Rédigé le 16 mars 2010 à 16h03 dans Délinquance, Economie et social, Immigration, La vie des médias, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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E-deo rassemble pour vous les principales réactions politiques de droite suite au 1er tour des élections régionales 2010.
- Pour Debout la République (DLR) : Nicolas Dupont-Aignan ici.
- Pour le Parti de la France (PDF) : Carl Lang ici.
- Pour le Mouvement National Républicain (MNR) : Annick Martin ici.
- Pour le Centre National des Indépendants (CNI) : Gilles Bourdouleix ici.
- Pour la Nouvelle Droite Populaire (NDP) : Robert Spieler ici.
- Pour le Front National (FN) : Jean-Marie Le Pen ici.
- Pour la Ligue du Sud : Nissa Rebela communique.
- Pour La liste chrétienne : Axel de Boer ici.
En ce qui concerne le Mouvement Pour la France (MPF) et le Parti Chrétien Démocrate (PCD), ils appellent à voter UMP au second tour.
André
Rédigé le 16 mars 2010 à 14h08 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Centre. La liste pro-vie et pro-famille "Pour nos familles, nos emplois, notre sécurité, nos traditions, notre identité, restons français dans notre région" menée par Jean Verdon et soutenue par le Parti de la France réalise à Fontgombault un score assez impressionnant. La présence de l'abbaye bénédictine Notre-Dame de Fontgombault qui compte une soixantaine de moines n'y est sans doute pas pour rien...
On nous signale aussi qu'au lendemain du premier tour des élections régionales, La Nouvelle République a publié les réactions de toutes les listes participant aux élections dans le Centre, sauf celle du Parti de la France.
Rédigé le 16 mars 2010 à 14h01 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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par Philippe Randa
À part le score du Front national, toujours bien vivant contrairement aux espérances de certains et aux cauchemars de quelques autres, le résultat des élections régionales est en tout point conforme à ce qui avait été annoncé : claque à l’UMP, gros score du PS, ancrage d’Europe Écologie et du Front de gauche dans le paysage politique, effondrement du Modem… tandis que les petites listes purement régionales n’ont fait que de la figuration plus ou moins réussie. Autre résultat attendu, celui de l’abstention : 53,6 %. Un taux record en France qui “détrône” celui de 1998 (42,3 %). Plus ça va mal, moins ça vote.
Alors, resurgit de façon désormais récurrente, l’idée – voire le spectre – de rendre le vote des Français obligatoire.
La mort électorale dans l’âme, faudra-t-il ou non s’y décider, puisque la moitié du corps électoral se moque ainsi de cette inestimable liberté dont tant d’autres peuples voudraient bien profiter. Ne serait-ce qu’en rêve pour quelques-uns.
Oui, mais voilà : si les enfants de la démocratie sont de plus en plus des électeurs sauvages, il ne faudrait pas prendre leurs responsables politiques pour les premiers kamikazes venus.
Contraint et forcé par une loi – une de plus ! – à “profiter de sa liberté électorale le jour où on lui dit d’en profiter” au risque d’une amende – une de plus ! – imaginez que cet électeur récalcitrant soit également automobliste et/ou fumeur, sa vie deviendrait – mais n’est-ce pas déjà le cas ? – un long fleuve de contraventions.
Et puis, si on obligeait 1 électeur sur 3, voir 1 sur 2 comme dimanche dernier, à amputer deux sacro-saints week-end par an d’un déplacement ludique, familial ou sportif, voire à simplement le contraindre à perdre une heure pour se rendre à son bureau de vote faire la queue et le forcer ainsi à donner sa voix à un candidat en liste, le risque d’un boomerang électoral serait trop grand pour l’establishment politique.
Quelle bonne (surtout mauvaise) raison pourrait inciter cet électeur récalcitrant à glisser un bulletin de vote droite-saumon ou gauche-caviar dans l’urne ? Ce vote obligatoire lui offrirait l’occasion de se défouler en votant pour une liste dite “extrême”, de droite ou de gauche… si tant est qu’il n’hésite pas à faire élire un “comique” qui aurait le mauvais goût, tel un Coluche d’antan ou un Dieudonné d’aujourd’hui, de solliciter les suffrages de ses compatriotes…(1) Car ces Français qui boudent les urnes sont sans doute bien davantage réprésentatifs de ce fameux “électorat contestataire” – ô combien ! – que celui qui glisse dans l’urne un bulletin de vote aux couleurs Front national, Europe Écologie, Front de gauche ou NPA…
L’absentation, même massive, n’est finalement qu’un “moindre mal” pour le système, malgré les larmes de crocodiles déversées désormais chaque soir d’élection par ceux qu’elle arrange finalement plutôt bien.
(1) Rappelons que la candidature de Coluche lors de l'élection présidentielle française de 1981 était crédité par les sondages de plus de 16 % d'intentions de vote… et que se présentait à ces mêmes élections Michel Debré, Premier ministre et père de la consitution, qui n’obtint finalement que 1,66 % des suffrages.
Philippe Randa est rédacteur en chef adjoint de Flash Magazine (site).
Rédigé le 16 mars 2010 à 12h20 dans Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 16 mars 2010 à 11h06 dans Antichristianisme, Economie et social, Notre Eglise, Patrimoine, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lors d'un entre-deux tours, il est toujours utile pour la droite de prendre de fortes positions dans les médias, dans le but non-avoué de rallier les électeurs du Front National qui ont parfois tendance à voter "utile".
Soudainement, la ministre de l'économie Christine Lagarde exprime son désaveu de la politique d'exportation allemande et de l'euro fort. Les Allemands, comme les Autrichiens, ne comprennent pas, et s'en agacent. Les Espagnols, qui président la fête, ne sont pas d'accord avec Christine, mais au fond, si, en fait, ils le sont un peu quand même...Ils souffrent des mêmes maux...
L'Espagne, qui préside l'Union Européenne, a regretté que Paris s'exprime ainsi publiquement contre un partenaire. Elena Salgado, ministre de l'Economie espagnole, a cependant laissé entendre qu'elle partageait sur le fond l'analyse française, en marge d'une réunion des ministres des Finances de la zone euro à Bruxelles.
Le problème soulevé par Christine Lagarde est "une des questions qui ressort quand on parle de compétitivité et des déséquilibres dans la zone euro", a-t-elle dit mais "une chose est ce qui est souhaitable pour un plus grand équilibre et une autre est de faire des recommandations d'un Etat à un autre dans ce sens".
Didyme
Rédigé le 16 mars 2010 à 00h12 dans Economie et social, L'UE au quotidien, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La gauche s'en sort fort bien....
Didyme
Rédigé le 16 mars 2010 à 00h06 dans Chronique culturelle, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Patrick Louis, secrétaire général, communique :
L’élection régionale n’est pas une élection nationale. Il ne faut pas se tromper d’enjeu. Celui-ci consiste notamment dans le contrôle croissant de l’enseignement, de la recherche, du transport régional et de la vie culturelle de nos régions… Aujourd’hui aux mains de la coalition « rose-verte-rouge ».
Chaque voix qui ne se portera pas sur les listes de la Majorité Présidentielle deviendra l’allié objectif de cette coalition hégémonique et incohérente.
Le MPF de Philippe de Villiers appelle donc tous les électeurs à voter massivement pour les listes de la Majorité Présidentielle.
Un son de cloche qui diffère sensiblement de celui des Jeunes pour la France de Paris...
Thibaud
Rédigé le 15 mars 2010 à 19h27 dans Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
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Lu sous la plume de Jean Cochet, dans Présent de demain :
Dès dimanche soir, Jean-François Copé déclarait : « Le message est clair : il faut en appeler dès maintenant à une mobilisation totale de nos électeurs parce que maintenant on est à la croisée des chemins. » Mobilisation totale peut-être, mais en tout cas sans les électeurs de droite. Que le président des députés UMP s’adresse plutôt aux électeurs de Kouchner, de Besson, de Frédéric Mitterrand, de Fadela Amara, de Martin Hirsch, de Michel Charasse et par le biais de Borloo et de Chantal Jouanno, aux écologistes. Ceux-ci répondront peut-être présent à l’appel de Copé pour venir combler les vides gigantesques laissés par les électeurs de droite qui se sont évaporés. Et qui n’ont nulle intention de revenir dans le giron d’un président de la république qui les a trop trompés et trop humiliés.
Rédigé le 15 mars 2010 à 18h50 dans Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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en lui apposant dans son cahier des résultats électoraux le qualificatif "EXT. D." pour "extrême-droite".
La liste "Émergences" a elle, le droit au qualificatif "DIV." pour "divers"...
Rédigé le 15 mars 2010 à 18h27 dans Antichristianisme, Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, La vie des médias, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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par Christian Vanneste, député du Nord
Les résultats du 1er tour des
élections régionales constituent un triple exploit.
À force de confier missions, rapports et responsabilités à la gauche, on est parvenu à faire comprendre aux électeurs qu’il était plus logique de donner directement le pouvoir à celle-ci.
À force de s’enliser sur la question de l’identité nationale, et de laisser traiter ce sujet par des acteurs dans des rôles de composition, on a facilité le retour du Front National.
À force de vouloir paraître plus vert que vert, avec l’absurde taxe carbone, on a permis le succès de l’imposture politique du parti écologiste.
Beaucoup d’électeurs de droite et du centre ne se sont pas sentis mobilisés par des listes trop composites et aux valeurs incertaines. Il faudra tirer de ce scrutin une double leçon pour l’UMP : la présence de candidats « de gauche » sur ses listes ne leur amène aucune voix nouvelle, bien au contraire. La posture idéologique de parti attrape-tout renvoie les électeurs de la copie à l’original, et démoralise le noyau le plus fidèle.
Ce 1er tour constitue un paradoxe : l’apparente victoire de la gauche et le véritable reflux de la droite au travers d’une abstention record expriment d’après les commentaires, la volonté de sanctionner le Président de la République. Or, celui-ci, face à la crise, et durant la Présidence européenne de la France, a pris les mesures les plus efficaces, et a dans bien des cas donné l’exemple. Son soutien constant à l’industrie devrait davantage être perçu dans notre région. En revanche, cette sanction du pouvoir national se transforme en soutien du pouvoir socialiste régional, responsable de hausses d’impôts sans précédent, pour financer des dépenses improductives. Le parti du « dépenser plus pour travailler moins », celui des 35 heures, des délocalisations et de la montée du chômage, est aujourd’hui paradoxalement récompensé des effets particulièrement durs de la crise, qui lui sont pourtant en partie imputables.
Il entend demain diriger nos régions avec la participation des écologistes et des marxistes, alors que sur des questions essentielles comme l’énergie nucléaire ou les infrastructures, la sécurité et la vidéoprotection, la liberté de l’enseignement ou l’apprentissage, ces partis ne sont d’accord sur rien. Vouloir le pouvoir pour le pouvoir relève de l’escroquerie. Le message de l’UMP pour le second tour doit être clair : l’objectif prioritaire de l’action politique est aujourd’hui de redresser notre économie, de protéger nos entreprises, et de lutter contre le chômage. Il ne faut pas que demain les régions appuient sur le frein de la décroissance quand le Gouvernement appuiera sur l’accélérateur de la reprise.
Le vote à l’aveugle dans les élections à la proportionnelle pour des Présidents de Région que personne ne connaît sauf pour des mauvaises raisons, pour des élus qui doivent leur présence sur la liste à la bénédiction de leur parti et non à la connaissance ou à la reconnaissance des électeurs peut conduire à cette absurdité : paraître approuver des élus anonymes dont on ne sait pas ce qu’ils ont fait ou ce qu’ils vont faire pour mieux manifester son mécontentement à l’encontre de celui que tout le monde connaît et dont on sait ce qu’il fait.
Il faut espérer qu’avec la réforme des collectivités territoriales, ce scrutin sera le dernier de ce mode. Même pour quatre ans seulement, il n’est pas nécessaire de faire de nos régions des temples de la dépense publique inutile et de l’opposition à la réforme indispensable pour notre pays.
Rédigé le 15 mars 2010 à 17h18 dans Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La désillusion obamaniaque est de plus en plus flagrante. Écorné par l'opposition républicaine sur l'obamacare, attaqué par l'Eglise et les forces conservatrices du pays, le président Obama va d'échecs en échecs. La visite du vice-président Joe Biden en Israël n'a pas pu empêcher, le même jour, l'annonce de l'installation d'une colonie à Jérusalem-est pour préserver les Juifs ultra-orthodoxes qui y vivent. Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou mène depuis son élection une opposition larvée à la politique d'Obama, qui exige l'arrêt de la colonisation, et le démantèlement d'une partie des colonies. Joe Biden venait réaffirmer le soutien des USA contre les menaces iraniennes, tout en rejetant l'action violente voulue par Israël. Or, dans le même temps, l'Iran se rapproche de la Syrie, que Obama croyait pourtant en phase de réconciliation avec Israël. Quelle crédibilité peut encore conserver l'administration américaine ? Parallèlement, il ne peut donner des gages de sécurité suffisamment forts face aux menaces nucléaires brandies par l'Iran.
La Russie de Medvedev et de Poutine a bien saisi l'affaiblissement du gouvernement américain, elle qui ralentit les discussions sur le projet de désarmement START, au prétexte que, dans trois ans, le président Obama pourrait bien "ne plus être là". L'administration russe l'avait bien compris avec la crise géorgienne, qui vit le camp occidental lâcher son allié. Reparti sans aucun contrat de Chine, Obama file un parfait désamour avec le géant asiatique, concrétisé par la hausse des tarifs à l'importation sur les pneus chinois. L'affaire des ventes de missiles à Taïwan n'a pas arrangé les choses. Prenant acte de l'hostilité américaine bien peu diplomatique, l'Asie cherche à se défaire de l'emprise américaine, sous la pression conjuguée de la Chine et du Japon. Car l'on oublie rapidement que les dernières élections japonaises ont vu le triomphe de l'opposition, qui a d'emblée marquée la rupture en se tournant résolument vers la Chine et l'Asie du Sud-Est. Lors du dernier sommet de l'ASEAN, le Japon proposa la création d'une communauté économique d'Asie Centrale.
Le président Obama préfère se tourner vers la Chine, sans aucun retour, en méprisant l'Union Européenne, qui pourrait être son allié privilégié. N'a-t-il pas annoncé qu'il n'assisterait pas au sommet bilatéral entre les Etats-Unis et l'Union Européenne, en mai prochain, à Madrid ? Concerné au premier chef, il se détourne des Européens déçus, qui n'ont plus qu'à faire bande à part.
La popularité du président américain a chuté, marquée par la victoire dans le Massachusetts du parti républicain, après la mort du député Kennedy. Avec un système de santé évalué à 2500 milliards de coûts annuels si l'obamacare passe, avec l'augmentation du nombre des retraités, avec les sauvetages économiques comme ceux de General Motors ou Ford, le gouvernement américain risque de connaître de nombreuses nuits blanches. La réforme de la santé pourrait bien lui rendre l'initiative politique. Mais rien n'est moins sûr. Les fidèles alliés de l'Amérique commencent déjà à s'en détacher. Le président français Nicolas Sarkozy en est le plus symbolique. Non seulement il ne fut pas le premier chef d'État étranger reçu à la Maison Blanche, mais en plus le président américain signa une lettre à Jacques Chirac, où il se dit certain qu'ils pourront collaborer «dans un esprit de paix et d'amitié afin de construire un monde plus sûr». Amateurisme ou mépris affiché ? A l'époque, on pouvait penser au mépris. C'est désormais l'amateurisme qui prévaut. Revenant sur ses premières amours, Nicolas Sarkozy souligne la responsabilité des USA dans la crise mondiale, et l'importance d'une reprise en main de l'économie par l'Union Européenne. Les divergences de vue sur l'Iran ou le Proche Orient, l'échec du sommet de Copenhague, le mépris de l'Union Européenne installent désormais une certaine distance entre les deux diplomaties.
"Mais à mi-voix, les ex-fervents partisans d'Obama commencent à parler d'un problème de fond et à s'interroger sur le ressort profond de la personnalité politique du président, cet homme qui, à l'intérieur comme en politique étrangère, semble toujours plus pressé de convaincre ses adversaires - (républicains, iraniens ou chinois) que de satisfaire ses propres alliés (démocrates ou européens)."
Balloté à l'intérieur par le retour des conservateurs, discrédité à l'extérieur par l'inefficacité de son action diplomatique, Barack Obama est la grande désillusion de la gauche européenne et des médias, incapables de voir que le grand idéologue et le grand communicant cachent un piètre politicien.
Didyme
Rédigé le 15 mars 2010 à 14h54 dans Economie et social, Etats-Unis, L'UE au quotidien, La vie des médias, Réacosphère, UE/Turquie, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La première élection régionale du jeune parti nationaliste fondé par Carl Lang est un échec. En effet, il ne dépasse pas la barre des 1% au niveau national (précisément 0,90%). Il faut dire qu'il ne se présentait devant les électeurs que dans 4 régions (où il a fait en moyenne 2,7%) sur 22... Aucun élu donc pour le Parti de la France. Son meilleur score : 3,71% en Basse-Normandie pour Fernand Le Rachinel dont voici la réaction.
André
Rédigé le 15 mars 2010 à 14h38 dans Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Annick Martin, qui menait la liste "Non aux minarets" en Lorraine a obtenue 3% des suffrages. Sa liste ne pourra donc se maintenir au second tour, contrairement au Front National qui frôle les 15% dans la région. Mais pour Annick Martin, il n'est pas question de soutenir le FN au second tour : « (...) au second tour, je n’appellerai pas à voter FN qui n’est pas sur notre ligne. M. Gourlot souhaite qu’il n’y ait pas d’argent public dans la construction de mosquées, mais il ne prend pas position sur le fait qu’on en construise encore. Pas question d’apporter notre soutien à des gens qui font la même politique que les autres. » (source : "Le Républicain Lorrain").
André
Rédigé le 15 mars 2010 à 14h23 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Suite aux résultats de dimanche, Bernard Antony communique :
"Avec Nicolas Sarkozy, comme premier de cordée pour progresser vers
les sommets de l’utopie de Jacques Attali, les encordés de l’UMP et
autres boutinistes et villiéristes ont dévissé et ont douloureusement
chuté, lors des élections régionales.
On ne saurait le déplorer :
leur fausse droite est essentiellement celle de la culture de mort, de
la dénationalisation de notre peuple, du déracinement et du métissage
idéologique et étatique.
Sur l’essentiel, c’est à dire sur le
respect de la vie, sur la liberté et la dignité humaine, la conception
de la patrie et de la civilisation, rien, si l’on pèse leurs actes, ne
les oppose fondamentalement à la gauche socialiste et écololâtre moins
hypocrite peut-être mais sans doute plus acharnée à niveler plus vite
économiquement et socialement les « citoyens ».
C’est dire qu’il ne
faut guère attendre de bonne politique pour nos provinces de la part
des majorités régionales qui seront élues dimanche prochain.
Le Front national a certes enrayé son déclin. Il faudra observer si cela va entraîner sa reconstruction doctrinale.
Il
a bénéficié de l’extraordinaire publicité faite à l’excellente affiche
de ses jeunes militants provençaux grâce au procès liberticide intenté
par la connivence algéro-licrasseuse.
Ce déni dictatorial de liberté
politique a formidablement replacé dans l’opinion Jean-Marie Le Pen
dans un rôle d’opposant, qu’il avait hélas abandonné, à l’impérialisme
algérien en France et à l’islamisation qui, redisons-le ici, est plus
un phénomène idéologique, politique et social que religieux.
La
réception accordée à l’affiche a brutalement détourné le président du
Front national de la ligne de son discours de la dalle d’Argenteuil, de
sa fréquentation de l’ambassade d’Iran et de ses diverses connivences
islamophiles.
Si le F.N. retrouvait ses fondamentaux du respect de
la vie et du refus de l’islamisation de la France, cela serait une très
heureuse chose."
André
Rédigé le 15 mars 2010 à 14h07 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Sans parler de victoire pour le Front National, nous pouvons tout de même affirmer que les statisticiens ont, une nouvelle fois, démontré l'inacuité de leurs jugements à son endroit. Il paraissait impossible que le Front National puisse se maintenir au 2e tour dans la moitié des régions, comme l'annonçait Marine Le Pen. Et voilà qu'il se maintient dans 12 des 22 régions françaises.
Alors que doit-on penser des sondeurs ? Que les sondages sont les soutiens indéfectibles de l'État, mais qu'ils ne peuvent remplacer le vote. Les sondages ne sont qu'une projection fantasmée par les sondeurs pour satisfaire un client, l'État.
Didyme
Rédigé le 15 mars 2010 à 11h29 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'est par ces mots que Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, a conclu son intervention sur le plateau de France 3 Ile-de-France consacré aux élections régionales avant de se lever et de le quitter.
Une sortie plutôt réussie et habile : l'émission allait de toutes les manières s'achever quelques secondes plus tard. Une façon pour le président-fondateur de "Debout la république!" de cultiver une image "proche du peuple et du pays réel" toute en contraste avec Yves Jégo. Celui-ci a bien tenté d'interpeler les téléspectateurs conservateurs en demandant à Stéphane Gatignon (Europe-Ecologie) s'il avait l'intention de proposer aux lycéens des substances illicites - qu'il souhaite légaliser - une fois élu au conseil régional...
Philippe Chevrier, le compagnon de Marie-Christine Arnautu (FN) a quant lui accusé Brice Teinturier, directeur adjoint de la TNS Sofres d'avoir volontairement sous-estimé le Front national dans les sondages en Ile-de-France pour l'empêcher d'être invité sur les plateaux télévisés les plus en vue durant la campagne du premier tour. Ce dernier a expliqué que les derniers jours de campagne du Front avait été très bons et dénoncé "la théorie du complot" des sondeurs. Pourtant vérifiée...
Rédigé le 15 mars 2010 à 09h19 dans Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Versailles : 4,81%
Le Chesnay : 3,37%
Bois le Roi : 2,58%
Marnes la Coquette : 2,35%
Paris 07 : 2,28%
Paris 08 : 2, 25%
Louveciennes : 2,10%
Fontainebleau : 2,17%
Bougival : 1,99%
Le Port Marly : 1,95%
Saint-Germain en laye : 1,94%
Paris 16 : 1,91%
Tigery : 1,89%
Rambouillet : 1,81%
Paris 17 : 1,83%
Paris 15 : 1,84%
Paris 06 : 1,70%
Viroflay : 1,69%
...
Vaucresson : 1,53%
...
Neuilly-sur-Seine : 1,37%
Chaville : 1,36%
Boulogne Billancourt : 1,31%
Pontoise : 1,28%
Villetaneuse : 1,28%
Saint-Denis : 1,28%
Chatou : 1, 25%
Le Mée sur seine : 1,21%
Rocquencourt : 1,20%
Le Bourget : 1,19%
...
Melun : 1,15%
Bobigny : 1,11%
...
Maisons-Laffite : 1,07%
Garge-lès-Gonesses : 1,06%
Paris : 1,05%
Meaux : 1,04%
...
Evry : 0,99%
Aubervilliers : 0,96%
Fleury-Mérogis : 0,91%
Sartrouville : 0,90%
...
Taverny : 0,82%
...
Ermont : 0,66%
...
Chevreuse : 0,45%
Paris 10 : 0,59%
Epinay-sur-Seine : 0,59%
Lognes : 0,57%
Paris 11 : 0,48%
Paris 20 : 0,47
...
Epinay-sur-Orge : 0,22%
Soit un total de 24 686 voix (0,85%) selon le ministère de l'Intérieur.
Rédigé le 15 mars 2010 à 08h52 dans Chrétien(s) au quotidien, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (9) | TrackBack (0)
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