Rédigé le 19 janvier 2010 à 18h32 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Prière, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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e-deo : On ne vous avait encore jamais vu. D'où venez-vous ?
Pierre Fromager : Bonjour ! En effet, c’est notre première apparition publique. Nous sommes un groupe de socialistes non-encartés, nous n’adhérons à aucun parti bien que nous soyons fermement attachés aux principes de la Gauche.
Nous avons décidé de participer à la Marche pour que le débat sur la question ne reste pas la seule propriété de la Droite. La Marche pour la Vie est traditionnellement identifiée comme étant une manifestation conservatrice, or nous voulons prouver que c’est aussi un combat essentiel pour les partisans du progrès, de l’égalité, de la fraternité, de la solidarité.
Êtes-vous représentatif d'un courant ou d'un certain nombre de militants des forces de gauche ?
Pour l’instant, il faut l’avouer, nous nous sentons assez seuls, parce que l’ensemble des partis de gauche est totalement muette sur cette question, ce qui représente à nos yeux un véritable scandale. Chaque année des milliers de femmes en détresse se voient contraintes de tuer leur enfant, au nom de la libération de la femme et de la libéralisation des mœurs. Or la Gauche refuse d’aborder ces questions, elle craint que toute critique soit un recul des avancées sociales. Mais où sont les valeurs sociales dans l’avortement ou dans l’euthanasie ? Quel progrès représente la mise à mort d’un plus faible que soi ? Quelle manifestation de solidarité exprime-t-on quand on refuse à une femme le droit d’être mère, au nom du confort, au nom des lois iniques du marché de l’emploi ? Il faut que la solidarité s’applique à tous, partout !
Nous, Socialistes pour la Vie, appelons à un véritable débat sur ces questions. La véritable solidarité consiste à défendre les faibles contre les puissants, voilà pourquoi nous demandons aux socialistes de toutes sensibilités de prendre position. La nôtre, c’est celle de convoquer un débat sur les réformes à mettre en place de toute urgence, pour que les femmes enceintes en difficulté soient réellement aidées, pour que le véritable sens de la fraternité et de la solidarité s’appliquent aux plus petits, aux plus démunis, aux plus faibles, c'est-à-dire aux enfants à naître, quelles que soient leur histoire. La majorité des femmes qui ont connu l’avortement vivent d’intenses souffrances physiques et psychologiques, et, encore une fois, l’immense majorité des gens de gauche refuse de regarder cette vérité en face. Le combat social ne doit pas seulement concerner les ouvriers victimes de la délocalisation, ou les sans-papiers victimes de la discrimination ; le combat social doit être au plus près de la protection de la vie de nos femmes et de nos enfants. Voilà le sens de notre présence à la Marche pour la Vie cette année.
Des anecdotes sur votre participation à la marche ?
Dans l’ensemble, nous avons suscité la curiosité des manifestants, mais nous avons reçu un très bon accueil ! Nous craignons que nos slogans ou notre étiquette socialiste (« nos enfants aussi ont un désir d’avenir" "Pas d'enfant, pas de retraites") ne soient la cible d’invectives, mais il s’avère que les questions essentielles, comme la vie et la mort, ont la vertu de fédérer toutes les bonnes volontés ! Spontanément, nous avons reçu des encouragements, et quelques personnes se sont jointes à notre équipe ! Cela nous donne de l'espoir !
Quelles sont vos luttes à court-terme ?
Dans l’immédiat, nous demandons aux partis socialistes et à leurs membres de se positionner sur la question de l’IVG : se débarrasser de l’enfant à naître plutôt que d'œuvrer pour la dignité de toute vie est-il réellement un acte de progrès et de fraternité ? Ignorer la véritable souffrance des mères enceintes ou des femmes ayant avorté est-il réellement une manifestation de solidarité ?
À plus long terme, nous allons travailler à notre visibilité dans l’espace public, en espérant prouver que certains combats fondamentaux ne sont ni de droite ni de gauche, mais tout simplement humanistes.
Pierre Fromager, merci beaucoup !
Voir aussi l'entretien accordé par Olivier Berceau à Riposte-catholique :
Lire aussi :
Rédigé le 19 janvier 2010 à 12h52 dans Avortuerie, Culture de vie, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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par Damien Theillier, professeur de philosophie (1)
J'ai vu des affiches dans le métro et j'ai cru que ce film avait une ambition historique et philosophique. Erreur...
Car pour voir ça, il faut subir 2 heures de gnan-gnan moralisateur à propos de la tolérance et une accumulation d'anachronismes affligeants et de clichés ridicules. Ainsi les chrétiens sont présentés comme des barbares fanatiques qui veulent détruire toute trace de civilisation romaine et grecque, qui préconisent de tuer tous les infidèles et qui, bien entendu, s'en prennent aux juifs pour les exterminer. Il ne manque plus que les chambres à gaz !!
De leur côté, les païens, sont présentés comme des hommes du XXIe siècle, forcément éclairés, écologistes avant l'heure, féministes, multiculturalistes, et j'en passe...
La figure de la philosophe et astronome Hypatie est complètement mièvre. En plus d'être une mère-la-morale, elle est présentée comme une athée, ce qui est un contresens historique majeur. Les philosophes néoplatoniciens d'Alexandrie comme Plotin au IIIe siècles croyaient en un Dieu Un. (Lire ici mon article sur Plotin, S. Augustin et la philosophie néoplatonicienne). Enfin, elle a compris toute seule, 1400 ans avant Galilée, que la terre tournait autour du soleil. On nage en plein délire...
Bref, on l'aura compris, c'est de l'histoire revue et corrigée, du révisionnisme pour les incultes. Mais contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'auteur de ce film n'est pas un américain mais un espagnol : Alejando Amenabar. Vitoria et Las Casas, ces grands penseurs espagnols de l'école de Salamanque au XVIe siècle, doivent se retourner dans leur tombe !! Et les américains qui vont voir ce film vont bien rire de nous. J'attends de lire quelques critiques dans la presse américaine et je vous en reparle.
Finalement je suis sorti avant la fin du film, je n'ai pas supporté plus d'une heure ce péplum européen dégénéré, cette bouillie pseudo-intellectuelle pour les bobos.
Rédigé le 19 janvier 2010 à 11h30 dans Antichristianisme, Cinéma, Culture de mort, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Excellent éditorial de Jeanne Smits dans Présent (site) de demain :
La 6e édition de la Marche pour la vie aura été, à tous égards, un tournant. Jamais je n’y avais vu autant de monde. Autant de jeunes et autant de vieux. Autant de familles et autant de prêtres. Autant de dynamisme et autant de bonne humeur. Quelque chose a changé : ce quelque chose, c’est le soutien du cardinal primat des Gaules, le cardinal Barbarin et de plus de 20 autres évêques, c’est l’annonce de la manifestation dans des paroisses catholiques, c’est la présence d’un évêque. Or dans ce combat qui est politique et social, rien ne va si cette dimension morale et spirituelle n’est pas aussi présente. Elle fut au rendez-vous, galvanisante.
Mgr Dominique Lebrun n’était sans doute pas très visible dans le cortège, l’immense cortège dont la tête arrivait à peine sur la place de l’Opéra quand les derniers milliers de marcheurs « priants » quittaient celle de la République. Mais l’évêque de Saint-Etienne – se disant un peu surpris, raconte le « Salon beige » qui a pu échanger quelques paroles avec lui, d’être le seul évêque présent et surtout le premier – a voulu accompagner ses ouailles. Ce faisant il a brisé un mur de silence, il a montré qu’est possible ce que beaucoup croyaient impossible, il a donné un témoignage qui est aussi un exemple.
Autre tournant : les prêtres en soutane des différents instituts et fraternités traditionnels étaient nombreux, et même plus nombreux que les années précédentes (une dizaine de la seule Fraternité Saint-Pierre autour des abbés Ribeton, Pozzetto, Le Coq…) mais on n’avait carrément jamais vu autant de prêtres diocésains et religieux en clergyman. Ni de religieuses, comme ce groupe de Missionnaires de la charité. Leur dénominateur commun ? La jeunesse. C’est le nouveau visage de l’Eglise de France : si elle manque cruellement d’ouvriers pour la moisson, ceux qui ont entendu l’appel divin ont un souffle et un enthousiasme à nous gonfler le cœur.
A comparer avec la Marche pour la vie de Washington, on mesure certes le chemin qui reste à parcourir. Outre-Atlantique, les écoles défilent avec leur aumônier, les paroissiens avec leur curé, les communautés religieuses avec des dizaines de membres présents. Et l’esprit est plus libre – chacun vient avec son identité, sa pancarte, son slogan, pourvu qu’il partage l’objectif, demander qu’il n’y ait plus d’avortement légal, sans exception. A Paris, ceux qui voulaient clairement afficher leur foi étaient relégués en fin de cortège, un peu coupés de lui, pour pouvoir prier publiquement et ensemble. Or dans ce combat il ne peut y avoir d’exclusive.
Au bout du compte, la 6e Marche pour la vie aura aussi montré que des gens très divers peuvent occuper la rue côte à côte et que la défense de la vie, de sa beauté, de l’espérance dont elle est porteuse est un puissant fédérateur pour le bien. On ne l’avait jamais ressenti aussi fortement.
Et cette nouveauté est un vrai signe d’espoir. Dans le métro, le métro « envahi par les doux » à la fin de la marche, j’entends un couple d’âge déjà mûr se réjouir de ce qu’ils viennent de voir et d’entendre. Je devine qu’ils militaient, eux, du temps de la loi Veil. Ils se souviennent des manifestations d’alors. « Mais à l’époque, les jeunes n’étaient pas dynamiques comme maintenant : ils sont pleins de courage, ils en veulent, ils sont joyeux, ils sont nombreux ! Et puis de notre temps, il n’y avait pas de prêtres… »
Dom Louis-Marie, père abbé du Barroux, dont la présence fut applaudie à tout rompre, était au cœur des marcheurs priants de la fin de la Marche. Pourquoi un moine bénédictin vient-il à une telle manifestation ? Il rit de ma demande : « Mais enfin, c’est évident ! » Et pressé par moi d’en dire davantage : « Je suis là pour manifester notre indignation et notre protestation. On a reproché à Pie XII de s’être tu, alors qu’il avait de bonnes raisons de ne pas parler tout haut. Aujourd’hui le monde se tait, alors qu’il n’y a aucune raison de le faire. Nous n’avons pas le droit de nous taire, c’est ce que je viens crier ! »
Rédigé le 18 janvier 2010 à 12h21 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, Jeunes, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 18 janvier 2010 à 11h31 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, Jeunes, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Polémia revient sur le débat qui a "opposé" Marine Le Pen à Eric Besson jeudi soir sur France 2 :
ThibaudSous l’œil faussement critique d’Arlette Chabot, (Eric Besson) a disposé de 50 minutes sans vraie réplique pour développer sa conception de l’identité française. Il a repris de manière subliminale la formule qu’il a utilisée à La Courneuve, le 5 janvier dernier : « La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y qu’une France du métissage. »
A aucun moment Marine Le Pen n’a cherché à contester cette sextuple négation.
Quand de Gaulle fait peur à Marine…
Elle a ainsi laissé le champ libre à Eric Besson. Sur l’essentiel, elle a choisi d’éviter l’affrontement. Elle a même battu en retraite lorsqu’Arlette Chabot a tenté de l’amener à se prononcer sur la phrase du Général De Gaulle : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Marine Le Pen, horrifiée, a clairement refusé d’assumer cette définition. La dictature de l’antiracisme est-elle donc si forte qu’à la simple évocation de ce que De Gaulle disait, la fille de Jean-Marie Le Pen …se débine ?
La République suffit-elle à défendre l’identité française ?
La seule valeur haute que Marine Le Pen a revendiquée est la République. Sans doute a-t-elle eu raison face à la « discrimination positive » : rien en effet n’est plus contraire à l’égalité et au mérite républicain que ce concept américain. Mais considérer la République comme le seul marqueur de l’identité française, c’est se rallier au discours officiel. Et c’est une thématique sur laquelle le FN est – à tort ou à raison - difficilement audible, sinon crédible.
Les limites de la pasteurisation?
En tout cas, l’attractivité de Marine Le Pen paraît s’émousser :- Eric Besson lui disant « vous êtes jeune, mais vous êtes un dinosaure » : de fait, Jean-Marie Le Pen ou Marie-France Stirbois auraient pu tenir un discours voisin, il y a 20 ans ou 25 ans.
- Le politologue Pascal Perrineau affirmant dans Le Monde du 15 janvier: « Le FN n’a pas retrouvé le parfum de soufre qu’il a pu dégager dans le passé. Un parti peut aussi s’user dans la contestation. » (…) « la rupture avec le système politique et une stratégie de dénonciation tous azimuts, Marine Le Pen peut incarner cela mais sur un mode mineur et sans doute avec moins d’efficacité.»
- Un point de vue conforté par la faible audience de l’émission de France 2 : 10% de parts de marché, 2,7 millions de téléspectateurs.
Tous éléments qui conduisent à s’interroger sur l’efficacité électorale et politique de la stratégie de « pasteurisation » du discours national portée par Marine Le Pen : sa forme, mélange de pugnacité et de sourire, est souvent efficace mais son logiciel idéologique et stratégique est il adapté au XXIe siècle ?
Rédigé le 16 janvier 2010 à 10h30 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
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C'est pourtant ce qu'ont fait un certain nombre de médias libres.
Le blog « I Like Your Style » le traite de prince de la communication et du bling bling, qui n'a rien fait d'autre que du bruit avec sa bouche et soutirer quelques deniers aux français.
Parler de la patrie n'est pas la défendre effectivement, et la carrière de Philippe Séguin, entre cabinets ministériels et place réservée au conseil d'Etat n'est pas remplie des grands sacrifices qui suscitent l'opposition de la classe médiatique.
Il y a gagné la médaille de la jeunesse et des sports échelon de bronze et, en signe de son amitié pour le dictateur tunisien, la grand croix de l'ordre de la République de Tunisie.
Grand « fils de » résistant, grand patriote, mais surtout grand républicain. Les éloges officiels montrent toute l'ambigüité de sa défense de la souveraineté française.
Une campagne ratée contre Maastricht ne suffit pas à faire oublier à Minute que Philippe Séguin a été un des plus gros obstacles à une union des droites en 1986. Il a parlé de la Patrie , mais en rejetant un parti qui proposait de lutter contre les dangers de l'immigration.
Ce
souverainiste inflexible a su mettre de l'eau dans son vin, et accepter
la douce violence de devenir président de l'Assemblée Nationale, puis
de diriger la cour des Comptes.
Le libre journal de la France Courtoise de Serge de Becketch était plus précis.
La carrière de Philippe Séguin a manifestement été protégée par des
francs maçons, du socialiste Philibert au gaulliste Comitti dans les
années 60 ou a Christian Poncelet. Comparant les défenseurs de l'école
libre à des chouans brandissant les fourches de l'ancien régime il
s'est aussi vanté d'avoir battu des records de naturalisation
d'immigrés.
Son image de probité financière est elle aussi
passablement surfaite, profitant des palais de la République , il a su
fermer les yeux sur les liens financiers entre Pelat et Mitterrand ou
sur l'affaire du Crédit Lyonnais.
Adepte du politiquement correct en matière de morale, il a « épousé » la femme de Toubon, et rue 89 signale l'éloge que fait de lui Roselyne Bachelot.
Il aurait rédigé une bonne partie du discours du seul député de droite votant pour le pacs et s'est abstenu de voter contre.
Patriote et républicain toujours Philippe Séguin a aussi eu le courage d'accélérer le massacre des enfants de France en votant l'allongement de la durée légale de l'avortement.
Rédigé le 13 janvier 2010 à 09h45 dans Avortuerie, Culture de mort, Economie et social, RIP, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Christine Clerc, chroniqueuse politique bien connue, vient d'officialiser son athéisme.
Elle croit entre autres que le Saint-Père s'amuse à décider qu'untel est peut-être bienheureux. Autant dire qu'elle ne croit pas au Père, au Fils et au Saint -Esprit.
Un lecteur lui répond :
cette affaire aura eu un effet positif puisqu'elle vous permet de prendre conscience de la réalité des faits : la personne du Christ n'a aucun impact dans votre vie à vous lire, l'appartenance à l'Eglise n'était pour vous qu'une vague attache sentimentale. Or le christianisme est une voie spirituelle exigeante. Il n'est qu'à relire tous les appels du Christ à le suivre, sans se retourner, sans même aller enterrer son père, en étant près à tout abandonner. C'est parce qu'on a trop fait du catholicisme une sorte de vague sentimentalité qu'on l'a profondément altéré. Je ne dis pas cela pas dans un esprit d'exclusion, mais seulement parce que maintenant que vous avez conscience que vous êtes à l'extérieur, la possibilité s'ouvre à vous d'une vraie conversion qui transformera votre vie profondément et vous permettra de rencontrer Celui en lequel nous avons été élus de toute éternité comme l'écrit saint Paul : Jésus le Christ, notre Sauveur qui est la Voie, la Vérité et la Vie. Nous t'aimons et t'espérons Christine. Et peu nous importe que tu sois divorcée. L'Esprit fait toutes choses nouvelles. Viens !
Prions pour la vraie conversion de Christine Clerc.
Rédigé le 11 janvier 2010 à 21h45 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Economie et social, Histoire, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Roland Hureau signe une tribune sur Marianne2 intitulée "Pie XII : et si Marianne se trompait ?". Extrait :
le vrai mystère de Pie XII n’est pas tant son comportement pendant la guerre que la lecture qui en est faite soixante ans après. Comment ce pape qui fit de son vivant l’objet d’éloges unanimes du monde juif (Ben Gourion, Golda Meir, Albert Einstein, Léo Kubowitski, secrétaire du Congrès juif mondial, le gand rabbin de Rome etc) et non juif, peut être aujourd’hui ainsi vilipendé ?
Le basculement s’est fait avec la pièce « Le Vicaire » (1963), œuvre littéraire et non historique due à un personnage douteux, proche des milieux négationnistes. Il coïncide surtout avec l’émergence de la génération d’après-guerre dont l’irresponsabilité en tant de domaines avait besoin d’un paravent idéologique : identifier, dans la ligne de l’Ecole de Francfort et au rebours du vécu des contemporains, nazisme et tradition en fut une des clefs de voûte.
Rédigé le 11 janvier 2010 à 21h27 dans Antichristianisme, Culture de mort, Histoire, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Après les Européennes, où nous avions présenté deux listes, le parti chrétien et pro-vie SOLIDARITE – Liberté, Justice et Paix voudrait présenter trois listes pour les Régionales, en Ile de France (Axel de Boer, Rhône-Alpes (Matthieu Chauvin) et Pays-de-Loire (joël Sprung). Nous avons choisi comme nom de liste pour cette élection « la liste chrétienne ».
Mais pour être présent il nous faut trouver respectivement 225, 158, 93 candidats majeurs habitant la région, ainsi que des moyens financiers.
Sans votre aide, sans vos réseaux, il n’y aura pas de « liste chrétienne » et pro-vie aux régionales. Nous sommes les seuls à partir uniquement de la doctrine sociale de l’Eglise et de la Vie. Si nous ne sommes pas présents, ces thèmes ne seront tous simplement pas évoqués.
Pour rendre ces listes possibles nous avons besoin de vous. Ayez le courage de vous déclarer pour Dieu et pour la Vie devant les hommes ! Être candidat en position non éligible n’engage à rien d’autre que remplir une déclaration de candidature et de figurer sur le bulletin de vote.
Contactez-moi au plus vite au 06 01 08 93 92 ou a [email protected]
Vous pouvez adhérer (un parti a besoin de membres pour exister) ou faire des dons en ligne sur notre site www.solidarite-france.fr, dont 66% est déductible des impôts dans les limites prévues par la loi.
Au nom des enfants à naître, merci !
Axel de Boer, président de SOLIDARITE – Liberté, Justice et Paix. Le parti chrétien pour une démocratie au service de la Vie et de la Personne Humaine.
Lire aussi :
ThibaudRédigé le 11 janvier 2010 à 14h42 dans Avortuerie, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Philippe Adam, ancien conseiller général et municipal de Salon de Provence, ancien conseiller régional de Provence, secrétaire départemental du Mouvement Pour la France des Bouches du Rhône nous communique :
Après l'échec des élections européennes, un constat s'impose, le MPF hors de la Vendée est un force du passé, sans plus aucune ambitions politiques à l'instar des ses responsable locaux résiduels.
Démissionnaire de mon poste de responsable départemental, j'ai donc décidé, avec la majorité des cadres et militants démissionnaires de rejoindre le CNI et d'y participer activement.
Le plus ancien parti de la droite Française d'après guerre, celui de Pinay, Giscard ou encore J.C. Gaudin est en pleine rénovation et développement sous l'impulsion de son nouveau président Gilles Bourdouleix, député Maire de Cholet et au niveau local avec le nouveau président départemental, Hubert Fayard.
Pour moi, c'est en quelque sorte un « retour au bercail », le CNIP m'ayant déjà fait confiance en 2001 en m'accordant son investiture à l'occasion des élections municipales et cantonales. (...)
e-deo a contacté la présidente de la fédération MPF des Bouches du Rhônes Colette Alla. Elle nous a assuré que Philippe Adam "[n'était] pas parti de son propre chef". Après des départs de militants et un certain nombre de tensions, la fédération souhaitait qu'il se mette en congé. "Nous voilà enfin débarrassés d'un tonitruant personnage qui ne travaille que pour lui. On a patienté et souffert pendant 2 ans." Car "il s'est accroché", le bougre ! Ex-FN, ex-MNR, désormais ex-MPF, "Philippe Adam a fait tous les partis de droite". Enfin presque : "l'UMP n'a pas voulu de lui".
Addendum 16h : le CNI nous indique que Josée Jasansky-Tilquin, conseiller municipal de Suresnes, membre du bureau départemental MPF 92, vient de passer au CNI, comme Paul Mougenot, ancien secrétaire départemental MPF de l'Aisne, conseiller municipal d'Aguilcourt et désormais vice-président des jeunes CNI.
Addendum 19h30 : le MPF nous indique que Paul Mougenot a quitté le mouvement il y a deux ans pour l'UMP. Quant à Josée Jasansky-Tilquin, on nous signale que "l'UMP qu'elle avait approchée n'a pas voulu d'elle".
Addendum 20h00 : le CNI déclare dans un communiqué : "Nous sommes heureux d’accueillir toutes celles et toux ceux qui souhaitent œuvrer pour la défense de nos valeurs. Philippe Adam est le bienvenu et se verra confier de nouvelles responsabilités".
Rédigé le 11 janvier 2010 à 14h28 dans Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Mgr Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, déclare à propos de l'identité française :
Ce qui fait l’unité nationale en France, qui réunit en mosaïque ces particularités régionales, ce ne sont pas d’abord des valeurs républicaines, qui définissent un mode de vivre ensemble, dans une étape donnée de notre Histoire, mais ce sont des racines plus profondes, ce sont des racines de civilisation, ce sont des racines – disons le mot – chrétiennes. Si on veut parler d’identité nationale, retrouvons nos racines communes qui font que, tout en étant différents et nous enrichissant mutuellement de nos différences culturelles, nous pouvons prétendre à vivre dans une certaine unité.
A partir de ce moment, cette unité nationale ne peut pas être fermée aux autres cultures, qui ne seraient plus étrangères, et la question se pose en effet aujourd’hui avec la population d’immigrés, en particulier venant du Maghreb, et donc d’une autre culture, qui est celle de l’islam. Ceux que nous accueillons doivent être dans le grand respect de ce qui fait notre identité nationale, c'est-à-dire dans le grand respect de nos racines culturelles chrétiennes.
A comparer avec les propos choquants de Mgr Simon, archevêque de Clermont-Ferrand...
ThibaudRédigé le 08 janvier 2010 à 18h47 dans Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Notre Eglise, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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où il n'y a pas que des lumières.
Thibaud
Rédigé le 08 janvier 2010 à 17h37 dans Détente, Ecologisme, Economie et social, L'UE au quotidien, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Nicolas Lecaussin
Plus de 143 millions d’euros pour toute une mascarade politique. Il faut rendre l’argent aux contribuables.
Au total, 192 pays ont été représentés à Copenhague. Des dizaines de chefs d’Etat accompagnés de plusieurs dizaines de ministres, des centaines de conseillers et de gardes du corps, des milliers de voitures sans compter les avions qui ont atterri et décollé de l’aéroport de Copenhague durant ces deux semaines du Sommet. Tout cela a un coût qui a été supporté par les contribuables. Aujourd’hui, il est temps de faire les comptes.La délégation française présente en permanence sur place a compté une cinquantaine de personnes. A leur tête, Brice Lalonde, l’ambassadeur chargé des négociations sur le climat, Laurence Tubiana et Paul Watkinson, les adjoints de Brice Lalonde. La délégation comptait des fonctionnaires du ministère de l’Environnement et du Développement durable, des Affaires étrangères, de Bercy, du ministère de l’Agriculture, ainsi que des représentants des établissements publics, comme l’Ademe, l’Agence Française de Développement (AFD), ou le CNRS. Ils ont été rejoints par les politiques et le personnel qui les accompagnait.
Vu les résultats catastrophiques de ces deux semaines de palabres, les contribuables du monde entier sont en droit de demander le remboursement de toutes ces dépenses inutiles.
Rédigé le 08 janvier 2010 à 17h34 dans Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Le présentateur se sent obligé de préciser à la fin qu' "on n'est pas toujours d'accord" avec Eric Zemmour...
Thibaud
Rédigé le 07 janvier 2010 à 15h46 dans Antichristianisme, Culture de mort, Economie et social, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Patrick Louis, secrétaire général du Mouvement pour la France, a déclaré hier, lors d’une visite à la Tour Maubourg à Paris :
« Depuis 496, la France est l’héritière d’un peuple : les francs ; elle parle une langue honorée à Villers-Cotterêts en 1539 : le français ; elle fût fille aînée de l’Eglise et n’a jamais eu pour religion l’argent, malgré sa monnaie le franc ; c’est un principe spirituel rassemblant ceux qui, parce qu’ils ont fait de grandes choses ensemble veulent encore en faire : les patriotes. Il y a une France éternelle, il ne peut y avoir qu’une France : celle de sa culture. »
Des propos qui sonnent comme une réponse à la déclaration (assez ahurissante !) du ministre de l'immigration Éric Besson le 5 décembre 2009 lors d'un débat à La Courneuve :
Thibaud« La France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage. »
Rédigé le 07 janvier 2010 à 14h52 dans Histoire, Identité, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'était le 5 mai 1992. Dans la ligne de mire de son auteur Philippe Séguin, l'intégration supranationale. Pour l'histoire.
Rédigé le 07 janvier 2010 à 14h40 dans Economie et social, Histoire, Identité, L'UE au quotidien, RIP, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Suite aux propos du député-maire de Cholet le diffamant, Christian Vanneste lui a fait parvenir cette lettre (fichier au format .pdf).
Thibaud (merci à Cité et Culture)
Rédigé le 05 janvier 2010 à 18h15 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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