Rédigé le 06 avril 2010 à 00h13 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 06 avril 2010 à 00h08 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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ainsi que la conférence "Vatican II : bilan et perspectives" prévue le 8 avril prochain aux Bernardins qui faisait suite aux conférences de Carême.
Selon Perepiscopus, la venue du rabbin Krieger à Notre-Dame de Paris pour prêcher une de ces conférences a fait l'objet de critiques "de la part de membres éminents de l'Eglise".
Rédigé le 05 avril 2010 à 17h50 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Histoire, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Messe de préparation
Du 28ème pèlerinage de Pentecôte 2010,
Célébrée par l’Abbé Guilhem le Coq,
Le mercredi 07 Avril 2010 à 19 h 45
En l’église Saint François Xavier
(Place du Président Mithouard, 75007 Paris)
Rédigé le 05 avril 2010 à 17h34 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le chef de la communion anglicane a exprimé samedi sur les ondes de la BBC "sa profonde tristesse et ses regrets" suite à ses propos insultants tenus contre l'Eglise catholique qui aurait, selon lui, perdu "toute crédibilité". "Ceux qui œuvrent au renouveau de l'Église catholique d'Irlande n'avaient pas besoin de ce commentaire à la veille du week-end pascal et ne le méritent pas".
Rédigé le 05 avril 2010 à 16h46 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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mais se refuse à citer les paroles de certains groupes invités à s'y produire, appelant aux meurtres des chrétiens et aux profanations de tombes.
L'auteur de l'article, Charline Blanchard, a du pour cela modifier mes propos, remplaçant "Un festival qui accueille des groupes parmi lesquels certains formulent des appels à la haine et aux meurtres contre les chrétiens n'a pas à être soutenu par les pouvoirs publics" par "Un festival qui accueille des groupes parmi lesquels certains appellent à la haine de la religion n'a pas à être soutenu par les pouvoirs publics".
La différence est pourtant de taille. "La haine de la religion" est une opinion, pas les appels à la violence contre une partie de la population en raison de ses convictions religieuses et aux profanations !
Rédigé le 05 avril 2010 à 16h01 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, La vie des médias, Satanisme | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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A propos de déontologie journalistique, on pourra lire ici les articles 7,8 et 9 de la déclaration de principe de la fédération internationale des journalistes : les dérapages médiatiques sont à l'opposé des beaux principes affichés. Et il n'y a pas que dans ce domaine qu'il y a loin de la coupe aux lèvres !
Face à la montée de la cathophobie de la plupart des médias appliquant les méthodes bien connues du terrorisme intellectuel, la seule attitude qui vaille est l'offensive. Il n'y a pas lieu d'avoir peur mais au contraire de contre-attaquer, certes avec prudence et discernement, mais avec la tranquille détermination et l'application des combattants dont le chef en personne est le Christ.
C'est en Lui, avec Lui et par Lui que passe la victoire du beau contre le laid, du bien contre le mal, du juste contre l'iniquité, du vrai contre le mensonge, et en résumé de la culture de vie contre la culture de mort : l'adversaire dispose t-il d'un tel chef ? N'a t-il pas dit de Son Eglise dont nous sommes membres que les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre Elle ?
Sainte Jeanne d'arc a mis toute sa confiance en Dieu en appliquant ce principe "les hommes d'arme batailleront et Dieu donnera la victoire". Bataillons donc avec ardeur et foi !
Thomas
Rédigé le 05 avril 2010 à 14h27 dans Chronique culturelle, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, La vie des médias, Les fondamentaux : argumentaires, Promenade sur la toile, Réacosphère, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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C'est le chef de la communion anglicane qui l'affirme dans une interview que BBC Radio 4 doit diffuser la semaine prochaine.
Vous savez, cette confession qui se prétend encore chrétienne mais qui a permis à l'épiscopalien divorcé Gene Robinson de devenir "évêque" du New-Hampshire après qu'il ait fait son "coming-out"... mais aussi à une lesbienne, Mary Glasspool, d'être "élue" "évêque" suffragant de Los Angeles. Sans parler des délires d'Ann Holmes Redding, une femme "prêtre" épiscopalienne "à la fois chrétienne et musulmane" selon ses propres termes, "une double foi" qui aurait ouvert "des perspectives excitantes d'échanges inter-religieux" mais qui a quand même fini par être "défroquée". Cette "communion" de 70 millions de membres que plusieurs centaines de milliers de fidèles ont quitté en 2009 pour l'Eglise catholique et qui risque de se scinder dans les années à venir... Alors, question "crédibilité"...
"Qu'une institution si profondément ancrée dans la vie d'une société (...) perde soudain toute crédibilité n'est pas seulement un problème pour l'Eglise, c'est un problème pour tout le monde en Irlande", a donc déclaré Rowan Williams.
Et d'en rajouter. Selon lui, le scandale qui frappe l'Eglise en Irlande, pays très largement catholique, est un "traumatisme colossal". "J'ai discuté avec un ami irlandais récemment, qui me disait qu'il était quelque peu difficile, dans certaines parties de l'Irlande, de descendre désormais dans la rue avec un col clergyman".
Réaction de Mgr Diarmuid Martin
"Pendant les périodes difficiles au cours de mes longues années
en tant qu'archevêque de Dublin, je me suis rarement senti aussi
personnellement démoralisé que ce matin lorsque j'ai entendu au réveil
les commentaires de l'archevêque Williams", a réagi ce matin dans un communiqué Mgr Diarmuid Martin, archevêque de Dublin. "Les commentaires sans équivoque et sans fondements de l'archevêque de Canterbury (...) m'ont stupéfait". "Ceux
qui œuvrent au renouveau de l'Eglise catholique en Irlande n'avaient
pas besoin de ces commentaires en plein week-end de Pâques et ne les
méritent pas", a-t-il poursuivi.
"En tant qu'archevêque de Dublin, j'ai été plus que direct pour aborder les défaillances de l'Eglise catholique d'Irlande. Je frissonne encore lorsque je pense au mal qui a été causé aux enfants maltraités. Je reconnais que leur église leur a fait défaut", a expliqué Diarmuid Martin.
ThibaudRédigé le 03 avril 2010 à 15h45 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le Père Michel Sinoir est décédé le 1er avril, Jeudi Saint, fête du Sacerdoce. Prêtre du diocèse de Paris, il a grandement contribué, par son enseignement, à faire aimer l'Eglise. Qu'il repose en paix. Ci-dessous, quelques petits extraits de ses écrits :
"Le Catéchisme est donc aussi profondément christocentrique. « Dans la Catéchèse, c'est le Christ Verbe Incarné et Fils de Dieu, qui est enseigné – tout le reste l'est en référence à lui » (Jean-Paul II, Catechesi tradendae). Enseigner le catéchisme, c'est donc enseigner le Christ. Enseigner le Christ, c'est nous mettre en communion avec lui (cf. 1 Jn 1, 1-4). (...) La charité, qui est une amitié avec Dieu, fut en effet, la raison déterminante de la venue de Jésus. Le péché originel, cumulé avec nos péchés personnels,nous avait privés de cette communion (koinônia). Une seconde naissance, d'en-haut (Jn 3, 3-5), s'avérait nécessaire, en vue de reconstruire, meilleur qu'avant, le coeur de l'homme."
In Le Catéchisme de l'Eglise catholique et le péché originel, Sedes Sapientiae, n°43.
"Pour nous, souvenons-nous que le seul véritable Exégète des Ecritures est Jésus. De même que le Rédempteur est à la fois l'Auteur et le Docteur de la Rédemption, de même, selon le prologue de saint Jean et les paroles de Jésus aux pèlerins d'Emmaüs, Jésus est à la fois l'Exégèse et l'Exégète de toutes les Ecritures. L'Esprit Saint lui-même ne se substitue pas à Jésus, comme le pensait Joachim de Flore, mais nous ramène à Lui, nous faisant mieux comprendre et aimer la Vérité qui est Jésus. Après Lui, la Reine des exégètes théologiens est la Vierge Marie, qui médite, garde en mémoire, met en pratique les paroles et les actions exemplaires de la vie de Jésus."
Extrait du "Faux "Jésus" de Jacques Duquesne". La Pensée Catholique n°274, février 1995.
"Puisqu'il ne s'agit pas de mes idées, mais des idées de Dieu sur l'homme et sur la femme, créés tous deux "avec sagesse et par amour" (Prière eucharistique IV) à son image, il serait vain de jouer la comédie d'une fausse modestie. Si j'ai écrit, c'est pour convaincre, en pensant en particulier à trop de vocations sacerdotales, freinées dans leur élan généreux pour suivre le Christ Prêtre, par des imprudences et des naïvetés `pastorales', et par un certain illogisme pseudo doctrinal. Puissé-je ainsi, par la médiation de la Vierge Marie modèle de l'Église dans l'exercice du culte, rendre service à toutes celles et à tous ceux dont le coeur baptismal est bien disposé."
Extrait de la préface de La question de l'admission des femmes au service de l'Autel, 1994.
Thibaud (merci à EVR)
Rédigé le 03 avril 2010 à 12h32 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise, RIP | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rien n'est moins sûr. L'intention de Vincent Bolloré de s'inspirer du jeune (1996) mais petit (13 000 ex/jrs en 2006, 20 000 en 2008) quotidien italien libéral/social/neo conservateur Il Foglio (site), fondé et dirigé par Giuliano Ferrara (ex-communiste, journaliste et homme politique pro-vie favorable à un moratoire universel sur l'avortement et la peine de mort) avait pourtant de quoi séduire...
Dans un entretien accordé fin mars au Figaro.fr, l'homme d'affaire breton avait confié : "nous aurons lancé, d'ici à l'été, un nouveau quotidien payant. Il sera imprimé sur les rotatives du «Monde» et tiré à 400 000 exemplaires." Plus que le quotidien à la devise de Beaumarchais, censé être en France le quotidien de droite de référence... Vincent Bolloré avait précisé le concept : "L'idée est de privilégier, sans photo, l'analyse et les commentaires de l'actualité, en misant sur un prix de lancement très bas, autour de 50 centimes. Nous sommes convaincus que la presse reste un secteur d'avenir, en termes d'audience et de recettes publicitaires."
Mais selon La Tribune :
Pour son quotidien payant, attendu avant l'été, Vincent Bolloré pourrait faire appel à une équipe immédiatement disponible, celle qui, réunie autour de Jean-Marie Colombani.
L'ex-patron du Monde, a créé le site Slate.fr.
Bolloré veut un journal d'« analyses et de commentaires ». C'est le slogan de Slate.fr.
Slate.fr comme Jean-Marie Colombani sont de parfaits emblèmes de la gauche bien-pensante, étatiste, pro-mort, donneuse de leçons. Si cette information est confirmée, le grand quotidien conservateur dont beaucoup rêvent reste à créer...
Rédigé le 03 avril 2010 à 11h53 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, La vie des médias, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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signale Le Nouvel Obs :
Année après année, les chrétiens palestiniens sont de moins en moins nombreux à participer aux fêtes de Pâques à Jérusalem en raison des mesures de sécurité draconiennes qui limitent l'accès aux Lieux saints.
Enfant, Yacoub Dahdal voyait affluer dans la ville ses coreligionnaires venus de tout le Proche-Orient pour célébrer la mort et la résurrection du Christ.
Ils étaient des milliers à être hébergés chez l'habitant et certains d'entre eux, avant de regagner leur pays, étaient choisis comme parrains ou marraines des nouveau-nés de la semaine pascale.
"C'était vraiment une fête, dans tous le sens du mot", se rappelle Dahdal, âgé aujourd'hui de 72 ans. "Les Egyptiens arrivaient en train, les Libanais et les Syriens en car."
"Imaginez-vous les rues de la vieille ville à cette époque, on entendait tous les accents - libanais, jordanien, égyptien, syrien, et tout cela se mélangeait. C'était une joie complète."
Aujourd'hui, l'atmosphère a bien changé dans la ville. La tension est palpable, avec des policiers presque à chaque coin de rue.
La maison où Dahdal est né il y a près de trois quarts de siècle, dans la vieille ville, à quelques dizaines de mètres de la première station du chemin de croix, est aujourd'hui couverte de drapeaux israéliens, frappés de l'étoile de David.
Des colons juifs s'y sont installés après l'occupation de Jérusalem-Est par Tsahal en juin 1967, pendant la guerre des Six-Jours. Lire la suite !
Thibaud
Rédigé le 02 avril 2010 à 13h55 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Histoire, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Pour Valentin, le bassiste du groupe, le message principal de l'Eglise, c'est : la tolérance, la solidarité, l'entraide. Peace and love, quoi... Mais ça n'est pas tout ! Selon lui :
"L'avortement, le préservatif, l'homosexualité le sexe avant le mariage sont je pense des sujets que l'Eglise devrait traiter de manière plus souple, plus actuelle. Ne serait ce qu'appeler à la tolérance sur ses sujets. On peut croire en Dieu, croire dans le Bien et aimer quelqu'un du même sexe."
La culture de mort dans toute son horreur... Mais qu'est-ce que ce groupe vient faire au festival (chrétien, organisé par le diocèse de Chartres) de Pâques ?
Thibaud
Rédigé le 02 avril 2010 à 13h42 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Nous voici à l’aube de la Passion, du sacrifice ultime, de l’obéissance totale de Notre Seigneur. Le Christ va souffrir, mourir, descendre aux Enfers. Pour vaincre la Mort et faire triompher la Vie. Pour nous sauver. Tous.
Le Vendredi Saint, l’Eglise est en deuil et se prépare au grand silence du samedi (l’Anastasie) avant que ne retentissent les trompettes de la Résurrection. Il n’y a donc pas de messe ce jour-là, mais un chemin de croix dans l’après-midi, et la vénération de la Croix le soir (pour la communion, sont utilisées les hosties qui ont été consacrées la veille).
L’Eglise propose aux fidèles de jeûner le vendredi, ou tout du moins de faire maigre. Au-delà de l’image rétrograde que nous avons de cette pratique « moyenâgeuse », il faut apprendre à y voir l’importance du renoncement volontaire car « l’esprit est ardent mais la chair est faible » (Mat, 26, 41). C’est un chemin de purification, dont le but est de nous pousser à réfléchir, méditer et prier : un chemin vers Dieu.
Le chemin de croix est, selon les paroisses, accompagné de textes, prières, chants, méditations. Suivre un chemin de croix matérialisé par des tableaux, sculptures, … est également un moyen de souvent mieux appréhender la réalité de que fut cette marche de Jésus vers le Golgotha.
Le soir, nous vénérons la Croix. C’est un symbole si simple, que nous avons pris l’habitude de voir à de nombreux endroits, sous diverses formes. Et pourtant, c’est bien plus qu’un morceau de bois : en la regardant, l’on peut y voir un lieu de souffrance, mais aussi celui du rachat de nos péchés, du sacrifice ultime, symbole de la mort physique, puis de la Vie éternelle. D’où l’importance de la vénérer, au moins une fois par an !
Rédigé le 02 avril 2010 à 12h39 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Philippe Randa
Ces temps-ci, à défaut d’un événement people, d’une nouvelle fermeture d’entreprise ou d’un résultat sportif, la presse annonce un nouveau cas de pédophilie mettant en cause l’église catholique.
Ce jour, donc, c’est dans le diocèse de Rouen que la bête immonde a été découverte. Un prêtre, soupçonné d’agressions sexuelles sur un mineur de moins de 15 ans, pour des faits datant de 1992 et 1993, a été mis en examen… entraînant, dans le cadre de l’affaire, un autre prêtre du diocèse qui s’est vu notifier sa qualité de “témoin assisté” pour des soupçons de “détention d’images à caractère pédo-pornographique”.
Que les pédophiles soient traqués, arrêtés, jugés et punis comme ils le méritent, sinon soignés si tant est que cela soit possible, est la moindre des justice. Que leurs éventuels complices subissent le même traitement, itou.
On peut toutefois s’interroger sur la mise en cause systématique de l’église catholique dans la notion de complicité.
Le harcèlement médiatique dont elle est l’objet finit tout de même par devenir insupportable. Surtout si on la compare au traitement médiatique des enseignants, certes tout aussi traqués, arrêtés, jugés et punis comme ils le méritent par des enquêteurs qui ne font pas de différence, mais qui semblent bien être les seuls.
A-t-on entendu exiger qu’un ministre de l’éducation nationale démissionne après l’arrestation d’un instituteur pervers ? Qu’un recteur d’Académie doivent rendre des comptes ? Que des collègues de celui-ci soient incriminés pour avoir su et s’être tu ?
Pourtant, c’est la démission du Pape lui-même que certains ont demandée… sans s’interroger plus que cela à qui il pourrait bien la remettre ; l’accusé de réception pouvant tarder à lui revenir.
D’autres réclament – quand bien même ils ne sont pas catholiques et on se demande en quoi ils sont alors habilité à exiger quoi que ce soit d’une église dont ils ne font pas parti – que le mariage des prêtres soit autorisé. Quel rapport avec la pédophilie ? Quand on a de telles pulsions pour les culottes courtes, “régler à deux les problèmes qu’on n’aurait pas eu tout seul” ne résoudrait en rien le problème, sinon de les assumer, éventuellement, sur ses propres enfants. Ça resterait en famille… mais tout aussi abject !
“Les abus sexuels sur des enfants et des jeunes gens sont non seulement un crime atroce, mais aussi un péché grave qui offense Dieu et blesse la dignité de la personne humaine créée à son image”, a déclaré le pape Benoît XVI.
Il a également réaffirmé sa volonté d’un changement de cap dans la gestion de telles affaires, plaidé la transparence et la collaboration avec les autorités civiles, dit clairement que les religieux ayant abusé d’enfants devront “en répondre devant les tribunaux” et exhorté ceux-ci à ce qu’ils “reconnaissent ouvertement leurs fautes et se soumettent aux exigences de la justice”.
Qu’on sache, aucun ministre de l’éducation nationale n’en a fait autant. Aucun Président de la république non plus.
Quant à notre actuel ministre de la culture, il n’a pas non plus démissionné quand Roman Polanski s’est vu rattraper par son passé de détourneur de mineure. Il l’a au contraire soutenu au-delà du raisonnable, tandis qu’une meute de “Français d’en haut” hurlait de concert à la persécution… Combien d’entre eux crient aujourd’hui haro sur les soutanes ?
Philippe Randa est rédacteur en chef adjoint de Flash Magazine (site).
Rédigé le 02 avril 2010 à 12h36 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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La fondation américaine "Pave the Way", présidée par Gary Krupp, vient de sortir aux Etats-Unis un ouvrage intitulé Pope Pius XII and World War II, the Documented Truth : A Compilation of International Evidence Revealing the Wartime Acts of the Vatican. Gary Krupp est juif, et le document qu'il a édité prend la défense de Pie XII.
Rédigé le 02 avril 2010 à 03h15 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Etats-Unis, Histoire, Littérature, Notre Eglise, Société civile (EU), Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le quotidien La Croix a commandé un sondage sur "l'actualité du message et des valeurs du christianisme". Isabelle de Gaulmyn commente :
"Les Français sont ainsi les plus critiques à l’encontre de la communication de l’Église, ils sont beaucoup plus nombreux à estimer que toutes les religions se valent, (62%, soit le même pourcentage que lors du sondage Ifop-La Croix de 2007 sur la France). Et la moitié d’entre eux jugent qu’il n’y a plus rien à attendre du message chrétien.
À l’extrême opposé, l’Italie se démarque elle aussi de l’ensemble européen. Dans la péninsule, la plupart des habitants estiment que l’Église communique bien. Cette satisfaction est même plus importante chez les plus jeunes (70% des moins de 35 ans) : de l’autre côté des Alpes, les canaux de transmission entre les jeunes générations et l’Église ne sont pas rompus. C’est aussi en Italie que l’on conserve, à 70%, leur crédit au message et aux valeurs chrétiens.
En revanche, si les Français dans leur majorité sont fortement détachés du religieux, les catholiques français, eux, affichent un comportement religieux plus marqué que les catholiques italiens ou espagnols : ils sont proportionnellement plus nombreux à se dire attachés aux valeurs chrétiennes, à estimer que l’Église n’est pas assez visible, et que les religions ne se valent pas. Même si, exigeants, ils se montrent encore plus critiques que les non catholiques sur la communication de l’Église (86%).
C’est donc en France que l’opinion des catholiques pratiquants se distingue le plus des autres habitants. « Rien d’étonnant », explique Denis Pelletier, directeur à l’École pratique des hautes études. « Car, minoritaires face à une société indifférente ou hostile, ils se définissent par leur opposition ». Pour ce sociologue, c’est aussi l’un des ressorts du relatif dynamisme des communautés chrétiennes en France : peu importantes mais de ce fait beaucoup plus impliquées qu’ailleurs dans leur Église."
Un résumé des principaux résultats du sondage (cliquez pour zoomer) :
Thibaud
Rédigé le 02 avril 2010 à 02h43 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Jeunes, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu sur Riposte-catholique.fr :
Les données collectées par John Jay College of Criminal Justice montrent qu’entre 1950 et 2002, 81% des victimes étaient de sexe masculin et que 75% d’entre elles étaient réalisées sur des enfants post-pubères. En d’autres termes, 3 victimes sur 4 ont été abusées par des homosexuels. Précisons que la puberté, selon l’American Academy of Pediatrics, commence à l’âge de 10 ans pour les garçons.
Comme vous vous en doutez, ces propos n'ont pas plu du tout au lobby gay qui veut faire taire leur auteur, Bill Donohue, le président de la Catholic League (site).
Rédigé le 02 avril 2010 à 02h19 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Etats-Unis, La vie des médias, Notre Eglise, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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Après l’invitation de Benoît XVI à vivre "la charité dans la vérité", après le débat tronqué sur "l’identité nationale", et tandis que l’actualité parlementaire évoque de nouveau l’interdiction de la burqa, Ichtus souhaite poursuivre l’étude d’une question centrale pour l’engagement à venir des chrétiens de France : comment vivre avec l’Islam aujourd’hui ?
Pour y voir plus clair, venez écouter Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, homme d’expérience et de conviction
Ou ? Quand ?
- le jeudi 15 avril 2010 à 20h30, à l’Espace George Bernanos, auditorium Saint Matthias (4 rue du Havre, Paris 9e, M° Saint Lazare ou Havre Caumartin).
NOS ÉLÉMENTS DE RÉFLEXION
> Les 12 et 13 février dernier, un colloque de l’Aide à l’Église en Détresse portait déjà sur cette question : "Vivre avec l’Islam". Avec cet objectif : tenter d’imaginer ce qu’il faudrait "faire de plus ou de mieux, face aux défis posés par l’Islam". Car, disaient les organisateurs, "la question n’est pas de définir ce qu’il est, ni même de savoir s’il faut ou pas vivre avec lui. L’enjeu est de savoir comment." Et d’appeler les chrétiens, dans ce contexte, à un "réel réveil missionnaire". Xavier Lemoine intervenait au cours de cet événement.
> Hors des débats théoriques et savants, parfois désincarnés, et de leur facilité à sombrer dans l’angélisme ou la diabolisation, la posture ou le désengagement, il est en effet nécessaire de réfléchir sous l’éclairage du principe de réalité : l’Islam est présent en France, vraisemblablement de façon durable et massive. Il est aussi, quoi qu’on en dise, étranger à notre tradition ainsi qu’aux valeurs qui fondent notre société, et bouleverse les usages séculaires de notre pays. Il est, enfin, constitutif de l’identité de millions de nos concitoyens, aussi respectables que les autres.
> Cette question n’est pas si nouvelle. Déjà, il y a près de 15 ans, Annie Laurent la posait en titre d’un ouvrage collectif [1]. En 2004, le débat politique évoquait le problème épineux des "signes ostensibles" d’appartenance religieuse à l’école. En juin 2009, le président de la République Nicolas Sarkozy déclarait : "la burqa n’est pas la bienvenue en France" [2], et en novembre suivant, le débat reprenait de plus belle, avec l’interdiction des minarets votée chez nos voisins suisses. De simples exemples, symptomatiques d’une préoccupation profonde et de plus en plus aigüe, qui n’a toujours pas trouvé ses solutions.
> Dans le siècle qui vient, les institutions publiques françaises, l’Église et l’ensemble des chrétiens ont à prévoir une densification des défis posés par l’Islam. Laïcité, culture, propagande religieuse, conceptions anthropologiques, comportements communautaires : les points de friction, actuels ou potentiels, sont multiples.
> Allons-nous donc vers un "choc des civilisations" [3] sur notre territoire, un "face-à-face Islam-Chrétienté" [4], inexorable et d’ailleurs déjà entamé ? A l’inverse, faut-il fatalement voir les choses sous l’angle du conflit possible ? Au contraire, le christianisme n’est-il pas une immense opportunité à saisir pour les millions de musulmans qui ont l’occasion de le découvrir et le côtoyer sur le sol français ?
> Aujourd’hui, surtout, que peut y faire la politique, notamment sous la forme de l’action locale ? Retarde-t-elle simplement le désastre ? Ou peut-elle être porteuse d’une "bonne nouvelle" ? Le témoignage d’un élu local confronté quotidiennement à la question ne peut être que précieux...
> Xavier Lemoine est maire de Montfermeil depuis 2002. Réélu en 2008, il a l’expérience de la gestion d’une commune dont une large partie de la population est d’origine étrangère et de confession musulmane. Homme de convictions chrétiennes, cherchant à les vivre en cohérence, il connaît aussi le terrain, et cherche à faire face aux défis de la vie quotidienne. Il parlera sans langue de bois, sans caricature, sans idéologie.
VENEZ L’ÉCOUTER !!!
Rédigé le 02 avril 2010 à 02h12 dans Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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