le 7 août dernier pour la fête des nouveaux médias catholiques.
A quand un rassemblement équivalent en France ?
le 7 août dernier pour la fête des nouveaux médias catholiques.
A quand un rassemblement équivalent en France ?
Rédigé le 15 août 2010 à 02h09 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Etats-Unis, Jeunes, La vie des médias, Réacosphère, Société civile (EU), Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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annonce Libération. "Nouveau centre" ou "Centre islamique", plus besoin de choisir !
Lire aussi :
> Polémique à Orléans autour d'un "apéro du terroir"
Thibaud
Rédigé le 08 août 2010 à 01h52 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Mehdi Ouraoui, secrétaire national du Parti socialiste, Tahar Ben Chaabane, conseiller municipal Nouveau centre d’Orléans et Mourad Guichard, journaliste chez Libération choqués. Et pas invités, d'ailleurs.
Le quotidien de gauche joue la vierge effarouchée, notamment par cette phrase trouvée sur le groupe Facebook relatif à l'événement (en fait une blague de potache) : « Pour être certains de ne pas avoir de problèmes et de recevoir que des amis, je vous demande d’amener beaucoup de porc (égorgé avec le cul vers St Jacques de Compostelle de préférence, merci) et j’aurai de l’alcool à gogo. Merci de votre compréhension. ;-) ».
Soutien total aux deux créateurs du groupe.
Rédigé le 06 août 2010 à 00h04 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, La vie des médias, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Moins de deux semaines après avoir annoncé ses fiançailles avec Levi Johnston, le père de son enfant dont elle était séparée depuis deux ans, Bristol Palin, 19 ans, la fille de Sarah Palin, vient d'expliquer à People Magazine qu'elle rompait son engagement...
A ce sujet, lire :
Rédigé le 04 août 2010 à 02h07 dans Avortuerie, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Etats-Unis, Jeunes, Société civile (EU), Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Matthieu Ceillier présente l'association Dextra (qu'il préside) dans les colonnes des 4 Vérités Hebdo (site) de jeudi :
Dextra est une association politique apparue en 2009 qui s’est fixée pour objectif de contribuer à reforger une vraie droite intellectuelle en France.
Une droite qui soit fidèle aux leçons de la philosophie classique et chrétienne, afin de définir les lignes et les principes d’une action politique au service de la France et des Français. Cette droite authentique doit être conforme aux principes qui la fondent et promouvoir le patrimoine spirituel, culturel, matériel et environnemental de notre pays.
Les partis classés « à droite » ne sont pas de droite : faisant le constat de la déroute idéologique de la « droite » d’affaires, vidée de toute substance et à genoux devant le règne sans partage de l’Argent, nous voulons contribuer à la constitution d’un pôle de droite revendiquée et sans complexes, résolument tournée vers l’avenir et, partant, en recherche permanente de solutions audacieuses aux problèmes de notre temps.
Pour nos lecteurs qui souhaitent se former cet été :
L’Université d’été de Dextra propose de former les participants à la philosophie et aux techniques politiques, afin de devenir les cadres de demain dont la France a besoin.
Consistant en une semaine de formation dans le cadre prestigieux du château de Lignières, où nous sommes aimablement accueillis par le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme, l’Université d’été de Dextra est également un moment d’amitié, où la jeunesse française animée d’une même conviction peut se retrouver, échanger et tisser des liens durables. Elle durera du 20 au 29 août 2010 inclus. Cependant, malgré la bonne ambiance qui y règne, l’Université d’été de Dextra n’a pas vocation à être une colonie de vacances. Se donnant pour objectif de former l’élite politique de demain, les inscriptions se font exclusivement sur candidature en ligne sur le site.
Rédigé le 03 août 2010 à 02h39 dans Agenda, Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Histoire, Jeunes, L'UE au quotidien, Patrimoine, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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est ouverte...
Thibaud
Rédigé le 01 août 2010 à 17h32 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Sur Liberté Politique, Michel Fauquier revient sur l'entretien accordé par Jean-Frédéric Poisson à e-deo entre les deux tours de la législative partielle de la 10ème circonscription des Yvelines qui a vu l'élection de la candidate Europe Ecologie, Anne Poursinoff.
"Première erreur, la loi Mallié ne concernerait que les chrétiens : si elle les concerne au premier chef (le repos sabbatique devenu dominical est quand même un commandement divin), il est une évidence que la loi ébranle l’ensemble de l’organisation sociale en son fondement, ce que j’ai rappelé de façon argumentée dans ma Lettre du dernier des chrétiens au premier des Français, pp. 24-29 (éditions Tempora, Perpignan, janvier 2009).
Aucun syndicat ne s’y est trompé et, pour ma part, je m’en réjouis. Je précise au passage que l’argument de l’enrichissement de Force ouvrière est à la fois inexact (même la C.F.T.C. gagne ses procès dans le cas d’espèce), et inapproprié, pour ne pas dire plus : je ne sache pas en effet qu’un syndicat fasse un procès pour gagner de l’argent, mais pour faire respecter un droit, celui du salarié. Léon XIII a dit deux ou trois choses sur la question qu’il serait bon de méditer : loin d’avoir désorienté son seul électorat chrétien, M. Poisson a certainement démobilisé ceux que les papes, depuis Jean XXIII, ont pris l’habitude d’appeler les « hommes de bonne volonté », lesquels sont, un peu comme les Patagons, plus nombreux que l’on ne pense.
Seconde erreur : « Il n’y avait pas de bonne solution. Quand j’en ai demandé une, personne ne me l’a fournie. » Je me rappelle pourtant, et je ne crois vraiment pas avoir été le seul, que j’avais discuté de ce point avec M. Poisson. La solution était très simple ; faire appliquer la loi (l’ancienne) en faisant fermer les magasins la transgressant, ce qui a été fait à Nantes avec un succès immédiat juste après le vote de la loi Mallié. Une grande enseigne vendant des meubles, ne reculant pas devant des méthodes de voyou tout en entretenant soigneusement la chimère de son « modèle social », avait en effet tenté d’ouvrir le dimanche en décembre 2009… Contre l’avis du Comité d’Entreprise… et alors qu’elle n’était pas dans les tristement fameux P.U.C.E. (Périmètre d’usage de consommation exceptionnel) prévus par la loi (cf. Presseocean.fr) !
L’envoi de quelques C.R.S. a tout fait rentrer dans l’ordre en quelques minutes… et le dirigeant de ladite enseigne n’a trouvé personne pour soutenir son attitude inqualifiable, certainement pas ses employés, déjà contraints de travailler deux soirs par semaine jusqu’à 21 H 30 min. Ces employés sont pourtant « volontaires » nous dit-on : pour ma part, quand je suis allé constater la situation sur place, je les ai trouvé plus fatigués que volontaires, et j’ai compté plus d’employés âgés de la trentaine ou de la quarantaine que de « jeunes étudiants finançant leurs études par des petits boulots du soir », ceux au nom desquels on a justifié la loi Mallié.
Troisième erreur : « Je suis allé au bout de ce que je pouvais faire sur ce texte de loi. » De toute évidence non, à moins de considérer qu’un député n’aurait pas le droit de voter contre un texte de loi présenté par la majorité à laquelle il appartient. Si tel était le cas, il faudrait alors admettre que les électeurs n’élisent pas des députés qui les représentent en défendant leurs intérêts, mais des godillots seulement destinés à capter leurs suffrages pour en apporter les dépouilles à leurs partis ou groupes parlementaires. La loi Mallié, qui pose déjà un grave problème social, pose donc de surcroît un problème institutionnel : comment notre système, supposé démocratique et reposer sur l’exercice de la liberté individuelle, peut-il régulièrement amener des députés à voter sous la contrainte des textes rejetés par une majorité écrasante de leur électorat ?
Compromis ou discipline de parti ?
Dernière erreur : les électeurs de la 10ème circonscription des Yvelines auraient « soldé les comptes » en votant dimanche dernier pour M. Poisson. Ils n’avaient pourtant aucune raison de le faire, la position de M. Poisson n’ayant manifestement pas changé, puisque, à la veille du second tour, il semblait toujours estimer que la loi Mallié était un moindre mal. Or, loin d’être un texte amélioré par rapport au projet initial, la loi Mallié est le pire des textes qui ont été élaborés. Sait-on ainsi que la loi Mallié, présentée cyniquement par le législateur comme « réaffirmant le principe du repos dominical » (loi 2009-974 du 10 août 2009), contient, entre autres, cette disposition monstrueuse :
« Les autorisations [d’ouverture dominicale] prévues aux articles L. 3132-20 et L. 3132-25-1 sont accordées au vu d’un accord collectif ou, à défaut, d’une décision unilatérale de l’employeur prise après référendum [...]. En l’absence d’accord collectif applicable, les autorisations sont accordées au vu d’une décision unilatérale de l’employeur, prise après avis du comité d’entreprise ou des délégués du personnel, lorsqu’ils existent, approuvée par référendum organisé auprès des personnels concernés par cette dérogation au repos dominical » (art. L. 3132-25-3).En clair, la loi permet à l’employeur, moyennant une mascarade démocratique (un simple avis des employés), de s’asseoir sur l’opinion de ses employés (décision unilatérale de l’employeur). Comment un chrétien pourrait-il justifier une telle forme d’asservissement ?
Finalement, cette affaire est symptomatique d’une erreur d’appréciation qui fait des dégâts considérables : à entendre certains, la seule façon d’agir en politique consisterait à faire des compromis et, mieux, à justifier ces compromis, les électeurs qui n’avaliseraient pas cette tactique hasardeuse étant en dernier ressort les seuls coupables de l’élection d’« un député d’extrême-gauche. »
Mais, si on peut imaginer bien des domaines où les compromis sont pensables et même souhaitables (par exemple à propos d’un tracé d’autoroute ou d’un plan d’aménagement urbain), ceci reste-il valable pour une question aussi déterminante que le repos dominical ? En fait, ce que d’aucuns appellent un « compromis », s’apparente à une culture de la soumission à la discipline de parti. Les électeurs eux, n’élisent pas des partis, mais des hommes, et ils attendent que ceux-ci se comportent en conséquence. Si ces hommes font taire leur conscience, ils doivent s’attendre à ce que leurs électeurs fassent taire leurs suffrages.
Rédigé le 31 juillet 2010 à 01h51 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Le dimanche, c'est sacré !, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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et les valeurs conservatrices ?
Here are parents of every race, class and background valiantly trying to offset an intrusive media's corrosive impact in the lives of their children, as they cope with a public school system that reinforces the media's socially destructive messages. As though in partnership with these negative forces, along come the pro-lifers, who validate youthful sexually promiscuous behavior, by celebrating its inevitable outcome and consequences. They have not only helped to normalize illegitimate childbirth, but have raised it to the status of saintliness. Instead of a Scarlet Letter, Hester gets a heads up and encouragement to repeat her folly.
A propos de Bristol Palin, la fille de Sarah :
(...) The pro-life Auster asks the question of the day: "Was it right to have this unmarried, pregnant 17-year-old girl at the Republican convention holding hands with her boyfriend on national and global television, thus normalizing an out-of-wedlock sexual relationship and pregnancy at the highest level of our national life?"
Republicans, says Auster, have put conservatives in a position where no negative judgment can be expressed about out-of-wedlock pregnancy. Not only have they done this, they offer up congratulations to the expectant Mom. "Since when," he asks, "is it good news that a 17-year-old high school student will be caring for her new born," while still in school?
And why are the circumstances presented to the public by Palin considered acceptable? Auster contends, "Because Bristol's baby is not being aborted. The non-abortion turns the unmarried pregnancy and the upcoming teen-age marriage into a blessed event! ... This is the way these Christian conservatives are responding – because of the moral reductionism that effectively eliminates all moral evils except for the evil of abortion."
(...) Pro-lifers apparently use the "conservative" label only as a convenience, which also explains their affiliation with the Republican party. It's a marriage of convenience. Hardly any more conservative in their outlook on most issues than their liberal counterparts, pro-lifers have overtaken the party, in order to have a base from which they can effectively promulgate their intransigent stance against abortion. And this is the only item on their cultural agenda.
Ce post est certes provocateur mais la réflexion mérite d'avoir lieu : l'avancée dans les mentalités - toute relative en France, réelle aux Etats-Unis - des arguments pro-vie a lieu au détriment du mariage. Ayez un enfant hors mariage et même dans le milieu "tradi", c'est à peine si on ne vous starifiera pas, au motif que vous n'avez pas avorté ! Or, il n'y a jamais autant d'avortement que lorsque les gens ne s'engagent pas ensemble, solennellement et dans la durée pour ensuite accueillir la vie. La précarité affective est l'ennemi n°1 de l'enfant à naître. Le retour en force du mariage chez les jeunes est LA condition à une réduction importante et durable du nombre d'avortements. Qu'on se le dise, la culture de vie ne se limite pas à la lutte contre l'avortement. Elle passe aussi par la promotion du mariage, de la chasteté en général (continence avant le mariage, respect, fidélité et ouverture à la vie pendant).
Thibaud (merci à RB)
Rédigé le 30 juillet 2010 à 16h30 dans Avortuerie, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Etats-Unis, Jeunes, Société civile (EU), Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu sur le site islamique Al-Kanz (partenaire de Rue 89) :
Aujourd’hui, nous sommes en mesure de vous confirmer, comme nous le soutenons depuis le début, que non seulement Quick n’abandonnera pas le halal, mais que 14 restaurants passeront au « halal » dès le 1er septembre prochain, à Chelles (77), à Sevran (93), à La Courneuve (93), à Rosny-sous-Bois (93), à Créteil (94) et dans le quartier de Hautepierre à Strasbourg (67) [un quartier où "on" tente d'incendier le temple protestant avant de le saccager parce que l'on y prie le Christ..., NDLR]. Les villes de Lille, Bordeaux et de nouveau Marseille seraient aussi concernées. En revanche, aucun des restaurants parisiens n’a été sélectionné.
Tout cela était évidemment cousu de fil blanc. Depuis le passage au « halal », les huit restaurants qui ont défrayé la chronique avant les élections régionales ont évité la fermeture. Mieux, le chiffre d’affaires de chacun de ces restaurants a littéralement explosé. Un succès rapide, dont l’ampleur a surpris le groupe Quick lui-même.
Je ne jeterai pas la pierre aux Français (même patriotes) qui continuent à aller de temps en temps chez Quick (ou McDo, peu importe). Car, dans beaucoup d'endroits, manger français pour moins de 10 euros est malheureusement impossible. Ou alors il faut se contenter de l'éternel sandwich à emporter. Si des entrepreneurs nous lisent...
Par ailleurs, il ne faut pas négliger la radicalisation des croyants musulmans. Ceux-ci vont être de plus en plus nombreux à contester le caractère halal des menus des établissements Quick jurant l'être. Les guillemets qui cernent le mot "halal" dans l'article d'Al-Kanz veulent déjà tout dire... Quick va se les mettre progressivement à dos tandis que des musulmans monteront leurs chaînes de restauration rapide, tenues par des musulmans et plus militantes (par exemple soutenant Gaza, à l'image de Mecca Cola). L'image de la chaîne aura parallèlement été écornée auprès des Français dits "de souche" (qu'ils aillent demander aux polos Lacoste ce qu'il en coûte en terme d'image d'être associé à certaines populations) qui auront d'ici-là, je l'espère, une ou - pourquoi pas - plusieurs alternatives...
> "Fast-islamisation" : tous nos articles
Rédigé le 29 juillet 2010 à 02h35 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Patrimoine, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Communiqué
"Véronique BESSE, député de la Vendée, réagit à la proposition de Roselyne BACHELOT, Ministre de la Santé, d'autoriser en France l'ouverture de salles de consommation de drogue.
Pour Véronique BESSE, ce projet qui autorise chacun à se détruire en silence est dangereux, trompeur et irresponsable.
- un projet dangereux : comme dans tous les pays qui l'ont pratiqué, l'ouverture de salles de consommation de drogue entraînerait la légalisation et l'explosion de la consommation ;
- un projet trompeur : le fait de se droguer dans un local aseptisé ne rend pas la drogue plus douce et moins nocive ;
- un projet irresponsable : ce discours permissif de la part d'un Ministre de la Santé ruine le travail quotidien de prévention réalisé auprès des jeunes par des professionnels.
Plutôt que d'inciter les jeunes à « se droguer proprement », Véronique BESSE indique qu'il est plus urgent que jamais de renforcer la prévention auprès des personnes fragiles."
Rédigé le 28 juillet 2010 à 23h06 dans Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Science, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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sur les pelouses du Carrousel du Louvre, au pied de l'aile Richelieu dans le 1er arrondissement de Paris (station "Palais Royal-Musée du Louvre" sur la ligne 1 de métro).
Venez nombreux avec vos victuailles !
Rédigé le 28 juillet 2010 à 14h43 dans Agenda, Détente, Economie et social, Jeunes, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Quelle politique de santé publique en France ?
Roselyne Bachelot, Ministre de la Santé, a multiplié ces dernières semaines les déclarations abruptes et intempestives qui manifestent clairement de sa part la volonté de promouvoir en France l’avortement, que le Concile Vatican II a dénoncé comme « un crime abominable » (1). Mme Bachelot, qui est à l’origine du relèvement en mars 2010 du forfait de l’IVG au profit des médecins qui pratiquent l’avortement, entend faire de l’accès des femmes à l’avortement l’une de ses principales priorités (2).
Elle ose affirmer que l’avortement n’est pas un mal nécessaire (3) et n’hésite pas à présenter « l’offre de soins » en matière d’IVG (4), c’est-à-dire le nombre d’avortements pratiqués, comme un critère essentiel d’évaluation des Agences régionales de santé (5).
Cette politique est d’autant plus surprenante que le nombre d’avortements est particulièrement important en France (où le taux d’IVG est, par exemple, deux fois plus élevé qu’en Allemagne) ; elle est d’autant plus incompréhensible que les femmes françaises sont 86% à considérer que « l’IVG laisse des traces psychologiques difficiles à vivre » comme elles sont 83% à penser que la société devrait « davantage les aider à éviter le recours à l’IVG » (sondage IFOP-Alliance pour les Droits de la Vie du 4 mars 2010)…
Par ailleurs, Mme Bachelot qui se targue d’avoir interdit, au nom de la protection de la jeunesse, la vente d’alcool et de cigarettes aux mineurs, vient de se prononcer en faveur de la mise en place expérimentale, en France, de salles d’injection (pudiquement appelés « centres de consommation supervisés ») pour accueillir les toxicomanes et leur permettre de se droguer « proprement » !
Nombreux sont donc nos concitoyens, et plus particulièrement les professionnels de la santé, qui s’inquiètent des orientations, des dérives et des incohérences actuelles de la politique de la santé publique en France. Les mots « santé » et « soins » auraient-ils désormais un nouveau sens ?
Dans ces conditions, sans doute est-il plus nécessaire que jamais que les chrétiens et les hommes conscients de leurs responsabilités puissent s’engager sur le terrain de la vie sociale, politique, associative et culturelle pour promouvoir une « culture de la vie » respectueuse de la vie et de la dignité de tous.
Le 26 juillet 2010,
+ Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, président de l’Académie diocésaine pour la Vie
(1) Constitution Gaudium et spes, 51, §3
(2) Cf. sa déclaration du 4 mai dernier lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale.
(3) Cf. son discours du 15 juin dernier au Sénat : « l’IVG est présentée comme un mal nécessaire. Je ne m’associe pas à cette présentation négative »…
(4) Cf. Interview pour le journal 20Minutes « L’IVG doit être une composante obligatoire de l’offre de soin. » (28 janvier dernier)
(5) Le 24 juin dernier, au Sénat.
Thibaud (via Perepiscopus)
Rédigé le 28 juillet 2010 à 10h48 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Détente, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Science, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Plus qu'une question c'est le SOS que lance l'historien Dimitri Casili. Il condamne en effet les nouveaux programmes scolaires appliqués au collège, qui s'ouvriraient aux civilisations étrangères au détriment de l'histoire franco-française. « En septembre, les manuels de 5e consacreront 20 pages à l'Afrique sous le Moyen âge (empires Songhaï et du Monomotapa) ce qui ne laissera plus que 8 pages dédiées à Louis XIV. C'est un pur scandale. »
L'écrivain ne rejette pas le principe d'ouverture aux civilisations étrangères, « mais trop c'est trop. L'an prochain, en 5e, Clovis, Saint-Louis et François Ier passent à la trappe. Pire encore : Louis XIV ne sera plus abordé en 4e mais en fin de 5e. On sait que les profs ont toujours du mal à terminer le programme, et les enfants risquent ainsi de zapper complètement Versailles, la cour du Roi Soleil, etc., bref un pan essentiel de notre Histoire de France ».
Autre personnage en souffrance, Napoléon Ier : « La période 1804-1815 disparaît du programme de 4e. » Adieu Austerlitz, Iena, Wagram : c'est la Bérézina… Lire la suite !
Rédigé le 27 juillet 2010 à 11h01 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Patrimoine, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le quotidien Présent (site) rappelle sous la plume de Caroline Parmentier que
c’est toute la Love Parade elle-même qui porte en elle la décomposition de cette foule dégénérée, buvant, se dénudant et se shootant sur des rythmes techno particulièrement abrutissants. Le Figaro une fois de plus est particulièrement lâche et complaisant lorsqu’il décrit des « jeunes gens partis écouter de la musique techno ». Les témoignages affluent pour décrire la grosse orgie qu’est devenue au fil des années cette manifestation créée en 1989 à Berlin quelques mois après la chute du mur. Beaucoup de Berlinois décrivant chaque année les nuisances de ces fêtards sous l’emprise de l’alcool et de la drogue qui saccageaient le Tiergarten, le grand parc du centre de la capitale. Les images outrées et se voulant provocantes de ces « ravers » paumés en plein « trip » techno, ont fait le tour du monde.
Curieusement, les revendications homosexuelles qui animaient cette Love Parade avec chars ad hoc, ont totalement disparu des dépêches et des reportages après le drame. Pour ne pas les mêler à ça sans doute ! La dépêche d’AFP qui annonce triomphalement et un peu vite à 16 h 35 que la « parade gay » de Duisbourg en Allemagne s’est « déroulée » dans le calme, n’évoque plus jamais ce qualificatif après que le défilé a tourné au chaos sanglant.
Le propriétaire de la marque Love Parade a de son côté annoncé mais un peu tard, que c’était la dernière.
Enfin une bonne nouvelle.
Rédigé le 27 juillet 2010 à 09h34 dans Culture de mort, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Un article du journal La Croix sur l'adoration mérite d'être lu. On y explique les raisons de cette propagation constante de l'adoration dans les paroisses, témoignages à l'appui. C'est ici.
André
Rédigé le 26 juillet 2010 à 23h10 dans Chrétien(s) au quotidien, Jeunes, Notre Eglise, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Session Civitas du 27 au 30 août 2010 à Niherne (Châteauroux) "RESTAURER UNE FRANCE CATHOLIQUE": Conférences - débats - témoignages - travaux pratiques.
Rédigé le 26 juillet 2010 à 20h53 dans Chrétien(s) au quotidien, Formation, Jeunes, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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- Pourquoi les Jeunes du PCD ont-ils choisi de soutenir Benjamin Lancar ?
"Depuis quelques mois nous avons pris le temps de rencontrer tous les candidats. Après de nombreux échanges, nous avons décidé de soutenir Benjamin Lancar. Depuis deux ans il est indéniable que Benjamin Lancar a transformé les Jeunes Populaires en un mouvement structuré et visible, et a su imposer une vraie place pour les jeunes en politique. Benjamin a aussi su résister aux sirènes post-soixante-huitardes. Il est à l'origine de la l'opération "40 ans plus tard : la jeunesse qui bouge à changé de camp" lors du 40ème anniversaire de mai 68, campagne qui a dénoncé l'héritage néfaste des idées de mai 68. Enfin, il a témoigné d'une réelle envie de travailler avec nous. Nous apportons donc à son projet nos forces vives, nos idées et nos valeurs."
- Ses prises de position comme sa participation à la gay pride ne vous gênent pas ?
"Bien sûr nous savons qu'il ne s'agit pas d'élire le Président des Jeunes du PCD, mais bien celui des Jeunes Populaires, et que par conséquent nous pourrons avoir des points de désaccords avec lui. Aucun des candidats ne porte complètement les valeurs du PCD donc notre choix ne pouvait se faire sur le fond. Cependant, nous avons cherché le candidat qui nous proposait le meilleur partenariat de travail, car il est capital que nous restions partie-prenante chez les Jeunes Populaires afin de peser toujours plus dans les débats et de défendre nos convictions avec plus d'efficacité.
Bien entendu sur tous les sujets relatifs à la dignité de l'homme de sa conception à sa mort naturelle nous serons extrêmement vigilants et nous ne manquerons pas de faire entendre notre voix comme nous le faisons depuis 2006 (date de création de la structure « jeunes » de notre parti)."
- Les Jeunes du PCD ont-ils une influence au sein des Jeunes Pops ? Si oui, avez-vous des exemples et comment vous y prenez-vous ?
"Oui, les jeunes du PCD ont une influence au sein des Jeunes Populaires car la qualité de nos travaux en termes de production d'idées et d'argumentaires, ainsi que notre dynamisme lors des campagnes électorales sont reconnus par l'UMP. A ce titre, tous nos candidats "jeunes" lors des dernières élections régionales ont été soutenus par Benjamin Lancar et les Jeunes Populaires. Ce soutien est important lors du passage des dossiers en commission d'investiture.
Pourtant, il est clair que les Jeunes du PCD ne disposaient pas d'une influence institutionnelle car aucun d'entre nous ne siégeait jusqu'à aujourd'hui au bureau national des Jeunes Populaires. Ainsi, pour mieux peser sur les orientations des Jeunes Populaires il nous faut y avoir un représentant. C'est ce à quoi Benjamin Lancar s'est personnellement engagé."
- Qu'est-ce qui pourrait inciter aujourd'hui un jeune à adhérer au PCD et à s'y investir ?
"Les Jeunes du PCD proposent une palette d'activités variées aux 700 jeunes qui nous ont déjà rejoint.
Parmi elles citons : la découverte de la politique (invitation à nos débats et à nos week-ends de formation politique, rencontre avec des personnalités politiques nationales lors de « dîners off », invitation à des rencontres internationales grâce à nos partenariats), le partage des idées (intégration à une équipe pour approfondir et rédiger sa pensée, quand l’actualité croise sa spécialité, le jeune anime une réunion-débat, quand son idée est structurée, il la présente au Ministre concerné) ou encore la préparation à une élection (on lui apprend à creuser son sillon là où il habite, on l’aide à obtenir l’investiture indispensable, on le soutient dans sa campagne).
Tous les types d'engagement sont précieux pour notre petit parti, et chaque jeunes qui se retrouve dans les valeurs du PCD a sa place parmi nous."
Rédigé le 26 juillet 2010 à 15h52 dans Avortuerie, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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Ils ont entre 20 et 35 ans. Pour leurs vacances, ils choisissent de marcher dans le désert dans un esprit de pauvreté. A l’occasion de leurs 40 ans, les Goums organisent un grand rassemblement jubilaire le 31 juillet et 1er août 2010 dans les Causses de Sauveterre (Lozère) en présence de Monseigneur Benoît Rivière, Evêque d’Autun.
Inventée par Michel Menu en 1970, la "recette " des Goums remporte un succès confirmé auprès des jeunes. Le principe : des "raids" de 8 jours en autonomie complète pour des groupes de 15 à 20 personnes, dans des environnements reculés (Causses, Corse, Espagne, Italie, Bosnie, Turquie, Israël, Maroc…). Marche, jeûne, silence, méditation, relations fraternelles en sont les piliers. Clé de voute : la pauvreté. En 40 ans, l’expérience a été vécue par plus de 15000 jeunes. A la base de ce succès : les Goums offrent à chacun les moyens de se recentrer sur l’essentiel, de prendre le temps d’être en vérité, dans une société où priment l’avoir, la consommation, la vitesse, les relations humaines superficielles, et la surenchère d’information par le biais de nos gadgets numériques.
Combler un malaise
« Notre Credo : alors que le monde change très rapidement, au gré de la mondialisation, et que les rythmes de vie s’accélèrent, les besoins fondamentaux de l’Homme sont assez immuables », affirme Stéphane de Saint Albin, l’un des responsables des Goums. « Aujourd’hui comme il y a 40 ans, rien de tel que l’effort, la confrontation avec la nature, la redécouverte du silence et de la présence de l’autre, pour se construire. Pour mieux vivre dans le monde, nous éprouvons le besoin de nous retirer un moment. Au désert, nous refaisons notre unité, dans ses dimensions physiques, psychiques, relationnelles et spirituelles. Débrancher du superflu pour ce brancher sur l’essentiel, c’est totalement d’actualité dans nos vies aux rythmes si denses ». Les Goums sont un moyen privilégié pour vivre des relations humaines empreintes de profondeur et de respect, reprendre une quête spirituelle et redécouvrir la transcendance, au contact de la nature.
L’aventure est destinée à ceux qui, de 20 à 35 ans, aspirent à une grande semaine de marche, exigeante, en des endroits déserts. Etudiants, qui après des années de concours épuisants, ont besoin de se refaire une santé physique et... mentale. Jeunes adultes, qui, avant de s'engager dans leur vocation ou leur vie professionnelle active, veulent savoir comment piloter leur vie...personnelle. Adultes engagés dans la vie active, et qui éprouvent le besoin d'en évacuer les obsessions par un grand bol d'oxygène. « Dans une civilisation de plus en plus technicienne et pressée, les Goums proposent aux participants de prendre le temps de vivre pleinement » ajoute Xavier Hermesse. « Ils sont innombrables, les jeunes qui ont peur de la vie, de l’avenir, et ne vivent qu'à la moitié ou au quart de leur potentiel. Les Goums permettent de se libérer de ce malaise. » La méthode Goum est la même depuis 40 ans. Son succès est la meilleure preuve de son « efficacité ».
Jubilé au coeur du Causse de Sauveterre
Pour célébrer ce jubilé, plusieurs centaines de jeunes et d’anciens "Goumiers" se retrouveront cet été pour un bivouac unique, sur le Causse de Sauveterre (Lozère). Le rassemblement sera marqué notamment par la présence de Monseigneur Benoît Rivière, Evêque d’Autun et président du Conseil épiscopal pour la pastorale des enfants et des jeunes, et lui-même "Goumier" de longue date. Seront également présents de nombreux aumôniers Goums, des habitants du Causses ainsi que des familles et amis des Goums. Toutes les marches de cette période convergeront vers le village de Champerboux pour un après-midi et un dîner fraternels. Une grande veillée retracera l’histoire des raids Goum. Après une nuit à la belle étoile, une messe solennelle sur le Mont Chabrio sera présidée par Mgr Rivière le 1er août.
Rédigé le 22 juillet 2010 à 16h09 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, Environnement, Histoire, Jeunes, Notre Eglise, Prière, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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