Thibaud (via Fdesouche)
Thibaud (via Fdesouche)
Rédigé le 03 septembre 2010 à 14h25 dans Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Sur son blog, l'ancien ministre Jean-Jacques Aillagon écrit :
La chrétienté est un système idéologique et politique qui, prenant la foi chrétienne pour argument, a tenté d’imposer, à des territoires et à des consciences, un ordre global et contraignant qui en prétendant d’ailleurs soumettre le temporel au spirituel a, en fait, assujetti ce ferment de liberté qu’est la foi chrétienne à la tyrannie du pouvoir, de la contrainte, de l’autorité, de la coercition et des préjugés, et a substitué à la souplesse de la vie la rigidité d’un ordre qu’on voulait immuable et définitif.
Pour lui et pour nos lecteurs qui cherchent à comprendre ce qu'est vraiment la Chrétienté, nous reproduisons infra un extrait du livret du pèlerin (de Chartres) :
qu'est-ce que la chrétienté ?
(...) c'est une société qui vit, ou plus exactement, essaie de vivre, selon l'Evangile. (...) bien vivre selon l'évangile, c'est appliquer les principes qui s'y trouvent. Notre-Seigneur Jésus-Christ est venu "accomplir" au sens de rendre définitive, la loi qui nous vient de l'Ancien testament. Et Il l'a complétée par un commandement nouveau, celui de l'Amour. Donc, vivre selon l'Evangile, c'est vivre en appliquant les commandements de Dieu (les 10 commandements) à la lumière du commandement nouveau, la charité.
D'accord, mais alors ce n'est bon que pour les Chrétiens ?
Pas du tout. Dieu a mis dans l'âme de tout homme une loi qu'on appelle la loi naturelle. C'est la loi qui, naturellement, quelle que soit notre religion, nous fait, par exemple, protéger les faibles, aimer la beauté, vouloir la Paix, etc. Et Dieu, créateur de toute chose, ne pouvant vouloir une chose et son contraire, a donné à Moïse des commandements qui ne sont que la traduction de cette loi naturelle. C'est pourquoi vivre selon la loi naturelle ou selon les commandements de Dieu, c'est équivalent.
Ni confusion du temporel et du spirituel comme dans les sociétés islamiques, ni séparation comme dans nos sociétés laïcistes, nous souhaitons la distinction des deux (le spirituel doit irriguer le temporel). Et la soumission de l'ensemble à Dieu.
Rédigé le 03 septembre 2010 à 02h17 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Histoire, Identité, Islam, Notre Eglise, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu dans Le Monde :
Président de l'Etablissement public du château de Versailles, Jean-Jacques Aillagon dénonce un "activisme aux relents xénophobes".
(...) Versailles mon amour a brandi comme repoussoir quelques oeuvres de Murakami à connotation sexuelle, comme ce Lonesome Cowboy (1998) en pleine éjaculation, alors que cette sculpture ne figure pas dans l'exposition. M. Aillagon y voit "une obsession du sexe assez caractéristique des milieux de l'extrême droite".
C'est un homosexuel (discret mais militant) qui parle...
Le style "lolicon"
Il y a pourtant de quoi se poser des questions quand on sait que Murakami a choisi le style "lolicon" qui désigne l'attirance sexuelle pour des jeunes adolescentes voire prépubères. Après ça, ce sont les opposants à l'exposition qui sont des pervers... Le monde à l'envers !
Il y a quelques jours, l'AFP écrivait :
Les protestations "émanent de cercles d'extrême-droite intégristes et de cercles très conservateurs", considère Jean-Jacques Aillagon, président de l'établissement public du Château de Versailles, interrogé par l'AFP. Ils voudraient faire de Versailles"un reliquaire de la nostalgie de la France de l'Ancien Régime, d'une France repliée sur elle-même et hostile à la modernité".
Des cercles pas si restreints que ça. Quand Le Parisien (ici) et France-Soir (là) demandent à leurs lecteurs ce qu'ils pensent de cette exposition au château de Versailles, 68% d'entre eux répondent qu'ils ne sont pas d'accord avec sa tenue.
Aillagon recule
C'est cette majorité silencieuse qu'Aillagon insulte à chaque fois qu'un journaliste évoque devant lui les groupes d'opposants à l'exposition des saletés de Murakami dans les appartements royaux.
Mais selon Le Monde :
Curieusement, M. Aillagon vient d'annoncer que les prochaines expositions d'art contemporain n'auraient plus lieu dans les appartements royaux du château. Aux opposants qui saluent "une petite victoire", le président de l'établissement public réplique sèchement : "Je ne cherche pas à leur faire plaisir. Mais on peut envisager d'autres lieux, comme l'Opéra royal, pour éviter la routine." Et la polémique ?
Comme quoi, la mobilisation finit toujours par payer. Versailles mon amour appelle à un rassemblement pacifique et ludique (chacun amène son oeuvre d'art "comptant pour rien") le 14 septembre prochain à 18h devant les grilles du Château de Versailles.
Thibaud
Rédigé le 03 septembre 2010 à 01h48 dans Culture de mort, Délinquance, Histoire, Patrimoine, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Bernard Antony, le président de l'AGRIF, communique :
Dans la pleine page 2 du Figaro d’hier, Jean-Marie Guénois écrit preuve à l’appui qu’il est « rigoureusement inexact » d’affirmer que Benoît XVI aurait fait quelque allusion que ce soit à l’affaire française des « Roms ».
Aujourd’hui, au mépris de cela, Luc Ferry reprend la désinformation justement dénoncée en l’assortissant de propos fielleux. Il ose écrire qu’il aurait « préféré que Benoît XVI s’occupât de ces évêques révisionnistes et antisémites qu’il a si opiniâtrement protégés ces derniers temps » (sic).
Ceci est une allégation aussi mensongère que diffamatoire. Mr Ferry qui, à juste titre, dénonce « l’ânerie » de ceux qui prétendent « la France de Sarkozy au bord du fascisme » n’a pas pu s’empêcher de déverser une ânerie encore plus grosse.
À l’évidence, sa méchanceté contre le pape le rend bête. Car ce qu’il affirme de Benoît XVI va à l’encontre des faits et de la vérité.
Les affligeants propos du seul Mgr Williamson totalement imprévisibles n’ont en effet été approuvés par aucun autre évêque et encore moins par le pape. On aimerait que les propos incroyablement racistes de certains rabbins en Israël soient désavoués par leurs pairs avec la même fermeté que celle du Vatican pour les propos de Mgr Williamson.
Thibaud
Rédigé le 02 septembre 2010 à 15h06 dans Antichristianisme, Economie et social, Histoire, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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mais ne répond pas sur le fond aux critiques formulées par une participante :
Cet article reprend des points isolés et les extrapole à l’extrême, avec une mauvaise foi particulièrement malhonnête, dans le simple but de régler des comptes avec la Coordination nationale et de créer une scission de notre mouvement, sans se soucier de blesser et de mépriser ceux qui ont consacré un temps fou à préparer ce séjour, et minimisant le travail effectué en amont de cette UDT. Tout n’était pas parfait, et ne pouvait l’être. Il ne faut pas oublier les intempéries dont nous avons été tributaires durant tout le séjour, et qui ont pu limiter un certain nombre d’activités.
On attend toujours de savoir pourquoi les couleurs n'ont pas été levées comme c'était le cas avant et pourquoi la Messe n'a pas été proposée (on n'a pas dit imposée!) aux participants, comme c'était aussi le cas autrefois.
Scoop : la Messe sera proposée aux participants de l'UDT des jeunes du MPF de cette fin de semaine. Selon ses organisateurs, plus de 100 s'y sont inscrits.
Addendum 13h10 : certains commentaires du blog NPI sont à signaler : Christian Bouchet dénonce "une petite équipe de militants pro-Gollnisch issue d’un groupuscule passéiste et confessionnel, qui n’ont pris leur carte au FN qu'en juin (...) de la même extraction sociale qu’un Philippe de Villiers, donc très éloignés du peuple qui vote pour nous et pour lequel ils ne cachent pas leur mépris". Quand à Pierre DLR, un partisan de Marine, il réclame un filtrage des adhésions !
Addendum 18h50 : mise au point des Jeunes avec Gollnisch. Extrait :
les marinistes partent d’un présupposé: Marine le Pen, seule candidate légitime, est déjà en quelque sorte présidente du Front National; et Bruno Gollnisch n’existe pas! Toute contradiction portée contre le clan mariniste apparaît dès lors comme une agression insupportable et une atteinte à l’encontre du Front National. En bref, un crime de lèse majesté.
Rédigé le 02 septembre 2010 à 12h57 dans Jeunes, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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si l'on en croit le démographe américain Phillip Longman :
Comme le constatent aujourd’hui les Etats-Unis en Irak, la puissance continue d’être fonction de la démographie. Les bombes intelligentes, les missiles à guidage laser et les drones accroissent considérablement la capacité offensive d’une puissance hégémonique ; mais, en dernier ressort, c’est souvent le nombre de soldats sur le terrain qui change l’Histoire. Malgré un taux de fécondité proche du seuil de remplacement, les États-Unis ne sont pas assez peuplés pour maintenir leur rôle de superpuissance mondiale, de même que la Grande-Bretagne n’a plus été capable de conserver son statut d’empire à partir du moment où, au début du XXe siècle, son taux de natalité s’est effondré. Des pays comme la Chine, l’Allemagne, l’Italie, le Japon et l’Espagne, où l’enfant unique est désormais la norme, disposent certes d’un capital humain de qualité, mais il est trop rare pour être exposé au moindre risque.
La baisse de la natalité est également à l’origine d’une série de problèmes économiques et financiers qui font aujourd'hui les gros titres de la presse. L’augmentation de la longévité n’a qu’une faible incidence sur le financement à long terme des retraites et des systèmes de santé. L’espérance de vie à un âge avancé a somme toute très faiblement progressé. Si la proportion d’actifs par rapport aux retraités diminue, c’est essentiellement parce que des individus qui devraient être aujourd’hui en âge de travailler ne sont tout bonnement jamais nés. À l’heure où les États accroissent la pression fiscale sur des actifs de moins en moins nombreux pour subvenir aux besoins des personnes âgées, les jeunes couples ont toutes les raisons de penser qu'ils ont encore moins les moyens que leurs parents d’avoir des enfants, amorçant du même coup un nouveau cycle de vieillissement et de déclin de la population. La dénatalité modifie également les comportements à l’échelle d’un pays. Aux États-Unis, par exemple, près de 10 % des femmes nées à la fin des années 1930 n’ont pas eu d’enfants ; aujourd’hui, ce sont environ 20 % des femmes nées à la fin des années 1950 qui atteignent la fin de leur vie reproductive sans avoir procréé. L’important segment des ménages sans enfants, dont les membres sont issus en grande majorité des mouvements féministes et de la contre-culture des années 1960 et 1970, ne laissera aucun héritage génétique. Et ils n’auront pas sur la génération suivante l’influence psychologique et affective qu’ont eue sur eux leurs parents.
Entre-temps, les familles à enfant unique sont exposées au risque d’extinction. L’enfant unique remplace l’un de ses parents, mais pas les deux. Et ces familles ne contribuent guère à renouveler la population de demain : 17,4 % de femmes de la génération du baby-boom n’ont eu qu’un seul enfant, et leurs descendants ne représentent que 7,8 % de la génération suivante. En revanche, près du quart des enfants de baby-boomers sont issus des quelque 11 % de femmes qui ont eu quatre enfants ou plus. Cela conduit à l’émergence d’une nouvelle société, dont les membres seront dans leur grande majorité issus de parents ayant tourné le dos aux tendances sociales d’une époque où les familles avec peu ou pas d’enfants étaient la norme.
Cela signifie-t-il que les sociétés « éclairées » mais peu prolifiques d’aujourd’hui sont vouées à l’extinction ? Sans doute pas, et cela n’est dû qu’à la spectaculaire transformation culturelle qui se prépare. Comme cela s’est déjà produit bien des fois au cours de l’Histoire, cette transformation survient au moment où les éléments laïcs et libertaires de la société ne se reproduisent pas, laissant ainsi par défaut les tenants des valeurs traditionnelles et patriarcales dominer la société.
À l’époque gréco-romaine déjà, de nombreux citoyens très instruits en étaient arrivés à la conclusion qu’il n’y avait aucun avantage à investir dans les enfants, qui étaient perçus comme un obstacle onéreux à la réussite personnelle et matérielle. Si cette conception a condamné de nombreuses familles à disparaître, elle n’a pas été fatale à la société dans son ensemble. Par un processus d’évolution culturelle, elle a au contraire favorisé la résurgence d’un ensemble de valeurs et de normes que l’on pourrait en gros qualifier de patriarcales.
(...) Dans bien des cas, l’unique chose qui soutient la famille patriarcale est l’idée que ses membres défendent l’honneur d’une longue et noble lignée. Pourtant, lorsqu’une société devient cosmopolite, évolue rapidement et assimile des idées nouvelles, de nouveaux peuples et des luxes inédits, ce sens de l’honneur et du rapport aux ancêtres commence à s’estomper, et avec lui tout sentiment de la nécessité de se reproduire. « À partir du moment où un peuple hautement cultivé commence à envisager le fait d’avoir des enfants en termes d’avantages et d’inconvénients, il amorce un tournant décisif », notait l’historien et philosophe allemand Oswald Spengler [1880-1936].
Ce tournant ne signifie pas forcément la fin d’une civilisation, mais simplement sa transformation. S’il est vrai que les familles nobles, laïques et infécondes de la Rome impériale ont disparu, et avec elles la conception qu’avaient leurs ancêtres de Rome, l’Empire romain ne s’est pas pour autant dépeuplé. C’est sa composition démographique qui a changé : il s’est retrouvé constitué de nouvelles cellules familiales, très patriarcales, hostiles au monde séculier et portées par leur foi soit à croître et se multiplier, soit à entrer dans les ordres. Ces changements ont ouvert la voie à l’Europe féodale, mais n’ont signé l’arrêt de mort ni de l’Europe ni de la civilisation occidentale.
C’est peut-être à une transformation de ce type que nous assisterons au cours de ce siècle. Dans l’Europe d’aujourd’hui, par exemple, le nombre d’enfants que les gens font et les conditions dans lesquelles ils les font est fonction de leurs convictions politiques et culturelles. Vous êtes antimilitariste ? Eh bien, si l’on en croit une étude réalisée par les démographes Ronny Lesthaeghe et Johan Surkyn, vous êtes moins susceptible d’être marié(e) et d’avoir des enfants que quelqu’un qui n’a aucune objection contre l’armée.
L’écart considérable entre les taux de fécondité des individualistes laïcs et des conservateurs religieux augure d’un profond bouleversement des sociétés modernes, qui sera d’origine démographique. Beaucoup d’adultes d’âge moyen qui n’ont pas eu d’enfants peuvent regretter d’avoir fait un choix de vie débouchant sur l’extinction de leur lignée familiale, mais ils n’ont pas de fils ou de fille à qui faire partager cette prise de conscience tardive. Parallèlement, les descendants de couples qui ont eu trois enfants ou plus seront largement surreprésentés dans les générations suivantes, et avec eux les valeurs et les idées qui ont amené leurs parents à avoir de grandes familles.
(...) Que ça leur plaise ou non, les sociétés développées évoluent vers le patriarcat. D’une part, parce que les segments conservateurs font davantage d’enfants et, d’autre part, parce que la réduction de l’État-providence en raison du vieillissement de la population et de la dénatalité leur assurera un avantage de survie supplémentaire, qui à son tour favorisera une plus forte fécondité. À mesure que les États restitueront à la famille les fonctions qu’ils lui avaient ravies par le passé, et notamment le soutien des personnes âgées, les gens se rendront compte qu’ils ont besoin de procréer davantage pour assurer leurs vieux jours, et ils chercheront à s’attacher leurs enfants en leur inculquant des valeurs traditionnelles, proches du commandement biblique « Tu honoreras ton père et ta mère ».
C’est dans les sociétés qui sont aujourd’hui les plus sécularisées et dont les systèmes de protection sociale sont les plus généreux et les plus déficitaires que le retour du religieux et la résurgence de la famille patriarcale seront les plus sensibles.
Un bémol : les médias et l'Education nationale ont une telle influence sur les esprits qu'ils convertissent au progressisme à mon avis trop de monde à chaque génération chez les conservateurs pour espérer voire évoluer la société. Un communautarisme sain (écoles hors contrat, rejet des médias non communautaires, etc) rend cependant possible à terme le basculement.
Thibaud
Rédigé le 01 septembre 2010 à 08h39 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Etats-Unis, Histoire, Identité, Jeunes, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 01 septembre 2010 à 03h09 dans Economie et social, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'Université d'été du FNJ a-t-elle été si "exceptionnelle" que ce que ses organisateurs ont bien voulu laisser entendre? Certains, au FNJ, s'interrogent sérieusement...
Lu sur le site des JAG:
"Le matin, aucune levée des couleur n’est prévue! Malgré des demandes réitérées, elles ne seront jamais montées. C’est le nouveau FNJ: on retire tous les signes visibles et tangibles par lesquels les jeunes frontistes manifestent ordinairement leur amour de la patrie et lui rendent les honneurs qui lui sont dus."
"Dimanche, aucune Messe n’est proposée aux catholiques. A la demande d’un convoi pour la messe, David se réclame de la laïcité, et répond: « On a trop de choses à faire, on va pas non plus faire venir le rabbin ». Une demoiselle est allée faire ses prières seule dans un coin du champ. Les catholiques apprécieront. La laïcité, selon David Rachline, c’est rejeter la religion, c’est interdire la liberté de culte. A force de parler comme nos adversaires (laïcité quand tu nous tiens… oui, je sais, c’est pour la « com »), les marinistes finissent par penser comme eux: un franc-maçon n’aurait pas réagit différemment. On est bien loin de l’esprit des BBR…"
Thibaud
Rédigé le 31 août 2010 à 20h56 dans Jeunes, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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par un journal "ultra conservateur" d'Iran. Bah oui, c'est jugé "ultra-conservateur" de trouver Madame Bruni un peu légère...
Rédigé le 31 août 2010 à 17h31 dans Culture de mort, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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L'"iRiposte" n'a pas attendu Lancar pour exister, comme en témoigne la réacosphère. Le problème pour le chef des Jeunes Pop', c'est que la plupart des sites de la réacosphère sont INDEPENDANTS donc souvent très critiques à l'égard du gouvernement et de l'UMP, comme d'ailleurs de tous les autres partis. Et sur Internet comme ailleurs, une droite trop tiède pour défendre les valeurs de droite et aux ordres d'un gouvernements de facto de gauche n'intéresse personne. Un média lié à un parti politique ne dira jamais toute la vérité, mais seulement ce qui arrange la formation qui le finance.
Thibaud (merci à MJ)
Rédigé le 31 août 2010 à 12h27 dans Economie et social, Jeunes, La vie des médias, Réacosphère, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"Contrairement aux propos véhiculés par certains médias et largement commentés par certains hommes politiques, je n'ai pas fait de parallèle entre LE SORT (en majuscules et souligné dans le texte) des juifs durant la guerre et celui des Roms aujourd'hui, sort qui bien évidemment n'est pas comparable".
Les propos grotesques de l'archevêque ont provoqué un véritable tollé. Le Premier ministre, François Fillon, a parlé lundi sur France Inter de "faute grave". Dimanche soir, le porte-parole du gouvernement s'est dit "extrêmement choqué". Le député UMP du Tarn, Bernard Carayon, a, lui, jugé ces propos "inacceptables" : "vous assimilez le sort des Roms à celui des juifs. C'est inacceptable. D'autant que, ce faisant, vous contribuez à une effroyable banalisation des martyrs de la Shoah". Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s'est déclaré lundi "consterné" par les "confusions et amalgames", soulignant que les différences "sont d'une telle ampleur que la simple comparaison relève d'une grande ignorance ou d'une grande mauvaise foi".
Comme pour davantage compliquer la rencontre prévue ce matin entre l'archevêque de Paris Mgr Vingt-Trois et le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, l'évêque gauchiste de Belfort-Montbéliard (le site du diocèse renvoyait il n'y a pas si longtemps vers la CGT et le Planning familial, au choix !), Mgr Claude Schockert, annonce ce matin que l'Eglise va "s'opposer au cours des prochaines semaines aux décrets de la loi Besson" sur la déchéance de nationalité, jugés "trop durs", dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France. Défendre le "droit" des délinquants à rester Français, c'est la priorité de cet évêque que l'on n'entend jamais sur la question de l'avortement par exemple.
Rédigé le 31 août 2010 à 11h23 dans Culture de mort, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Notre Eglise, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 30 août 2010 à 22h41 dans Jeunes, La vie des médias, Tendances, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 30 août 2010 à 18h32 dans Culture de mort, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Immigration, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Près de huit millions d’euros : c’est le coût partagé entre l’Etat (à 50 %), la Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur (PACA), le département du Var et la Ville de Fréjus pour le massacre d’arènes vénérables du Ier siècle. Les travaux entrepris, ces gradins dégradants dont les photos sont aujourd’hui facilement consultables dans la presse, sont tant étonnants qu’on peinerait à les croire réels si l’on avait déjà en tête d’autres exemples malheureux d’affreuses verrues de ce genre, comme au château de Falaise.
Promoteurs de rentables spectacles contre « amateurs de vieilles pierres », comme certains appellent ceux qui trouveraient encore ces arènes belles par elles-mêmes sans qu’il soit besoin de les habiller d’une grise chape de béton lisse : c’est la loi du plus fort qui l’emporte. Une couverture intégrale qui masquera totalement les structures antiques et permettra d’accueillir un public toujours plus nombreux en respectant les règles de sécurité actuelles. On sait maintenant qui décide, de la Réunion des musées nationaux ou de la préfecture. Le silence de ceux qui ont fait profession d’aimer les vieilles pierres est d’autant plus assourdissant. On apprend seulement que l’architecte des monuments historiques en charge du projet a trouvé le travail de conception difficile. On l’imagine… Mais alors, pourquoi l’avoir mené ? Pourquoi n’avoir pas tout simplement rasé le site, ce qui aurait eu le mérite de la clarté ?
Thibaud
Rédigé le 30 août 2010 à 11h28 dans Economie et social, Histoire, Identité, Patrimoine, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Alain Juppé prend position sur son blog pour la défense et l'apprentissage des langues anciennes, alors que la réforme du concours du Capes de lettres classiques prévoit la suppression des épreuves de grec et de latin :
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D’abord, comment demander à des professeurs de français d’enseigner une langue dont ils ignoreraient les origines, la formation, le génie propre? C’est ce qui est jeu dans la réforme du capes de lettres classiques. Dans la foulée, on pourrait dispenser les candidats d’étudier la Chanson de Roland, ou le Testament de Villon dans le texte… qui est difficile! Il existe aussi des “adaptations” des Essais de Montaigne en français du XXème, bientôt du XXIème siècle…
Ensuite, pourquoi se priver de la précieuse école de méthode, j’ose dire de rigueur intellectuelle que constitue l’apprentissage d’une langue à déclinaison, aussi structurée que le latin? Certes, cet apprentissage est exigeant. Mais à force de ne rien exiger, on risque de fort peu récolter. Et qu’on ne vienne pas me dire qu’il est plus “utile” d’apprendre le chinois ou l’arabe. Dans des programmes bien aménagés, il y a de la place pour diverses expériences. Quant à l’utilité, combien de lycéens auront-ils l’occasion, dans leur vie professionnelle, de résoudre des équations du deuxième degré? Va-t-on en conclure que l’enseignement de l’algèbre est “inutile”?
Et surtout, a-t-on le droit de priver tant de jeunes de la chance de rêver un jour à la naissance de l’”aurore aux doigts de rose”, ou aux tourments de la “mer vineuse” en suivant Ulysse dans ses tribulations? Ou d’accompagner les premiers pas de la démocratie en écoutant l’éloge qu’en fait Périclès? Ou de découvrir avec Antigone qu’il y a des valeurs supérieures aux lois imparfaites des hommes? Tous nos grands mythes, bien de nos grands concepts sont déjà là. Bien sûr, il y a d’excellentes traductions d’Homère, de Thucydide ou de Sophocle. Mais combien plus profonde est la marque qu’en conserve celui qui a pris la peine de fréquenter l’original!
J’ai bien conscience de m’associer à un combat qui n’intéresse plus grand monde, qui suscite au mieux l’indifférence, au pis la dérision. Mais mes “humanités” m’ont donné trop de bonheur pour que je ne rende pas, à ceux qui en sont encore les champions esseulés, un peu de reconnaissance et de respect.
Thibaud
Rédigé le 30 août 2010 à 02h11 dans Economie et social, Histoire, Identité, Jeunes, Patrimoine, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Les protestations "émanent de cercles d'extrême-droite intégristes et de cercles très conservateurs", considère Jean-Jacques Aillagon, président de l'établissement public du Château de Versailles, interrogé par l'AFP. Ils voudraient faire de Versailles "un reliquaire de la nostalgie de la France de l'Ancien Régime, d'une France repliée sur elle-même et hostile à la modernité"
A noter, et c'est une bonne surprise, que le collectif "Versailles mon amour" protège l'anonymat de ses signataires :
La pétition a été lancée par Anne Brassié, une Versaillaise qui anime une émission littéraire sur Radio Courtoisie, un média proche de l'extrême-droite. Elle est épaulée par un étudiant en gestion féru de nouvelles technologies, qui opère sous le pseudonyme d'Eric Martin. Le jeune homme, qui se dit "de centre-droit et catholique", ne divulgue pas sur internet le nom des signataires car "ne pas aimer l'art contemporain pourrait être mal vu par de futurs employeurs", affirme-t-il. Mais, à la demande de l'AFP, il accepte de montrer sur son ordinateur la liste des pétitionnaires et leurs commentaires qui seront remis, dit-il, au ministre de la Culture Frédéric Mitterrand et à M. Aillagon.
Le 14 septembre devrait avoir lieu un rassemblement de protestation devant le Château. Venez avec des oeuvres d'art "comptant pour rien" : rouleau de papier toilette, boîte de conserve, etc !
Rédigé le 29 août 2010 à 12h50 dans Culture de mort, Délinquance, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Monsieur Alain Minc devrait démissionner immédiatement de ses fonctions" a déclaré le député UMP de la XVème circonscription de Paris :
Thibaud
Rédigé le 29 août 2010 à 00h55 dans Antichristianisme, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Les Jeunes avec Gollnisch rebondissent sur les propos tenus par certains clercs sur la politique gouvernementale, relativement à l'affaire des roms, pour faire un point sur la question des rapports entre l'Eglise et la politique d'immigration des Etats souverains.
Extraits:
"La question de l’immigration ne saurait ainsi être réduite à une question de morale individuelle : la France n’est pas une personne physique, mais une communauté politique ! La question de l’immigration est donc un problème d’ordre public, relatif au bien commun, et qui relève évidemment de la prudence politique."
"Aussi bien l’Eglise peut-elle porter un regard chrétien sur les principes de la vie communautaire, aussi bien elle ne peut évoluer sur le terrain de leur application prudentielle sans s’ingérer dans les affaires de l’Etat, et sombrer ainsi dans un cléricalisme qui feint d’ignorer la légitime distinction entre le domaine temporel et le domaine spirituel."
Henry
Rédigé le 28 août 2010 à 19h03 dans Immigration, Jeunes, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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