Rédigé le 07 juin 2009 à 12h13 dans Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 07 juin 2009 à 12h10 dans Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 07 juin 2009 à 12h07 dans Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 07 juin 2009 à 11h59 dans Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Emmanuel Delhoume est secrétaire national en charge de la thématique de la culture au FRS. Mais pour combien de temps encore ? Il a participé au dernier meeting de Philippe de Villiers et Frédéric Nihous, le 4 juin dernier au Cirque d'hiver et appelé à voter pour les listes Libertas alors que le FRS, présent en portion congrue sur les listes de la majorité populaire, incite à se mobiliser pour faire gagner l’UMP dont il est avec le parti radical valoisien le parti fondateur.
« Barnier ment »
Valeurs Actuelles faisait état dans son dernier numéro de dissensions au sein du FRS. Nous avons voulu en savoir plus et contacté M. Delhoume par téléphone jeudi soir. « Jusqu’au meeting de ce soir, je n’avais pas pris officiellement la parole » nous confie-t-il. Déçu, il l’est. « J’ai reçu une lettre m’informant de l’ouverture d’une procédure disciplinaire à mon encontre suite à ma présence au Benoîthon de Frigide Barjot sur la place Jean-Paul II. La direction du FRS s’en prend à mes « prises de position désastreuses » qui auraient gêné Christine Boutin, au ministère. C’est vrai, je ne les avais pas averti », concède-t-il.
Mais pourquoi Libertas ? « Si je fais de la politique, c’est pour qu’un jour nos idées soient traduites par des actes ». Point de hors-système donc. « Les candidats du FRS, de qualité comme Xavier Lemoine, maire de Montfermeil en 7ème position en Ile-de-France, n’ont aucune chance d’être élus » regrette-t-il. Emmanuel Delhoume dénonce « l’attitude de mépris de l’UMP envers le FRS » et « l’absence de débat au sein du FRS où jamais la question de la stratégie pour les européennes n’a été abordé ». Et de rappeler qu’on peut être membre du FRS sans être membre de l’UMP, le cas d’un tiers des adhérents du FRS selon Christian Dupont, porte-parole de Christine Boutin depuis 6 ans. « Philippe de Villiers est le seul à être en position de peser et je lui fais confiance sur deux sujets qui me tiennent particulièrement à cœur : la défense de la famille et de la vie et le refus de voir la Turquie entrer en Europe. » Un sujet sur lequel « Barnier, qui n’a aucun scrupule, aucune morale, ment ». Emmanuel Delhoumme regrette que « l’UMP trompe, abuse beaucoup de gens, notamment beaucoup d’amis du Forum (des républicains sociaux, NDLR) qui vont voter pour ses listes de bonne foi ». Il veut bien sûr parler du projet de loi sur le travail dominical, qu’il n’hésite pas à qualifier (et nous avec) de « loi impie ». « C’est une question de principe pour quelqu’un comme moi qui a une conception chrétienne de la vie en société ». Emmanuel Delhoume pose la question « jusqu’où Christine Boutin va-t-elle accepter d’aller ? ». « Je lui ai envoyé un courriel ce soir (jeudi, NDLR) où je réaffirme ma fidélité au FRS et à sa personne, j’explique souhaiter rester au FRS et que le FRS reste fidèle à sa vocation ».
L’homme, « en cohérence avec (ses) choix antérieurs et ceux de la présidente du FRS » nous explique qu’il y a beaucoup de déçus au sein du parti qui regroupe environ 8 000 adhérents. « J’ai dénoncé le positionnement du PPE sur l'entrée de la Turquie en UE dans une contribution parue sur le site du FRS, et celle-ci est toujours accessible. Je ne vois donc pas pourquoi nous nous allions à l’UMP, qui fait partie du PPE, pour ces élections.
« Pas représentatif »
Christian Dupont, le porte-parole de Christine Boutin, nous affirme qu’Emmanuel Delhoume « n’est pas représentatif », n’ayant « pas de fonction représentative au sein du FRS ». Il se dit étonné que l’on prenne comme point de départ « l’article erroné de Valeurs Actuelles ». « Satisfait » de la présence de 5 candidats sur les listes de la majorité, dont « un en position éligible » pour « un jeune parti comme le FRS », il reconnaît que si on compare le traitement reçu par le FRS à celui reçu par la Gauche moderne et des Progressistes, « ça peut être une frustration ».
Le FRS, qui veut être « un caillou dans la chaussure » de l’UMP, le poil à gratter de la majorité, revendique les victoires provisoires sur le travail dominical et le statut du beau-parent. « Grâce à Christine Boutin, des projets de lois que le gouvernement voulait faire voter par le Parlement en catimini ont été dénoncé sur la place publique » et leur adoption compromise. Il pense notamment au projet de loi sur le statut du beau-parent déjà préconisé par le rapport Pécresse en 2004. « Ce sont des combats qui reviennent régulièrement » mais M. Dupont revendique comme une bataille gagnée le fait de « mettre les adversaire en posture de devoir y revenir ». « C’est tout le problème du sel de la terre. Au FRS, nous voulons apporter du goût au plat ».
Une logique d’influence qui a ses limites ? « Non, à condition de tenir bon sur ses convictions ». Je lui rappelle tout de même qu’en 3ème position sur la liste qu’il soutient en Ile-de-France, figure Jean-Marie Cavada qui s’est déclaré en 2007 favorable au « mariage » homosexuel… « S’il avait pris position pour pendant la campagne des européennes, notre candidat (Xavier Lemoine, NDLR) et le FRS seraient publiquement intervenus ». « Le FRS est un parti qui tient la route et qui s’installe dans le paysage de la majorité gouvernementale de droite ». Et qui commence, nous confie-t-il, à réfléchir à sa stratégie aux élections régionales et européennes. « On ne suit pas l’UMP, on est un parti de gouvernement » qui n’aurait à déplorer aucune tension en son sein : « j’ai vérifié auprès des cadres du FRS ».
Rédigé le 06 juin 2009 à 19h40 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Elections européennes, Identité, L'UE au quotidien, La vie des médias, Le dimanche, c'est sacré !, SOS Homofolie, UE/Turquie, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'association "Oui à la vie" communique :
L’article de Libération Bordeaux, intitulé « Les féministes font rebrousser chemin aux anti-IVG », sous la plume de Stéphanie Lacaze, nécessite plusieurs mises au point. Bien évidemment, son auteur n’a pas estimé nécessaire de prendre contact avec l’association « Oui à la Vie » pour comprendre l’esprit dans lequel se déroulera la marche du 6 juin. Ce n’est pas l’association « Oui à la Vie », par peur des « féministes », qui a décidé de modifier le lieu de départ de la marche, mais la Préfecture et la police qui lui ont imposé ce changement en raison du nombre de marcheurs attendus. La marche du 6 juin n’est pas une manifestation « anti-IVG » rassemblant des gens « virulents », mais une marche pour la Vie et la famille. Pour les enfants. Pour les personnes handicapées. Pour les personnes âgées. L’association « Dies Irae » ne s’est jamais manifestée pour apporter le moindre soutien à cette marche. Les participants ne viennent pas de « Saint Eloi », mais de toute l’Aquitaine, catholiques, protestants, orthodoxes, juifs ou sans croyance particulière, si ce n’est celle en l’amour de la Vie et de la famille. Nous laissons au planning familial et à Madame Barbara Duval la liberté de prêcher l’euthanasie pour les enfants trisomiques ou les personnes âgées grabataires qu’ils estiment indignes de vivre, comme ce fut le cas dans l’Allemagne des années 1930. Nous leur laissons la liberté de chanter les louanges de l’avortement en leur rappelant simplement les dernières paroles de Stéphane Audran, signataire en 1971 du « manifeste des 343 salopes » : « C'est terrible de se faire avorter ». Mais nous ne leur laisserons pas, samedi, la liberté et l’impunité d’insulter, de menacer et d’agresser, verbalement ou physiquement, les centaines de famille présentes à cette marche.
Rédigé le 05 juin 2009 à 18h36 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, La vie des médias, Le dimanche, c'est sacré !, SOS Homofolie, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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e-deo.info se mobilise contre le projet de loi sur le travail dominical que souhaite imposer le gouvernement et diffusera dans les heures à venir des mini-entretiens exclusifs avec José Bové, Julien Sanchez, Noël Mamère, Farid Smahi, Eva Joly, Marielle de Sarnez, Nicolas Bay, Corinne Lepage, Marie-George Buffet, Patrick Le Hyaric, Raquel Garrido, Jean-Marie Le Pen et Jean-Michel Dubois.
A noter que Daniel Cohn-Bendit, Cécile Duflot et Roger Holeindre ont refusé de répondre à nos questions sur le travail dominical.
Rédigé le 05 juin 2009 à 14h52 dans Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Exclusif ! e-deo.info a interrogé Axel de Boer, Président de Solidarité France (un petit parti ouvertement pro-Vie qui s'inspire ouvertement de la doctrine sociale de l'Eglise) et tête de liste en Ile-de-France pour les élections européennes.
Qu'est-ce qui vous a amené à vous intéresser à la défense de la vie et de la famille ?
Mon engagement pour la Vie est le fruit d’une histoire d’amour ! En 1997 j’ai aimé une femme qui avait vécu un avortement et j’ai porté cette blessure avec elle. C’était ma première rencontre avec le syndrome post-abortif, avant je ne savais pas ce que le mot avortement recouvrait exactement. Autant dire que la place de la femme est centrale pour moi. Il est plus facile pour un homme de parler de ces choses parce que le vécu est moins intime, c’est ce que me disait récemment une animatrice d’émission radio, plutôt progressiste et appartenant à la génération 68, qui ajoutait « avec l’avortement, on s’est faite avoir ».
Solidarité n'est pas seulement "pro-Vie", tout votre programme semble s'inspirer clairement de la DSE, pouvez-vous nous le confirmer ?
Défendre et aimer la Vie est un projet de société, car aujourd’hui la Vie est attaquée de toute part. Que ce soit les menaces environnementales, économiques, sociales mais aussi contre la famille et contre la personne, nous faisons face à une véritable offensive générale de la culture de mort face à laquelle nous devons réagir. Face à la culture de mort, nous devons opposer une culture de Vie, en recentrant l’action politique sur l’essentiel : la dignité de la personne humaine, qui commence par le droit à la vie sans condition préalable. La primauté donnée de la personne humaine est un prisme qui dessine un projet de société et même de civilisation.
La doctrine sociale de l’Eglise « experte en humanité » met à notre disposition le fruit de 2000 ans d’expérience sous la forme d’un texte non dogmatique offert à tous les hommes de bonne volonté. Fort de ce travail d’une richesse considérable nous pouvons bâtir un programme politique novateur qui soit en accord avec la loi naturelle et les défis du monde contemporain. C’est la raison d’être de notre parti politique : rendre présentes dans le débat public ces valeurs auxquelles nous croyons.
Vous présentez finalement deux listes, une en Ile-de-France, une autre dans le Sud-Est. Quels sont vos objectifs ?
Nous suivons une stratégie à trois étages, dont chacun est une raison suffisante d’avancer. Nous voulons en premier lieu donner un témoignage public, aller vers les gens. Lors d’un tractage, une jeune fille m’a dit avec candeur: "je ne savais pas que l’on pouvait être contre l’avortement". Cette parole montre l’échec de stratégie de communication basée sur le seul média internet, qui finalement ne touche que nos amis. Ce qui est vrai pour l’avortement l’est bien plus pour tous les autres aspects de la culture de vie. Combien de personnes ont conscience qu’il s’agit des clefs pour bâtir un avenir plus humain et plus juste ? Malgré nos faibles moyens, peut-être 1 million de personne verront une affiche (et même deux) qui parle de la culture de Vie. Lorsque nous le pourront financièrement, ils seront des millions à recevoir une circulaire qui parle de la culture de Vie et de la DSE : aucun média accessible ne touche autant de monde !
Nous voulons ensuite montrer l’unité de tous les combats sectoriels qui défendent la Vie, dans tous les domaines, et les unifier en une seule force. Notre troisième étage est ambitieux : nous voulons forger pour le XXIème siècle une démocratie chrétienne qui réponde aux défis de notre temps. Il y a un siècle, un petit groupe de personnes ont pensés et formés la démocratie chrétienne qui a ensuite dominé l’Europe pour 50 ans avant de tomber sur ses contradictions. Avec les nouveaux défis, et les nouveaux textes de l’Eglise, il apparaît clairement que le temps est mûr pour une nouvelle aventure politique. Nous avons pu constater que ce projet intéresse aussi bien l’Eglise que les fidèles.
Alors, en terme de résultat électoral, je ne sais pas ce que nous pouvons espérer parce que nous n’avons pas les moyens de « faire le plein » de notre électorat naturel qui est assez important et surtout très large. Cela, parce que les médias en particulier chrétiens sont réticents envers toute forme d’engagement à caractère prophétique, même modéré. C’est une vieille maladie de toute institution, il faut rassurer avant tout. De toute façon, cette participation électorale va nous permettre d’avancer.
Est-ce la première fois qu'une liste ouvertement pro-Vie se présente à des élections en France ?
C’est en tout cas la première fois qu’un parti ouvertement pro-Vie se construit en France, jusqu’ici certains partis ont inclus à leur programme d’une manière sincère certains thèmes en lien avec la culture de Vie ou la DSE, mais cela n’a jamais constitué le cœur de leur projet de société. Il y a eu ici et là des candidatures « pro-Vie », mais leur caractère ponctuel empêchait tout travail de longue haleine et toute « capitalisation » du travail accompli. Nous nous situons dans une perspective de construction sur le moyen et long terme.
J'ai pu constater que votre slogan "Le 7 juin, pour la fête des mères, votez pour la vie" et votre affiche ne laissent pas les passants indifférents...
Notre affiche veut résolument donner la parole à la Vie, sous la forme d’un dessin d’enfant. La plupart des listes tombent dans l’habitude politique de montrer les candidats, au prix d’une personnalisation des campagnes au détriment du contenu. Nous voulons une culture de Vie et nous ne poursuivons pas d’ambition personnelle, notre affiche le montre. Plutôt que de prendre les images de bébé ou des images plus sanglantes encore que certains utilisent parfois avec excès et qui blessent, nous avons voulu illustrer la vie dans sa beauté et sa fragilité. La famille est la valeur préférée des français, rappeler que la fête des mères est l’occasion d’un vote responsable pour la Vie nous a semblé une évidence.
Quels arguments donneriez-vous pour qu'on vote Solidarité ?
Outre les raisons que nous avons évoqués, que nous sommes le seul parti qui fait de la Vie et de la DSE le cœur de son programme et sa raison d’être, et que vos voix serviront à donner plus de poids à la construction de notre mouvement et à assurer notre présence dans les élections à venir, une raison politique immédiate fait de nos listes un vote vraiment utile. Je m'explique : l’UMP a pris la décision de donner la priorité à l’alliance « progressiste » contre les valeurs chrétiennes. Cela est clairement marqué par la mise à l’écart du FRS. Cela, parce que notre président pense que le vote chrétien lui est acquis de toute façon : il ne voit pas pourquoi il ferait des concessions aux chrétiens ! Le seul moyen de lui montrer qu’il pourrait perdre cet électorat est que nous fassions un score raisonnable. S'il apparaît dans cette élection que les catholiques commencent à refuser de voter UMP à cause des attaques récentes (adoption homosexuelle et travail du dimanche) et futures, alors ils calmeront leur discours. Il n’y a pas d’autre moyen.
Vous proposez des mesures plus originales comme le bulletin de vote unique à cocher... Que pensez-vous du système des "eurocirconscriptions" ou "eurorégions" qui handicape les petites listes ?
Nous proposons surtout des mesures concrètes comme le vote parental, une allocation jeune-enfant européenne dès la déclaration de grossesse, mais aussi la reconnaissance politique du monde associatif et bien entendu l’inscription dans les textes européen du droit à la vie de la conception à la mort naturelle et la mention de nos évidentes racines chrétiennes.
Nous pensons en effet qu’il serait plus démocratique et écologiquement responsable (300 ou 400 millions de bulletins imprimés pour moins de 20 millions de vote exprimés) de faire un seul bulletin où il serait possible de cocher la liste pour laquelle on vote. C’est ce que font les Pays-Bas par exemple. On garde la trace physique du vote en cas de contestation, tout en réduisant le gaspillage de papier et donnant à chaque liste la chance d’être présente dans tous les bureaux. .
Les eurocirconscriptions ont été formées pour « permettre à la voix de la France de s’exprimer d’une façon plus homogène », c’est-à-dire pour refléter la volonté du gouvernement ou de son opposition officielle. La démocratie n’est pas le sujet de cette élection. En pratique, les deux partis qui vont ensemble à peine atteindre 40% des votes auront la très grosse majorité des sièges. C’est ce qu’ils veulent. Il faut établir des règles communes à toute l’Europe et choisir la forme la plus démocratique, si on veut que ce parlement soit réellement représentatif.
Mais nous sommes confiant que nous parviendrons à construire cette voix chrétienne pour le XXIème siècle, malgré les obstacles, parce que c’est une urgente nécessité.
Rédigé le 04 juin 2009 à 08h35 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Environnement, Jeunes, L'UE au quotidien, Le dimanche, c'est sacré !, Notre Eglise, SOS Homofolie, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Jeanne Smits constate dans Présent :
A Chartres, une cathédrale bondée accueillait en priorité les enfants qui avaient marché : les premiers rangs leur étaient réservés. Tous ces jeunes, toutes ces familles, tous ces fidèles « ouvriers de la dernière heure » venus rejoindre au pied de Notre-Dame ceux qui avaient peiné pendant trois jours se rendent-ils compte de tout ce qui a changé depuis la naissance du pèlerinage ? Jadis, c’est devant les portes closes du sanctuaire que tous les marcheurs assistaient au saint Sacrifice ; aujourd’hui, si des centaines de pèlerins assistent toujours à la messe depuis le parvis, c’est faute de place à l’intérieur. Cette année, aux côtés des dizaines et des dizaines de prêtres, moines, religieux venus du Barroux, de l’Institut du Christ-Roi, de la Fraternité Saint-Pierre, etc., on voyait aussi des prêtres diocésains de Paris.
Mgr Pansard, évêque de
Chartres, qui avait tenu à prononcer l’homélie, parla contre le
libéralisme, citant les papes de Pie IX à Pie XII.
Et d’exhorter les fidèles à jouer leur rôle dans la cité, pour prendre
la défense du dimanche, de toute vie conçue. La porte n’est plus close,
décidément. « A petits pas bien décidés », le rite extraordinaire et
son esprit retrouvent leur droit de cité.
A Paris, l’arrivée du pèlerinage de la Fraternité Saint-Pie X, là encore accompagné de nombreux prêtres, religieux et religieuses avait été détournée de son lieu habituel au pied de la basilique de Montmartre. L’hostilité des gaucho-écologistes de la mairie de Paris eut pour effet de permettre « providentiellement » que les marcheurs achèvent leur pèlerinage au pied des Invalides, au cœur de la ville. Ils remplissaient cette place avec leurs bannières, leurs prières, leurs chants qu’on entendait de loin, leur fatigue offerte, leur sacrifice aussi de ne pas être dans un sanctuaire, exclus tout de même, laissés dehors.
Rédigé le 04 juin 2009 à 07h29 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Jeunes, Le dimanche, c'est sacré !, Notre Eglise, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lu dans Le Parisien du 27 mai :
Décidément, tout est bon pour faire voter par le Parlement l'autorisation de travailler le dimanche...
Mais le monde de l'entreprise, Brice Hortefeux ne connaît pas !
Rédigé le 27 mai 2009 à 11h25 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 24 mai 2009 à 14h36 dans Chrétien(s) au quotidien, Défendre la famille, Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La crise que nous traversons appelle à une mobilisation de tous, afin de sauvegarder et de créer des emplois. Toutes les études dont nous disposons font le même constat : le développement des grandes surfaces et des centres commerciaux est destructeur net d’emplois !
S’il n’y a aucun salarié au rayon chaussures d’une grande surface, le magasin de chaussures de centre-ville, lui, compte au moins un salarié et généralement deux ou trois...
La CFTC réaffirme son attachement au dimanche, jour privilégié pour le lien social, le travail bénévole, la vie familiale, personnelle, associative et spirituelle.
Rédigé le 23 mai 2009 à 22h32 dans Défendre la famille, Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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