Le président des "Jeunes Pop" devrait être en 8ème position à Paris sur la liste menée par Chantal Jouanno.
Certains en interne parlent déjà d'une "voie de garage". Hémorragie des militants, initiatives douteuses comme le lip dub ou campagnes ratées comme celle des révolutionnaires, le bilan de Benjamin Lancar est catastrophique. L'idée serait de s'en débarasser le plus vite en lui offrant une place de conseiller régional. Pas certain que les électeurs UMP de Paris apprécient...
Connaissez-vous le Camp Francilien ? Il s'agit de l'agenda patriotique d'Ile-de-France ! Le concept est bien pensé et utile pour tous... Si vous souhaitez faire part d'un évènement culturel ou politique au Camp Francilien, n'hésitez pas : [email protected]
Tout commence ce matin à 8h30. Les humoristes d'Action discrète font accrocher un portrait de Dominique de Villepin en forme de blason sur la façade du siège de l'UMP pour les besoins de leur sketch diffusé samedi 6 février prochain sur Canal +.
En fin de matinée, Mathieu Barbot, chef de projet internet pour le parti présidentiel, diffuse sur Twitter la photo de l'affiche,
étalée sur le sol avec le message suivant: "Action discrète" a voulu
décorer la façade de l'UMP... ça tombe bien, on avait besoin d'un tapis
!" Suit une photo où le portrait de Villepin est piétiné...
On apprend que les députés Nicolas Dupont-Aignan et Gilles Bourdouleix ont scellé un accord devant les journalistes à l’Assemblée Nationale aujourd'hui à 15 heures. Debout la République et le Centre National des Indépendants et Paysans participeront ensemble aux régionales en Ile de France, "soutenus par des militants villepinistes et souverainistes".
Bruno North, secrétaire général du CNI sera le chef de file à Paris, Nicolas Dupont-Aignan en Essonne, et Jean-Pierre Enjalbert, conseiller général DLR, dans le Val d’Oise.
Elle dispose des soutiens de l’ancien député français au Parlement européen, l'écrivain Paul-Marie Coûteaux et du maire CNI du VIIIe arrondissement de Paris, François Lebel.
Confiant, Nicolas Dupont-Aignan estime que sa liste pèse au moins 8 % et annonce le ralliement de plusieurs maires non-inscrits de la grande banlieue parisienne autour d’un programme "[focalisé] sur la vie quotidienne des franciliens".
Cette dynamique référendaire appliquée à une présidentielle, Valéry
Giscard d’Estaing l’a endurée en 1981 quand, au détriment de ses
intérêts électoraux immédiats, Jacques Chirac a choisi de le faire
battre en conjuguant ses critiques à celles de François Mitterrand. Sur
la plupart des thèmes – la désindustrialisation de la France (déjà !),
le pouvoir personnel (encore !) ou les rapports du président avec
l’argent (la calomnie des “diamants”) –, tout concourait à transformer
l’élection présidentielle en “stop ou encore” ! Résultat : un Giscard en
tête du premier tour, mais battu, au second, par la démobilisation de
ses électeurs qui l’accusaient, en sus, d’avoir dérivé vers la gauche…
Ce tir de barrage, c’est celui auquel on s’expose quand, selon le mot de
Hollande, on accule ses adversaires à n’avoir plus rien à perdre.
Nicolas Sarkozy dispose d’un peu plus de deux ans pour le faire mentir.
- La réforme communale du gouvernement actuel ne fait pas que des heureux. Depuis des années, le regroupement de communes tend à les faire disparaître. La réforme de la taxe professionnelle, qui était l'avantage compétitif du milieu rural sur le milieu urbain, a largement entamé l'attraction de ces territoires. Les grands politiciens parlent de renforcement de la commune, pour mieux couvrir la disparition de la commune avec la complicité des grands élus. Les incitations financières et les menaces préfectorales ne font qu'accroître le mouvement de disparition des communes.
Comme le dit Jean-Claude Peyronnet, sénateur socialiste de la
Haute-Vienne, élu rural s’il en est, « Il est vrai qu’il n’est nulle
part écrit que l’on va supprimer les communes. Au contraire, chacun se
pose en défenseur de la proximité et y va de sa louange aux maires et
aux conseillers municipaux de notre pays. Pourtant, notre conviction
profonde est que cela ne correspond pas à la logique de ce texte. Il en
va de même pour les départements : en dépit de l’attachement unanimement
proclamé à cet échelon territorial, nous pensons que leur suppression
est inscrite en filigrane dans le projet de loi, d’ailleurs inspiré par
le rapport Balladur, lequel évoque l’ « évaporation » des départements
et prône en outre clairement la constitution de « communes nouvelles ».
Ne subsisteraient alors plus que deux niveaux : l’intercommunalité et
les communes nouvelles, d’une part, la région, d’autre part.
(…)
Il ne sera (certes) pas très facile de créer des communes nouvelles.
Cependant, imaginez que l’on mette en place une incitation financière,
comme en prévoyait la loi Chevènement (…) et, si elle se conjugue à un
étranglement budgétaire des communes, les maires se précipiteront dans
une voie qui mènera à la disparition de celles-ci. Telle est, j’en suis
convaincu, la logique ultime du présent projet de loi. »
- Incompétence journalistique : Jean-Claude Guillebaud compare France 24 avec CNN sur la couverture du séisme haïtien. Le résultat fait des ravages. France 24 a été soutenue par la première dame de France, Carla Bruni. Mais entre temps, des contestations diverses ont enrayées la belle machine de propagande.
- Les médias berlusconiens attaquent Carla Bruni, pour sa participation annulée à un festival italien.
- Une femme voilée, porte-parole du NPR : l'UMP peut remercier Besancenot. Il est certain qu'en déclarant que l'on peut être "féministe, laïque et voilée", le NPR peut jouer pour l'UMP, mais aussi pour le FN. Mais certainement pas pour Jean-Luc Mélenchon, qui n'a de cesse de se réclamer des valeurs républicaines, alors que ses alliés ne respectent pas le laïcisme.
- Besancenot fait d'ailleurs l'objet d'un documentaire de Camille de Casabianca, qui vient de sortir. De vrais gauchistes, des purs et durs, des révolutionnaires énervés adeptes du rocking-chair et de la moustache, des comités et des réunions de comités, des discussions dialectiques qui tournent au verbiage palabreux quand ce n'est au pugilat décomplexé. "On se fait ch..." déclare un militant. Vous comprenez pourquoi le NPR ne sert à rien.
- La Chine reproche aux USA de soutenir Taïwan, par la vente d'armes. L'entreprise Boeing est principalement visée. Après Google, piraté par les Chinois, après les révélations sur le système d'espionnage chinois, Boeing pourrait être le prochain point d'achoppement de la diplomatie chinoise. Rentré bredouille de son voyage en Chine, Obama a d'ors et déjà accordé son soutien au projet de Boeing. La Chine menace de prendre des sanctions contre le constructeur d'avions. Il semble que la Chinamérique trépasse...
- Le président du GIEC refuse de s'excuser pour les erreurs commises sur les glaciers himalayens.
L'affaire du film Le Baiser de la Lune diffusé dans les classes primaires fait grand bruit. En deux jours, des médias comme Têtu, ouvertement homosexuels, ont consacré plusieurs articles à la contestation de cette campagne. On ne cesse de s'en prendre à Christine Boutin, en accusant Luc Châtel de lui prêter main forte. 20 minutes, le journal du dimanche, l'AFP, Metro, Le Figaro, Têtu ou Yagg ont évoqué cette question.
Au moment où Anne Hidalgo, socialiste présente sur la liste de Jean-Paul Huchon, demande aux gouvernements et à ses adversaires une prise de position, que Luc Châtel a déjà donné, n'arrêtons pas la mobilisation.
Les 4 vérités ont lancé une pétition. Continuons à la soutenir, au moment où cette affaire devient politique. Le Collectif pour l'enfance s'est également exprimé dans ce sens.
Le Baiser de la lune est toujours soutenu officiellement par la région Bretagne, par la ville de Rennes, par le Conseil Général des Côtes-d'Armor et par le Conseil Général du Finistère.
"A 10 jours du dépôt des listes voici la situation. Il reste une chance
infime d'être présent en Pays de la Loire et Rhône-Alpes, mais ce serait alors une
candidature sans bulletin de vote pour cause de délai d'impression. En
Ile-de-France, nous y sommes presque, il nous manque une trentaine de
personnes sur les 225, plus de femmes que d'hommes. Nous devrions y
parvenir avec juste un petit sursaut.
Je dois aussi parler
d'argent, sujet difficile mais indispensable. Nous avons pu trouver un
imprimeur qui accepte non seulement de lancer l'impression après le 15
(donc faire le travail en quelques jours) et qui accepte l'annulation de la
commande contre le prix du retour du papier.
Mais le budget Ile-de-France est
de 26 000 euros. Pour ce prix nous aurons 1 million de bulletins de vote
et 1 million de professions de foi (pour 7,5 millions d'électeurs), des affiches
et des tracts et les frais divers. L'impression par tranche de 500 000
profession de foi de plus (soit 1/2 million de gens qui recevront un texte
qui aborde la question de la Vie) coûte environ 5 000 euros de plus, ce
que nous n'avons pas. La commande doit être faite demain.
En
fait, nous demandons à ceux de nos candidats qui le peuvent de
participer (soit environ 135 euros par candidat), et à ceux qui ne
peuvent pas être candidat de nos aider. Le plus simple est de faire un
don en ligne (reçu fiscal) sur notre site. Ceux qui préfèrent envoyer
un chèque auront l'assurance que nous ne poserons pas ces chèques si
la liste ne se fait pas."
[Communiqué de l'Institut économique Molinari] Paris, le 4
février 2010 – À l’issue de la première conférence sur le déficit qui s’est
tenue le jeudi 28 janvier 2010, Nicolas Sarkozy a annoncé que des « décisions
extrêmement importantes » et « précises » seront prises par le gouvernement
dès le mois d’avril pour enrayer la « spirale » des déficits. Priorité,
entre autres, à la maîtrise de la dépense publique pour y parvenir.
« Le président français a entièrement raison! Il
devrait d’ailleurs s’inspirer de l’expérience du Canada », souligne Valentin
Petkantchin, co-auteur d’un document sur le sujet publié conjointement par
l’Institut économique Molinari et l’Institut économique de Montréal.
Le
gouvernement fédéral canadien a effectivement réussi à mettre un coup de frein à
la croissance des dépenses publiques au milieu des années 1990. Il a assaini les
finances publiques et réduit considérablement le poids de la dette.
L’expérience fédérale
canadienne
Les
dépenses fédérales avaient augmenté de près de 60% en vingt ans. Les déficits
successifs ont gonflé la dette fédérale qui s’est retrouvée multipliée par six
entre 1974 et 1996. Son remboursement absorbait plus d’un tiers des recettes du
gouvernement au début des années 1990. Le Canada était ainsi devenu l’un des
pays développés les plus endettés.
Afin
de ne pas « hypothéquer » l’avenir économique des Canadiens, le
gouvernement a finalement mis un « coup de frein » aux dépenses
fédérales. Les dépenses de programmes – i.e. hors frais de la dette – ont ainsi
connu une baisse de 12,7% entre 1993-94 et 1996-97. Le nombre moyen d’employés
travaillant dans le secteur public fédéral a été réduit de 16,7% en 1998 par
rapport à son niveau de 1995.
Grâce
à des recettes budgétaires plus importantes – dues en partie à la croissance
économique, mais aussi à de nouvelles levées fiscales –, les déficits ont
disparu dès l’exercice 1997-98. En 2007-2008,
le Canada enregistrait son onzième budget
excédentaire consécutif. La dette fédérale nette par citoyen canadien (ajustée
pour l’inflation) a été réduite d’environ 40% en 2008 par rapport à son niveau
de 1996.
Les leçons de l’expérience
canadienne
Même
si la crise actuelle a entraîné un retour des déficits au Canada elle montre
cependant qu’il n’est pas impossible de stopper le dérapage de la dette
publique. Elle illustre également combien une réelle volonté politique est
nécessaire pour y parvenir !
« Si Nicolas
Sarkozy et le gouvernement tiennent véritablement à maîtriser le déficit et la
dette publique, ils devront résister, en dépit des échéances électorales, aux
“clientèles”politiques qui bloquent souvent
toute réforme de l’État et toute diminution de la dépense publique dont elles
profitent », précise M. Petkantchin.
Intitulé Réfléchir
à deux fois avant de creuser la dette publique : les leçons de l’expérience
canadienne, le document est disponible à : http://www.institutmolinari.org
[Communiqué du député UMP Christian Vanneste] C’est connu : le poisson pourrit toujours pas la tête. Dans la dissolution systématique des valeurs indispensables à la pérennité de notre société, les élus parisiens ou ceux qui rêvent de l’être, tiennent souvent à posséder une longueur d’avance. Les élus de gauche veulent garder leurs “bobos” et ceux de droite souhaitent les conquérir, oubliant la déception grandissante de leurs troupes les plus fidèles. Aujourd’hui, c’est un vrai festival ! Madame Hidalgo se croit obligée d’effectuer un rapprochement entre les dérapages verbaux de Monsieur Frêche et les réflexions philosophiques et morales qui ont valu au député que je suis d’être traîné devant les tribunaux sans succès pour mes adversaires. Une telle comparaison est triplement consternante :
Elle est intellectuellement nulle, car elle prétend mettre au même niveau des invectives ou des boutades très clairement injurieuses pour des personnes, et en raison de leur appartenance ethnique, et le discours kantien que j’avais tenu dans l’hémicycle. Dire que des personnes sont des “sous-hommes“, ou s’en prendre au physique prétendument “peu catholique” d’une autre, relève à l’évidence du racisme qui juge les personnes pour ce qu’elles sont et non pour ce qu’elles font. Tout ceci diffuse des relents de nazisme et doit à l’évidence provoquer du dégoût.
Elle est politiquement inacceptable, car elle repose sur l’interdit et sur l’exclusion. Comme l’a démontré la Cour de Cassation, les idées que je défends, pour désagréables qu’elles soient aux oreilles de certains, ne sont en rien contraires au respect des Droits de l’Homme. C’est même l’un d’eux, la liberté d’expression, qui a triomphé avec le droit de les exprimer. C’est la raison pour laquelle j’invite Madame Hidalgo à revenir à une conception plus saine de la démocratie, celle ou des idées différentes s’opposent, non celle de la pensée unique.
Elle est enfin moralement douteuse. Il est évident que dans la tourmente actuelle du PS à propos des déclarations de Monsieur Frêche, Madame Hidalgo, sans doute poussée par une recrue récente adepte du nomadisme politique, a cru devoir s’en prendre à moi. Ce n’est pas élever le débat que de ramasser les arguments dans les caniveaux de la politique.
Malheureusement, j’apprends également que Madame Jouanno vient de se déclarer en faveur de l’adoption d’enfants par des homosexuels. Je ne crois pas que cette mesure, contraire à l’intérêt supérieur des enfants, et à la situation actuelle de l’adoption en France, soit inscrite dans les projets d’un Gouvernement auquel elle appartient ni dans ceux d’une majorité qui est appelée à la soutenir. Pour la majorité actuelle, il y a d’autres priorités -autrement plus urgentes- notamment la lutte pour résorber le chômage des jeunes. Cette évidence est très manifeste dans le Nord Pas-de-Calais. Il est clair que j’aurai le plus grand mal à voter pour la liste de Madame Jouanno si j’étais parisien.
par 40 militants du syndicat du livre pour protester contre l'impression du "gratuit" par Brodard graphique, une
entreprise dite de labeur (consacrée à l'impression des magazines et de
la publicité, NDLR). Ils réclament que Direct Matin soit imprimé dans une entreprise de presse.
Le ministre du Budget Eric Woerth a présenté lundi aux syndicats un décret de bon sens qui a fait bondir son auditoire.
En effet, dans leur statut actuel, les fonctionnaires ne risquent le licenciement qu'en cas de faute ou d'insuffisance. Mais les textes d'application de la loi d'août 2009 sur la mobilité dans la fonction publique prévoient d'introduire une nouvelle procédure.
La mutation ou l'emploi ?
Dans un premier temps, le fonctionnaire sera simplement déclaré en « réorientation », et conservera son emploi. Mais s'il refuse trois réaffectations, il sera alors placé en « disponibilité d'office ». Le chômage partiel, en pire, sans compensation financière. Si l'employé refuse trois nouvelles offres, il sera licencié et touchera une indemnité.
lisez ce communiqué du PS où on apprend que "le droit à l’avortement" est "aujourd’hui remis en cause", que "la droite a récemment dénigré l’action du Mouvement Français pour le
Planning Familial (MFPF) et veut remettre en cause des crédits qui lui
sont alloués"...
Il y a quelques jours, l'Action Française recevait Eric Bianchi pour une conférence sur l'état du royalisme en France. Intéressante et complète, cette enquête dresse un état des lieux de cette mouvance, 221 ans après la Révolution Française de 1789. A voir.
Vigil Ignis «On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l'on n'admet pas tout d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure.» Georges Bernanos dans "La France contre les robots"
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