Rédigé le 21 mars 2010 à 22h48 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Un rabbin devait prêcher (il n'y a pas d'autre mot) une conférence de Carême en la cathédrale Notre-Dame de Paris, aujourd'hui.
Alors que le cardinal André Vingt-Trois venait de terminer son mot d’introduction et que le rabbin Krygier s’approchait du micro, un homme s’est levé proposant à l’assemblée la récitation d’un chapelet « en réparation pour l'outrage ».
Interrompu quelques minutes, la retransmission de la conférence à ensuite repris, le rabbin Krygier, aux côtés du cardinal Vingt-Trois, s’exprimant depuis la sacristie de Notre-Dame tandis que les fidèles récitant leur chapelet.
Le rabbin a profité de cette tribune inespérée pour... critiquer les dernières décisions du Saint-Père. Prions pour sa conversion au catholicisme !
Addendum 22/03 : le récit d'un participant. Réaction de l'abbé Régis de Cacqueray, supérieur du district de France (Fraternité Saint-Pie X) : "la cathédrale de Paris n’est ni une synagogue, ni un temple maçonnique".
Rédigé le 21 mars 2010 à 22h34 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Jeunes, Notre Eglise, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
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J'ai cessé d'écrire des chroniques sur les vampires et les sorcières parce que j'étais arrivée au bout. Je n'avais plus rien à raconter. Pour moi, les vampires étaient perdus. Ils cherchaient à être bons sans y parvenir. Ce sont des rebelles, des figures tragiques, aliénées. Lorsque j'ai retrouvé la foi, et suis retournée à l'Église catholique, je ne me suis plus identifiée à leur perpétuelle noirceur, leur tristesse. Je voulais écrire sur un personnage qui ait de grandes possibilités.
Il s'agit de l'ange. Anne Rice est l'auteur de L'heure de l'Ange, le premier tome d'une nouvelle série sur les anges qui est sorti cette semaine en France.
Thibaud (merci à EG)
Rédigé le 20 mars 2010 à 14h33 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Etats-Unis, Littérature, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Extrait :
J’en arrive tout droit. Je ne vous parlerai guère de la manifestation. Une véritable armée de policiers, plusieurs milliers sans exagération, encerclait la Coupole de toutes parts et en empêchait physiquement l’accès. L’Etat policé dans ses plus grandes heures, et pas aimables avec ça. Ben Laden eût-il davantage mobilisé ? Les centaines de manifestants durent se parquer rive droite ( !) en face du pont des Arts, le long du Louvre. Bien plus de CRS que de participants. Les organisateurs n’ont pas vraiment à pavoiser. Où étaient-ils, au fait ? L’heure, 14h00, n’était guère propice et obligée, il est vrai. Mais tout de même, où sont passées les troupes qu’on lançait si facilement sur ce genre d’opération dans les années 80 ?
Dans l’hémicycle, c’est la foule. Trois présidents de la République, deux sortants et l’actuel. Les académiciens, mais pas tous. Pas d’ecclésiastiques, honneur à eux, suivez mon regard ! Mais bien d’autres absents, les plus fins, qui avaient compris que ce jour-là n’était pas destiné aux Lettres Françaises, mais à une opération de marketing républicain.
La nouvelle académicienne, mal assurée, sans aucun art et écorchant bien des mots, dresse très convenablement l’éloge de Pierre Messmer, au fauteuil duquel elle succède. C’est le numéro 13, horresco referens, celui de Jean Racine, que je m’empresse de citer d’après la pancarte que je brandis :
« Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance » « Laisse le crime en paix et poursuit l’innocence ».
Rédigé le 19 mars 2010 à 12h17 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 19 mars 2010 à 10h42 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Histoire, Identité, Notre Eglise, Patrimoine, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par professions. Où on apprend que Saint Patrick, en plus d'être le saint patron de l'Irlande, est également le saint patron des ingénieurs...
Rédigé le 17 mars 2010 à 15h14 dans Chrétien(s) au quotidien, Histoire, Notre Eglise, Patrimoine, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Éric Zemmour traite ce matin de la pédophilie dans l'Église. C'est l'occasion pour lui de revenir sur la charge médiatique contre la papauté, ainsi que sur les enjeux du mandat de Benoît XVI.
Une belle défense de l'Église !
Comme vous le savez, Éric Zemmour fait l'objet de plusieurs attaques médiatiques. La LICRA et le MRAP sont décidés à lui faire retirer ce qu'il a dit sur les noirs et les arabes délinquants ; le syndicat de la magistrature et le Planning Familial se sont également sentis visés par les chroniques matinales du journaliste. Il en résulte une mobilisation convergente des mouvements anti-racistes, féministes et révolutionnaires qui pourraient bien, d'ici quelques temps, prendre suffisamment d'importance pour l'empêcher de parler et éteindre ainsi la liberté d'expression.
Vous pouvez le soutenir en écrivant à RTL et France 2: Contacter RTL et France 2. N'hésitez pas à le faire ! Nous ne pouvons pas attendre qu'il soit sur la sellette pour essayer de le défendre ! Ces prises de position courageuses méritent bien ce geste de soutien !
Didyme
Rédigé le 17 mars 2010 à 14h13 dans Conférence/débat, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 17 mars 2010 à 14h01 dans Chrétien(s) au quotidien, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Réaction de Bill Donohue, président de la Catholic League (site), à l'hystérie antichrétienne du quotidien new-yorkais de gauche :
« Il était une fois un prêtre homosexuel qui avait été accusé d’agressions sexuelles sur des garçons en Allemagne. C’était il y a trente ans. Avec l’approbation de l’archevêque Joseph Ratzinger (aujourd’hui Pape) on lui fit suivre une thérapie puis, plus tard, il fut réintégré. Quelques années plus tard, sous un nouvel archevêque, il y eut un autre incident et une nouvelle thérapie.
Nous savons tout cela parce que le New York Times (qui n’aime pas traiter des rabbins agresseurs sexuels en 2010) nous l’a raconté samedi dans un article en une. Aujourd’hui, il publie un nouvel article à la une sur cette même histoire. Une différence entre les deux ? Oui. Samedi, le Times ne pouvait identifier le prêtre que par une initiale : “H”. Aujourd’hui, il publie une vraie nouvelle : son nom est Hullermann. Désormais le “H” est suspendu.
Etait-ce erroné d’envoyer en thérapie des auteurs de mauvais traitements ? L’est-ce aujourd’hui ? Le Times n’en dit rien. Alors qu’il est douloureusement évident que les psychologues et les psychiatres ont survendu leurs capacités à soigner les auteurs de mauvais traitements, ils ont longtemps été considérés comme scientifiquement et éthiquement fiables. Encore aujourd’hui. Cette opinion est peut-être infondée, mais il est nettement injuste de cibler les décisionnaires catholiques et de les accuser quand c’est la thérapie qui a échoué.
Le Times écrit aussi aujourd’hui que quand le pape était cardinal Ratzinger sous Jean-Paul II, il était « responsable de l’examen des cas d’abus sexuels pour le Vatican ». Écrivant cela, le Times donne l’impression que Ratzinger était responsable de la surveillance de ces cas lorsque le scandale a surgi. Absurde. Le Times avait signalé le 9 janvier 2002, qu’il venait d’être nommé à cette fonction. Et donc il n’avait rien à voir avec cette affaire à l’époque où se situent la plupart des cas d’abus sexuels (du milieu des années 1960 au milieu des années 1980).
Le Times a un intérêt idéologique dissimulé à maintenir en vie cette histoire. Dire qu’il déteste souverainement le pape Benoît XVI est une litote. »
Rédigé le 16 mars 2010 à 18h30 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Etats-Unis, La vie des médias, Notre Eglise, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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L'association choletaise "Cité & Culture" nous fait savoir que ses derniers posts consacrés aux élections régionales et au Hell'Fest ont été consultés par presque un millier de visiteurs. Une fréquentation plus qu'encourageante après tout juste 100 jours d'existence du blog.
Thomas
Rédigé le 16 mars 2010 à 17h00 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, La vie des médias, Notre Eglise, Promenade sur la toile, Satanisme, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Centre. La liste pro-vie et pro-famille "Pour nos familles, nos emplois, notre sécurité, nos traditions, notre identité, restons français dans notre région" menée par Jean Verdon et soutenue par le Parti de la France réalise à Fontgombault un score assez impressionnant. La présence de l'abbaye bénédictine Notre-Dame de Fontgombault qui compte une soixantaine de moines n'y est sans doute pas pour rien...
On nous signale aussi qu'au lendemain du premier tour des élections régionales, La Nouvelle République a publié les réactions de toutes les listes participant aux élections dans le Centre, sauf celle du Parti de la France.
Rédigé le 16 mars 2010 à 14h01 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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L’offensive
médiatique contre l’Eglise a été massive la semaine passée. Les
sépulcres blanchis ont ,sur toutes les ondes, dans tous les journaux,
entonné le même couplet indigné, tirant prétexte des cas de pédophilie
touchant quelques prêtres en Allemagne pour porter leurs attaques sur le
célibat des prêtres, instruisant le procès de Benoît XVI, suggérant
qu’un front important parmi les théologiens serait contre le célibat des
prêtres. Il faut être totalement abruti par les médias pour croire une
seule seconde que le souci de protéger les enfants victimes de
pédophiles est au cœur de l’affaire. Évidemment, l’enjeu, le seul,
l’unique c’est de faire plier encore et encore l’Eglise catholique,
tenter de lui arracher une déclaration de repentance et ultimement lui
faire renoncer, à l’heure de la masturbation, de la capote, de la
bisexualité, de la jouissance obligatoire, à cette pratique totalement
ringarde consistant à exiger des prêtres qu’ils soient célibataires et
chastes.
Nos sociétés marchandes, dont la survie au début du XXe siècle a été
assurée par la mutation du capitalisme de production en capitalisme de
consommation ( consommation des biens d’équipements tout d’abord, puis, à
la faveur de mai 68, consommation du désir, de la jouissance) ne
peuvent fonctionner que par un abaissement continu de tous les interdits
moraux de manière à faire de chaque pulsion une source de rendement.
D’où la nécessité de la culture transgressive soixante-huitarde qui
permit de faire passer pour des conquêtes du progrès et de la liberté ce
qui constituait en fait le pré-requis culturel de la mise en place du
turbo capitalisme et de l’économie du désir. Il faut être totalement
coupé du réel comme seuls savent l’être les grandes figures morales de
la bien-pensance pour croire que l’étendard de la liberté individuelle
(la reconnaissance de l'égalité des droits de chacun quelque soit son
mode de vie) ne soit pas autre chose que le cache sexe du turbo
capitalisme financier, qui est le nerf du processus de déréalisation en
cours, de la virtualisation de tous les rapports humains.(*)
Au nombre des piliers de la bien-pensance, nous avons naturellement tous
les médias dominants, dont certainement aucun de ses prestigieux
membres n’a jamais entendu parler d’Edward Bernays ( mais que Goebbels
lui lisait assidument) qui a forgé les instruments indispensables de
l’économie du désir. Neveu de Freud, il organisa la première opération
publicitaire transgressive de choc. Le 31 maris 1929 il envoya une
escouade de jeunes filles affriolantes défilée sur la 5e avenue,
prévenant la presse qu’elles allaient allumer des « torches of freedom
». Une fois les journalistes ayant répondu massivement à l'appel, les
jolies jeunes filles allumèrent leurs flambeaux de la liberté : leur
cigarette. Dany Robert Dufour, dans « la cité perverse » explique « Tout
l’esprit du nouveau capitalisme de la consommation est lisible dans cet
acte inaugural de Bernays. On voit qu’il commence par une offre de
libération faite au consommateur, présent comme répondant à une demande,
éventuellement inconsciente. Mais, comme l’industriel qui propose son
objet n’agit pas par philantropie, mais par intérêt, l’offre qu’il fait
n’est vraiment intéressante pour lui que si elle est susceptible de
mettre en branle une véritable dépendance. Pas étonnant, donc, que tout
ait commencé par la cigarette, produit addictif par excellence. »(**)
Dans un contexte pareil, où le turbo capitalisme et les bien-pensants
sont historiquement et philosophiquement organiquement liés, marchant
main dans la main, le maintien des traditions catholiques est un verrou à
faire sauter de toute urgence. Pour les intellos-bobos cela constituera
une victoire de plus contre la bête immonde(***), congénitalement
oppressive, et pour leurs macros ( ceux pour qui ils tapinent en somme,
puisque ce qui leur sert de prêt-à penser n’a d’autre utilité que de
servir de rabattage pour ceux qui assument ne penser qu’au pognon), un
marché du désir en expansion, sévissant jusque dans les sacristies, un
repère de continence et de maîtrise de plus démantelé, pour le plus
grand profit de l’industrie du sexe( et de toute l'économie du désir),
qui pourra fourrer son doigt dans la culotte de clients toujours plus
jeunes.
N'en déplaisent à tous les catholiques partisans de l’ouverture au
monde, qui rêvent d’une Eglise progressiste etc, toutes ces manœuvres
médiatiques relèvent de la logique de la cité terrestre. Combattre le
célibat des prêtres c’est tout simplement s’aligner sur la logique de
l’économie du désir dont l'aboutissement est le règne de la pédophilie
généralisée.
(*) sauf pour ceux qu’il prend par derrière très profond ( comme les
Grecs actuellement, d’où l’expression bien connue, "va te faire voir
chez les Grecs").
(**)préalablement Bernays avait consulté à Abraham Arden Brill,
fondateur de la New York Psychoanalytic Society, qui lui avait expliqué
que la cigarette étant un symbole phallique représentant le pouvoir
sexuel masculin il fallait lier la cigarette à une forme de contestation
de ce pouvoir, de sorte que les femmes en possession de leur "propre
pénis" fumeraient.
(***) « Le libéralisme est, fondamentalement, une pensée double:
apologie de l'économie de marché, d'un côté, de l'Etat de droit et de la
"libération des mœurs" de l'autre. Mais, depuis George Orwell, la
double pressée désigne aussi ce mode de fonctionnement psychologique
singulier, fondé sur le mensonge à soi-même, qui permet à l'intellectuel
totalitaire de soutenir simultanément deux thèses incompatibles. Un tel
concept s'applique à merveille au régime mental de la nouvelle
intelligentsia de gauche. Son ralliement au libéralisme politique et
culturel la soumet, en effet, à un double bina affolant. Pour sauver
l'illusion d'une fidélité aux luttes de l'ancienne gauche, elle doit
forger un mythe délirant: l'idéologie naturelle de la société du
spectacle serait le "néoconservatisme", soit un mélange d'austérité
religieuse, de contrôle éducatif impitoyable, et de renforcement
incessant des institutions patriarcales, racistes et militaires. Ce
n'est qu'à cette condition que la nouvelle gauche peut continuer à vivre
son appel à transgresser toutes les frontières morales et culturelles
comme un combat "anticapitaliste". La double pensée offre la clé de
cette étrange contradiction. Et donc aussi celle de la bonne conscience
inoxydable de l'intellectuel de gauche moderne. »(Jean Claude Michéa, la
double pensée)
Julien
Gunzinger (publié en commentaire de l'article "L'Eglise se défend")
Rédigé le 16 mars 2010 à 13h43 dans Antichristianisme, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Jean-Baptiste Maillard nous informe :
Wikispi est une toute nouvelle encyclopédie libre, spirituelle et catholique, avec des garanties sur le contenu. Ouverte à tous, son objectif est simple : proposer un accès facile à la culture chrétienne.
Wikispi a également l'ambition d'offrir un espace de publication sans compromission. Si tout responsable associatif, tout fidèle, peut publier immédiatement son propre contenu, il est notamment demandé aux contributeurs de respecter la loi naturelle comme étant un remède au relativisme éthique qui détruit la vie, la famille et la société, de penser l’évangélisation comme étant la mission première de l'Église catholique, d'accepter l’herméneutique de continuité pour Vatican II ou bien encore le non-exclusivisme liturgique, dans un sens ou dans l'autre. Les contenus ne pourront donc pas négocier avec le magistère de l'Église. Ils bénéficieront ainsi d'une politique de modération sans compromis.
L'objectif de Wikispi, pour la première année, est de proposer 10.000 entrées dans la foi et la culture chrétienne. Une façon, aussi, de participer à l'évangélisation du continent numérique comme le demande Benoît XVI.
Rédigé le 16 mars 2010 à 12h13 dans Chrétien(s) au quotidien, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 16 mars 2010 à 11h06 dans Antichristianisme, Economie et social, Notre Eglise, Patrimoine, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'Église se défend, contrairement à ce qu'annonçait le Nouvel Obs. La campagne de communication a commencé. Des synthèses apparaissent ici ou là sur Internet pour défendre le pape et l'Église, véritable objectif de ces attaques. Maintenant, ce sont les institutions ecclésiales qui commencent à réagir :
Mais la pièce maîtresse de la contre-offensive est venue d'une interview, publiée samedi matin, dans le quotidien catholique Avvenire et diffusée par la salle de presse du Saint-Siège. Celui qui instruit tous les dossiers de prêtres pédophiles à Rome, Mgr Charles J. Scicluna, «promoteur de justice» de la Congrégation pour la doctrine de la foi, explique comme jamais cela avait été fait, comment ces dossiers sont traités.
Nouvelle procédure
S'il reconnaît «l'indulgence» des évêques dans la gestion «pratique» de ces affaires de prêtres pédophiles, il affirme que la fameuse lettre du 18 mai 2001, envoyée à tous les évêques du monde et signée par le cardinal Joseph Ratzinger, n'a pas eu pour objet, comme cela lui est reproché, de détourner ce type d'affaires de la justice civile. Elle rappelait «le secret de l'instruction» pour préserver les victimes mais aussi les prêtres accusés (en raison de la «présomption d'innocence») car «l'Église n'aime pas la justice spectacle». Il explique surtout qu'un débat interne, sur l'interprétation du droit canonique qui condamne pourtant fermement depuis 1962 la pédophilie de prêtres, a subsisté quant à la procédure à suivre. Jusqu'à cette lettre de 2001 où la Congrégation pour la Doctrine de la foi, devenue alors exclusivement compétente pour ce genre d'affaires (non par rapport à la justice civile mais par rapport à d'autres tribunaux possibles dans l'Église), a pu gérer ce genre de dossiers.
D'où, «entre 2003 et 2004», une «avalanche de cas» provoquée par la mise en place de cette nouvelle procédure. Pour la décennie 2000-2010, il avance le chiffre de «3 000 accusations» concernant les dernières cinquante années. Dont seulement 10 % de cas de pédophilies, soit «300 cas». La grande majorité, 60 %, étant des actes d'«éphébophilie», c'est-à-dire une attraction physique pour des adolescents de même sexe. 80 % de ces 3 000 dossiers étaient arrivés des États-Unis. Il estime aujourd'hui que Rome traite annuellement 250 cas de prêtres pédophiles sur 400 000 prêtres dans le monde, dont un quart vient toujours des États-Unis. Et précise que nombre de pays «ne signalent qu'un ou deux cas» par an.
Quant à l'attitude controversée des évêques pour signaler ou non ces problèmes à la justice civile, Mgr Scicluna explique qu'elle dépend, en fait, de la juridiction des pays. Dans les pays de culture juridique anglo-saxonne, mais aussi en France, les évêques sont «obligés à recourir à l'autorité judiciaire». Mais quand la législation ne le permet pas, Rome encourage les évêques «à inviter les victimes à dénoncer leurs bourreaux».
Il ne faut désormais espérer que le public saura distinguer le vrai du faux dans ce qu'on lui serine quotidiennement. Déjà, en Allemagne et aux Pays-Bas, des catholiques subvertis commencent à demander le mariage des prêtres, sous couvert d'exigence de vérité sur ces affaires pédophiles. Certains médias osent désormais dire les choses :
Il convient de rappeler d’abord plusieurs chiffres : la majorité des crimes pédophiles ont pour auteurs des membres de la famille de l’enfant (inceste) ou des proches. À titre d’exemple, selon un rapport publié en 2008 par le réseau irlandais de crise sur les viols (RCNI), 50,8% des agresseurs sont des parents, 34% des proches (voisins, amis), et 3,4% des figures d’autorité (prêtre, instituteur…).
Didyme
Rédigé le 15 mars 2010 à 11h22 dans Antichristianisme, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 14 mars 2010 à 02h29 dans Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Unitas vient de signaler la mise en vente sur ebay d'un ostensoir contenant une hostie consacrée. Évidemment, elle peut être récupéré par n'importe qui !!! alors que le vente d'objet sacré ou bénis est interdite par l'Eglise et constitue un véritable sacrilège !
Déjà, en 2005, aux USA, ebay avait refusé d'inscrire les hosties consacrées à la liste des objets interdits de vente. Ne nous laissons pas éternellement insulté !!!
Tout est dans l'article d'Unitas (contact + mail-type + numéro de téléphone)
Didyme
Rédigé le 12 mars 2010 à 13h36 dans Antichristianisme, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Les 4 pages dans le dernier n° de Famille Chrétienne donnant exclusivement la parole à l'UMP sont quelque peu surprenantes, voire indécentes.
Au regard de ce qu'enseigne l'Eglise, notamment au travers de la "Note doctrinale à propos de questions sur l'engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique", les catholiques sont en droit d'attendre autre chose d'un média catholique !
Voila quelques éclairages utiles dont on aimerait que ce soit l'Eglise de France et les médias catholiques qui le mettent en exergue au moment où le vote des catholiques est sollicité.
« La conscience chrétienne bien formée ne permet à personne d'encourager par son vote la mise en œuvre d'un programme politique ou d'une loi dans lesquels le contenu fondamental de la foi et de la morale serait évincé par la présentation de propositions différentes de ce contenu ou opposées à lui. » Et parmi « les principes moraux qui n'admettent ni dérogation, ni exception, ni aucun compromis », c'est-à-dire là où se joue « l'essence de l'ordre moral, qui concerne le bien intégral de la personne », le cardinal citait notamment l'avortement, l'euthanasie, la famille fondée sur le mariage monogame entre personnes de sexes différents, la liberté d'éducation des enfants comme droit inaliénable des parents. Des principes non négociables.
En 2006, devenu Benoît XVI et revenant sur la dignité de la personne humaine au cœur des interventions de l'Église catholique dans le débat public, le pape évoquait à nouveau 3 principes sur lesquels l'électeur catholique ne devait jamais transiger : la protection de la vie à toutes ses étapes (du premier moment de sa conception à sa mort naturelle), la famille (comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage) et la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants. Il prenait soin de préciser qu'il ne s'agissait pas de vérités de foi mais de principes inscrits dans la nature humaine, communs à toute l'humanité.
En 2002 Jean-Paul II stigmatisait un état d'esprit hostile au christianisme, au sein même des institutions : « Depuis plusieurs mois, nous assistons à une intensification des attaque anti-religieuses, diffusant une image caricaturale de la spiritualité et une conception militante et exclusive de la laïcité (...) On ne peut pas oublier que c'est la négation de Dieu et de ses commandements qui ont créé au siècle passé la tyrannie des idoles exprimée dans la glorification d'une race, d'une classe, d'un parti, de l'État ou de la nation. »
Et là où ne seront proposées que des candidatures impossibles, on se souviendra du mot que le cardinal Barbarin confiait à propos des dernières élections présidentielles : « Je peux poser l'acte politique de ne pas voter ou de voter blanc », dès lors que ce choix n'est motivé ni par la négligence ni par le désintérêt. « Les catholiques ne peuvent pas se désengager de l'action politique, même si les circonstances rendent cet engagement périlleux du point de vue éthique. » (Cardinal Ratzinger)
Le Concile Vatican II et à sa suite le pape Jean-Paul II, notamment dans son encyclique Christifideles laïci, ont développé l'enseignement rappelant la nécessité de la mobilisation des catholiques en politique. Le devoir électoral en fait partie mais il n'en est qu'une dimension extrêmement limitée et éphémère. Et la réflexion attentive autour du suffrage qui conduit à marginaliser ce monde décadent n'a rien d'un désengagement. Cette attitude cohérente revêt au contraire un caractère prophétique : « Il est nécessaire que des chrétiens, convenablement formés et compétents, soient présents dans les diverses instances pour concourir (...) au bien commun. » (Jean-Paul II).
Famille, protection des enfants, respect de la vie, soutien aux futures mères, respect des catholiques et de leur foi, politique culturelle, Hell'Fest...autant de sujets sur lesquels il est normal et sain que les chrétiens s'interrogent et interrogent les candidats. Comment sinon voter en chrétien et en conscience ?
Thomas
Rédigé le 12 mars 2010 à 12h58 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Les fondamentaux : argumentaires, Notre Eglise, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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