les siens. Son mari Vassili est incarné par Edouard Baer, plus connu pour ses rôles comiques dans "Astérix et Cléôpatre", "Cravate club" et "Combien tu m'aimes", mais qui avait également joué dans des registres plus divers comme "Molière" ou "Les brigades du tigre" de sinistre mémoire. Il est lui aussi très convaincant, particulièrement à l'aise dans le registre du brave homme dépassé par les évènements et le comportement de sa femme qui se voit obligé de lui mentir pour lui cacher ses interventions sur Staline par ordre de celui-ci. Signalons également Denis Podélydès ("laissez-passer", "Paris, je t'aime", "Le mystère de la chambre jaune") dans un rôle secondaire du concierge de l'immeuble où habite le couple, personnage ô combien illustratif de l'atmosphère de surveillance omniprésente et incitant à la délation qui caractérisa ce contexte. Un contexte froid, hostile, presque déshumanisé où doit évoluer et survivre ce jeune couple qui ne désire que vivre heureux et avoir des enfants, en somme devenir une vraie famille. L'état totalitaire du Kremlin manque d'ailleurs de peu de détruire ce beau projet familial. Un parallèle étonnant avec notre époque.
En somme, une excellent surprise du cinéma historique, à l'instar de "Katynn" et "L'affaire Farewell".
Raspail
Rédigé le 26 février 2010 à 19h36 dans Cinéma, Histoire, Identité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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On ne l'avait plus vu devant la caméra depuis "The singing detective" en 2003, à l'exception de quelques caméos. Accaparé par les réalisations de "La passion du Christ" et "Apocalypto", Mel Gibson, qui demeure célèbre pour ses interprétations de "Mad Max" et "L'arme fatale", revient au cinéma en tant qu'acteur. Le film, qui sort aujourd'hui en France, s'intitule "Hors de contrôle" ("Edge of darkness" en anglais) et est réalisé par Martin Campbell, réalisateur de deux James bond ("Goldeneye" et "Casino royal"). L'histoire relate les péripéties d'un vétéran de la police criminelle qui enquête sur l'assassinat de sa fille et se trouve mêlé à de sordides affaires politiques. Un scénario guère original certes, mais qui devrait permettre à l'interprète de William Wallace de remettre le pied à l'étrier après ses déboires familiaux récents et de garantir une présence catholique à Hollywood. Et de patienter en attendant son film sur Jean-Paul II toujours inabouti.
Raspail
Rédigé le 17 février 2010 à 11h14 dans Cinéma, Etats-Unis | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Le film “Veilleurs dans la nuit — Une journée monastique à l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux”, suite à sa programmation sur la chaîne KTO tout au long de la semaine de Noël 2009, a été retenu et primé par le jury du Club Audiovisuel de Paris qui décerne chaque année les “Lauriers de la radio et de la télévision”.
Le 15 février 2010, dans les salons du Sénat à Paris, c’est le Nonce Apostolique en France, Mgr Luigi Ventura, qui a remis aux co-réalisateurs de ce film, Eddy Vicken et Yvon Bertorello, le “Laurier Première Œuvre — Prix Marcel-Jullian”, en présence de Dom Louis-Marie, abbé du Barroux (France).
Ce film de 52 minutes, disponible en DVD, suit la vie de prière et de travail des moines bénédictins, rythmée par les différents offices de la journée chantés en grégorien. Un cadre magnifique au cœur de la Provence, des images rares et superbes, mises en valeur par la voix intense de Michael Lonsdale.
Version originale en français, avec sous-titrage en anglais, allemand, italien, espagnol (et français pour les malentendants). Bande annonce et vente en ligne sur le site de l’abbaye.
Rédigé le 16 février 2010 à 16h22 dans Chrétien(s) au quotidien, Cinéma, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 15 février 2010 à 14h27 dans Cinéma, Culture de mort, Délinquance, La vie des médias, Satanisme, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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