Rédigé le 25 février 2010 à 10h17 dans Antichristianisme, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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fixé par une directive de 1992 à 14 semaines.
La Commission européenne avait proposé en 2008 de relever à un minimum de dix-huit semaines (dont 6 prises obligatoirement après l'accouchement) la durée du congé de maternité en Europe.
Les députés européens (de gauche) de la commission parlementaire des droits de la femme ont voté mardi 23 février, par 19 voix pour, 13 contre et 1 abstention, une extension de la durée minimale du congé de maternité dans l’UE à vingt semaines rémunérées à 100%, espérant ainsi trouver au final un compromis à dix-huit. En France, le congé est de seize semaines.
La socialiste portugaise Edite Estrela, rapporteur de la législation au
Parlement européen, a voulu aller plus loin que le projet initial de la
Commission afin d’« encourager la natalité », « permettre à la mère de
tisser des liens forts avec son enfant » et « d’allaiter dans de bonnes
conditions ». Elle a été suivie en commission des droits de la femme par
les élus de gauche, des Verts et du centre (ADLE). Badinter et les féministes vont apprécier !
« Plusieurs élus de droite sont très sensibles au déclin démographique de l’Europe », observe le député vert français au Parlement européen Nicole Kiil-Nielsen. Le vote en plénière le 25 mars s’annonce très serré et la procédure législative, longue.
Rédigé le 25 février 2010 à 10h06 dans Avortuerie, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, L'UE au quotidien, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Christian Vanneste, député UMP
Cette semaine est à marquer d’une
pierre noire. Jusqu’à présent, on pouvait être troublé par les
déclarations de tel ou tel Ministre approuvant, en-dehors de toute
solidarité gouvernementale, une idée de gauche comme si elle incarnait
le progrès et “le sens de l’histoire”. Ainsi en a-t-il été avec Madame
JOUANNO appelant de ses vœux la reconnaissance de l’homoparentalité (voir ici).
Ces jours-ci, on assiste à une étonnante évolution. Jamais sans doute la gauche n’a t-elle été plus arrogante et agressive. On en arrive à se demander quelle est véritablement la majorité ? Hier, 4 députés UMP -seulement- ont voté contre la proposition de résolution socialiste visant à promouvoir l’harmonisation des législations européennes applicables au droit des femmes suivant le principe de la “clause de l’Européenne la plus favorisée”. Dans ce bel élan panurgien, les élus de droite ont clairement admis que tout droit accordé aux femmes était nécessairement un progrès, même lorsqu’il met en cause la Famille et le respect de la Vie. “Le droit de choisir de donner ou de ne pas donner la vie” est ainsi présenté comme un objectif privilégié. L’Européenne la plus favorisée serait à l’évidence celle qui pourra pratiquer un avortement le plus tard possible durant la grossesse. En passant, la droite française vient ainsi au secours d’une proposition du Gouvernement espagnol qui entend faire passer cette idée pendant la présidence européenne de l’Espagne. Il est vrai que ce Gouvernement, qui a commencé son existence en pliant le genou devant le terrorisme, l’a continué en négociant avec les preneurs d’otage somaliens, essaie désespérément de braquer les projecteurs sur des mesures sociétales (cf la proposition de loi votée aujourd’hui) qui puissent détourner l’attention de la situation économique et sociale la plus catastrophique en Europe avec un taux de chômage largement supérieur à celui de la Grèce… C’est ce Gouvernement inepte qui a institué le mariage et l’adoption entre deux couples de même sexe au mépris de la tradition espagnole.
Aujourd’hui. J’ai, avec mes collègues de la Commission des Lois, auditionné Michel CHARASSE, grand mitterandien devant l’éternel, et partisan d’une laïcité rigide et absolue -il s’était notamment opposé à la mise en berne des drapeaux lors de la mort de Jean-Paul II-, qui va désormais siéger au Conseil constitutionnel. Pendant ce temps, Didier MIGAUD, député-maire socialiste de l’Isère, et déjà Président de la Commission des Finances, devient le successeur de Philippe SEGUIN, à la Cour des Comptes tandis que Jérôme CAHUZAC (PS) lui succède à la présidence de la Commission. Ce brillant tiercé fait passer un message sans ambiguïté : il n’y a de talents qu’à gauche, et tant pis pour ceux qui ont soutenu l’exécutif avec conviction et fidélité, et travaillent encore avec compétence. Non ! Il faut que l’ouverture politique et le tournis idéologique envahissent le Parlement, découragent les militants et désorientent les électeurs. Cette stratégie géniale n’a jusqu’à présent ni créé de rassemblement ni même fait gagner une seule voix. Il est évident qu’il faut la continuer…
Rédigé le 24 février 2010 à 22h44 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le vote du 23 février dernier sur l'harmonisation du droit des femmes n'achève pas le débat. Bien sûr, des députés comme Christian Vanneste ou Jean-Frédéric Poisson ont bien compris que la gauche espagnole voulait enfoncer un peu plus l'Europe dans la culture de mort. Le Front de Gauche et Europe Écologie avaient déjà inclue ce vote dans leurs programmes pour les élections européennes.
Ce vote ne demeure néanmoins qu'une prise de position, sans engagement concret, si ce n'est la volonté de "faire progresser" le droit des femmes. Dans l'esprit des socialistes au pouvoir, il s'agit évidemment d'empêcher la procréation, de tuer toujours plus d'êtres humains avant leurs naissances sous prétexte de "libération".
Il nous appartient d'intervenir dans le débat public pour faire comprendre que le véritable droit des femmes n'est pas là où le situe les socialistes. Plutôt que d'aligner la durée du délai légal pour pratiquer l'avortement sur l'Angleterre ou les Pays-Bas à 24 semaines, il faudrait aligner la France sur l'Irlande, qui interdit l'avortement, sauf s'il y a danger de mort pour la mère. Il se trouve que le délai de réflexion avant un avortement est déjà le plus long en France : une semaine. La plupart des autres pays européens n'en ont pas. Il risque donc de disparaître. De même, dans de nombreux pays, l'avis du conjoint ou des proches n'est pas nécessaire. En Allemagne ou en Finlande, le conjoint peut intervenir. Cette obligation risque également de disparaître si les conservateurs se mobilisent mal (source : ce tableau).
Mais le "droit des femmes" ne se limite pas à l'avortement. Les congés maternité pourraient être alignés sur les congés parentalité suédois, qui s'élèvent à 420 jours pour la femme, avec 80% de son précédent salaire garanti pendant un an. A défaut, la Bulgarie autorise 45 semaines de congé maternité.
Dans le cas du divorce, fera-t-on comme l'Espagne, où il n'est pas conditionné par une faute de l'un des conjoints ? Ou bien préférerons-nous imiter Malte, où il est interdit ? La société moderne a déjà fait son choix.
En Estonie, la notion d'autorité parentale se fonde sur la filiation, c'est-à-dire qu'elle ne peut être retiré à l'un ou l'autre des parents, même en cas de divorce. La garde des enfants est alors partagée.
En France, le viol est considéré comme un crime, passible de 15 ans de réclusion judiciaire. Ce n'est pas le cas des autres pays où il est généralement considéré comme un délit très grave, qui n'entraîne pas de condamnations aussi importantes.
Que fera-t-on dans le cas de la prostitution ? Adopterons-nous le régime suédois, où la prostitution est interdite et les clients condamnés ? Rien n'est moins sûr.
Il va nous falloir agir, discuter, se mobiliser, manifester ou prier pour que les politiques inversent une tendance profondément perverse.
Ce vote provient d'une idée lancée par l'association "Choisir la cause des femmes". Cette association est éminemment féministe. Elle a été créée à la suite de la parution du fameux "Manifeste des 343 salopes", en juillet 1971, pour fédérer le mouvement et protéger chacune des signataires. Simone de Beauvoir en a été la première présidente. Son actuelle présidente, Gisèle Halimi, a également fait partie des signataires. Le mouvement s'est fixé pour objectif d'abroger la loi de 1920 sur l'avortement. Ce fut chose faite très rapidement. Elle cherche également à promouvoir l'éducation sexuelle et la contraception. L'association se fera entendre lors du procès de Bobigny, en 1972, qui vit une jeune fille de 16 ans accusée d'avortement. Dénonçant "un procès d'un autre âge", elle prend en charge la défense de la jeune fille, et suscite un mouvement d'opinion qui aboutira à l'autorisation de l'avortement en 1975. Depuis 1974, elle a étendu son action au statut de la femme dans la société : parité sexuelle, lutte contre le viol (elle parvient à faire classer le viol parmi les crimes), représentation des femmes, violences, etc...
En 1979, l'association s'est offert un colloque à l'UNESCO (excusez du peu !) intitulé : « Choisir de donner la vie. Pouvoir prévoir, vouloir, ou refuser la vie d’un enfant. » Déjà, elle assumait ouvertement le meurtre des enfants...
Didyme
Rédigé le 24 février 2010 à 22h24 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Nous
recevons cette semaine le docteur Dor, responsable de l’association SOS
Tout-Petits dont nous pensons le plus grand bien. Nous recommandons par
ailleurs la visite régulière de ce site. Cet entretien porte essentiellement sur les activités du docteur Dor.
Nous le remercions d’avoir répondu à nos questions.
Je suis médecin retraité, ancien maître de conférences à l’université –
praticien hospitalier – J’ai d’abord été pédiatre et, pendant 6 ans,
responsable d’un service hospitalier à Abidjan (R.C.I.) Puis, rentré en
France, je me suis consacré à la recherche en laboratoire (embryologie
cardiaque) à la Pitié-Salpêtrière pendant près de 25 ans.
Je suis marié, père de 4 enfants.
J’ai fondé avec quelques amis en octobre 1986 « SOS Tout-petits »,
association catholique, ouverte à toute bonne volonté, pour la défense
des plus faibles. Nous pensons qu’il n’y a pas de liberté sans vérité,
sans justice ni miséricorde.
CIVITAS : Après toutes ces
années de combat militant, quels enseignements tirez-vous ? Malgré les
efforts de tous ceux qui se battent contre la culture de mort, celle-ci
se montre omniprésente dans notre société. Pouvons-nous alors parler
d’échec au sujet de ce combat ?
Omniprésente mais
suicidaire, négation de la vie, la culture de mort est un colosse aux
pieds d’argile. Il n’y a pas en elle de vérité mais seulement ruine et
désolation. Elle s’effondrera d’elle-même comme le mur de Berlin, tôt
ou tard.
Le silence est à son égard la pire des choses. Se
taire devant un crime c’est être complice de ce crime. Non seulement il
y a mort mais aussi obscurcissement des consciences. Il y a un devoir
de parler et de persévérer.
Nos activités n’ont pas été sans
effet. Nous sommes rentrés plus de 100 fois dans les centres
d’avortement. Nous nous sommes fait connaître même à l’étranger. S’il y
a eu une loi Neiertz qui instituait, pour nous poursuivre alors que
nous ne commettions aucune agression corporelle ni dommages matériels,
un délit d’entrave à IVG, c’est que nous avons troublé, ainsi que la
Trêve de Dieu, le monde politique.
Une clinique, 32 rue Ordener dans le XVIIIe, qui faisait un grand nombre d’avortements, a du fermer ses portes en 1998.
Nos manifestations ont été interdites 22 fois ; n’est-ce pas la preuve que nous dérangions ?
L’opposition gauchiste, parfois très forte comme à Grenoble, nous stimule.
Je ne parle ici que des résultats visibles.
CIVITAS
: Pourriez-vous rappeler les principaux arguments pour la défense de la
vie ? Que dire à une femme qui a subit un viol et qui ne désire pas
garder l’enfant ?
Lire la suite "Civitas reçoit le docteur Dor, responsable de l’association SOS Tout-Petits" »
Rédigé le 24 février 2010 à 20h13 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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[Plus d'un mois après la pose des affiches et trois semaines après leur retrait... Extrait du communiqué d'Alexandre Simonnot, tête de liste en Seine Saint-Denis.]
La campagne « avortement, un droit, mon choix, une liberté », initiée par le Président de la Région Ile-de-France Jean-Paul Huchon, est immonde, honteuse et scandaleuse.
Facturée 300 000 euros par an aux contribuables franciliens, cette campagne en faveur de la culture de mort [va] profondément à l’encontre de la Vie et de la Famille.
Alors que la France se meurt par sa natalité catastrophique, alors que les familles françaises connaissent de plus en plus la précarité, le Président Huchon fait une promotion hystérique de l’avortement.
L’avortement est un crime abominable pour l’enfant qu’il tue et un traumatisme épouvantable pour la maman qui le porte.
Le Front National a toujours milité en faveur de la Vie. Pour éviter tout recours à l’IVG, le Front National demande la mise en place d’un salaire maternel pour les mères qui souhaiteraient ne pas travailler pour pouvoir éduquer leurs enfants. Le Front National demande également que les allocations familiales soient réservées aux familles françaises. Enfin, le Front National demande la mise en place de l’adoption prénatale pour faciliter l’adoption d’un bébé qu’une mère ne voudrait ou ne pourrait garder.
Face à ces mesures de bon sens en faveur de la Vie, l’ensemble de la classe politique a tout fait pour détruire la Famille française et la remplacer par une immigration de remplacement.
Rédigé le 24 février 2010 à 17h59 dans Avortuerie, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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[Communiqué]
462 députés, UMP et gauche confondues, ont voté la proposition de résolution du parti socialiste visant à aligner le droit français de la famille sur celui des Etats membres de l'Union européenne les plus laxistes comme les Pays-Bas, qui ont légalisé les mariages "homosexuels" et les familles "homo-parentales".
Ce vote illustre, d'une part, la collusion idéologique entre l'UMP et la gauche, d'autre part, la nocivité d'une Europe de Bruxelles qui, en détruisant la souveraineté de la France, porte atteinte à un des fondements de notre société : la famille.
Le Parti de la France et Carl LANG rappellent que la famille fondée sur l'union d'un homme et d'une femme ne pourra s'épanouir que dans une Europe respectueuse des souverainetés nationales et des valeurs chrétiennes de notre civilisation.
Rédigé le 24 février 2010 à 17h41 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, L'UE au quotidien, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le parti de Christine Boutin a beau avoir pris clairement position lundi contre la résolution pro-mort du PS votée hier, il faut bien constater que sur 3 députés PCD, un seul a voté contre (Jean-Frédéric
Poisson), un a voté pour (Jean-François Chossy) et un n'a tout
simplement pas pris part au vote (Dino Cinieri).
Rédigé le 24 février 2010 à 08h20 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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[Les étudiants pro-vie communiquent]
"Aujourd'hui mardi 23 février 2010, l'Assemblée nationale a voté une résolution « visant à promouvoir l’harmonisation des législations européennes applicables aux droits des femmes suivant le principe de la clause de l’Européenne la plus favorisée ».
Le but est d’appliquer en France les mêmes dispositions que celles en vigueur chez nos voisins européens.
ThibaudOr, cette résolution en son alinéa 17 traite de la "santé reproductive" qui englobe l'avortement.
Dans certains pays de l'Union Européenne, l'avortement tardif est possible comme au Royaume-Uni où il est possible d'avorter jusqu'à la 24ème semaine ou encore en Suède jusqu'à la 18ème semaine (et plus sur avis d'une commission médicale...)
Ainsi, sous le beau et louable prétexte d’aider l’égalité homme-femme, on ira en réalité vers un accroissement du taux d’IVG.
Nous rappelons que l'accompagnement des femmes victimes de l'avortement en France est pitoyable, que le nombre d'avortement en France est environ de 210 000 par an et cela malgré une campagne de contraception massive.
Le législateur pense-t-il donc que c’est de toujours plus d’avortements que les françaises ont besoin ?
En voulant niveler les législations européennes par le bas, on va plutôt vers une harmonisation des problèmes.
Ne faudrait-il pas mieux développer une législation européenne protectrice de la vie visant à aider les femmes à éviter l’IVG, comme le font certains de nos voisins européens ?"
Rédigé le 24 février 2010 à 01h11 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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[L'Association
des Chrétiens Protestants et Evangéliques Pour le
Respect de la Vie (ACPERVie-SOS-MATERNITE) a fait parvenir ce courriel aux députés du Val d'Oise.]
Madame, Monsieur le Député,
Ce soir même sont soumises à votre vote deux résolutions visant à aligner le droit des femmes sur la meilleure législation dans un quelconque pays de l’Union Européenne, la “meilleure législation” étant d’ailleurs arbitrairement définie dans chaque domaine.
En effet, si on peut admettre, jusqu’à plus informé, que la législation Suédoise est la meilleure en matière de congé maternité, il n’est pas de l’avis de tous que la législation Britannique soit la meilleure en matière d’avortement. C’est pourtant ce qu’on a pu craindre en entendant la promotrice d’un des projets, interrogée sur France-Inter ce midi, qui envisage un ralliement de l’Irlande et de Malte à l’avortement légal. Pour ce député, la législation le plus favorable aux femmes est une extention la plus large possible de l’offre d’avortement. C’est faire bon marché de la souffrance des femmes poussées à l’abattoir par des pressions économiques et sociales, voire par la crainte de leur compagnon, voire par la violence.
La législation la plus favorable dans ce domaine serait la reconnaissance d’un droit pour la Femme de mener à bien sa grossesse et d’assumer sa maternité. Mais ça, ce serait une vraie action sociale.
En espérant que la vraie cause des femmes, qui est d’abord le droit de vivre, sera respectée,
Je vous prie de recevoir l’assurance de nos sentiments dévoués et respectueux.
Dr françois Volff, Président
Rédigé le 23 février 2010 à 15h44 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Entretien exclusif avec Alexandra Mériguet, chrétienne engagée en politique.
1) Pouvez-vous vous présenter et quel a été votre parcours politique ?
Mariée, mère de 4 enfants, je suis actuellement l’attachée des élus du groupe du Parti de la France au conseil régional de Picardie. Après une licence d’histoire médiévale à l’université de Poitiers, ma vie familiale me conduit à Orange où j’apporte mon soutien aux membres de la municipalité. C’est en Picardie que je suis candidate pour la première fois aux élections législatives puis cantonales pour le Front National. Dès sa création, j’adhère au Parti de la France, ne trouvant plus, depuis un moment, dans le FN la défense des valeurs de la famille, de la vie et un combat réel contre l’islamisation.
2) Quelle a été la raison principale de votre engagement au Parti de la France ?
La fidélité et le renouveau sont les deux termes qui résument les raisons de mon engagement au Parti de la France.
La fidélité parce que je retrouve au Parti de la France les valeurs et les principes que le Front National actuel a abandonnés: la famille, la Vie, l’identité chrétienne de la France menacée par l’Islamisme. Plusieurs faits illustrent ces différences majeures :
- le FN actuel désormais veut garder le PACS, le Parti de la France milite pour son abrogation ;
- le FN actuel veut le maintien de la loi Veil, le Parti de la France propose son remplacement par une législation favorisant l’accueil de la Vie ;
- le président du FN prétend que « les cinq piliers de l’Islam sont compatibles avec le mode de vie français » (dans le journal Flash le 24 septembre 2009), le Parti de la France affirme que les valeurs islamistes sont incompatibles avec l’identité chrétienne de notre pays ;
- Marine Le Pen se réclame de la laïcité de la gauche anticléricale des années 1900, le Parti de la France estime que la laïcité, hélas fort efficace au siècle dernier pour déchristianiser la France, est inopérante face aux islamistes.
Le renouveau parce que le Parti de la France, un mouvement politique jeune, moins d’un an, incarne, avec des méthodes nouvelles, une espérance pour des millions de Français aujourd’hui désespérés par les vieux partis du Système.
3) Après 1 an d'existence, comment se porte votre formation politique ?
Malgré l’absence de moyens financiers et l’occultation médiatique, le Parti de la France est un mouvement qui se porte bien pour son jeune âge. Le fait qu’il présente quatre listes régionales et en appuie trois autres illustre la santé militante de notre mouvement. Et aussi financière, car le Parti de la France finance ses listes sans s’endetter.
4) Considérez-vous que le Parti de la France puisse être le parti politique qui se rapproche le plus de la doctrine sociale de l'Église ?
Le Parti de la France est en effet en France le mouvement politique qui se rapproche le plus de la Doctrine Sociale de l’Eglise. Deux points illustrent cette proximité :
- Attaché à la promotion de la famille, cellule de base de toute société, le Parti de la France, d’une part, affirme que celle-ci repose sur l’union d’un homme et d’une femme, (d’où son refus du PACS première étape vers le mariage homosexuel), d’autre part, propose une grande politique familiale fondée entre autres sur l’établissement du revenu maternel et d’un statut de la mère de famille et sur le chèque scolaire garantissant la liberté pour les parents de choisir l’école de leurs enfants.
- Le Parti de la France veut inscrire dans notre constitution le respect de la Vie depuis sa conception jusqu’à son terme naturel, d’où son opposition à la loi Veil et aux projets de légaliser l’euthanasie.
5) Quel message souhaitez-vous adresser aux catholiques qui continuent à voter pour l'UMP ?
Qu’ils sachent que la plupart des dirigeants de l’UMP partisans de la légalisation de l’avortement et du PACS sont excommuniés de fait. Il est dommage que les dirigeants du clergé français n’aient pas le courage de leurs homologues américains qui refusent la communion aux élus ayant voté en faveur de telles lois.
Un catholique votant en son âme et conscience ne peut voter pour un parti militant pour le maintien de la loi Veil et du PACS et dont beaucoup de dirigeants, comme madame Morano, veulent désormais imposer les familles « homoparentales ».
6) Pensez-vous que "l'esprit de résistance, de renouveau et de rassemblement" prôné par Carl Lang dominera au sein de notre famille politique dans les prochaines années ?
Oui parce que je fais confiance à l’intelligence et au courage des Français engagés dans le combat de la Droite nationale.
7) La jeunesse est pantouflarde, même au sein de la droite nationale, qu'avez-vous à lui dire pour qu'elle s'engage en politique ?
Une partie de moins en moins négligeable de notre jeunesse s’engage dans le combat pour la Vie, en témoigne le succès croissant de la Marche pour la Vie, participe aux pèlerinages nationaux. Cette jeunesse, c’est vrai, depuis un certain nombre d’années, désertait le terrain politique, dégoutée peut être par les partis alors existants.
Le Parti de la France leur offre une nouvelle perspective. A nous de les convaincre et de les amener dans le combat politique, sachant qu’un tel engagement, ainsi que nous l’enseigne l’Eglise, est un devoir pour tout catholique.
8) Le mot de la fin ?
Aide-toi. Le Ciel t’aidera.
9) Le droit à la vie est-il pour vous un combat essentiel dans votre engagement ?
Oui. La position sur la Vie constitue la ligne de fracture politique principale. Les partisans de l’avortement et donc à terme de l’euthanasie sont des matérialistes considérant les hommes uniquement comme des consommateurs et des producteurs, régis par la loi du plus fort. S’il est légal de tuer dans le ventre de sa mère un enfant, alors tout est permis.
Les partisans de la Vie estiment que les êtres humains ne sont pas des assemblages de cellules organiques mais des personnes, crées à l’image de Dieu et dont la Vie est donc sacrée. Toute société digne de son nom a pour mission de défendre ses membres les plus fragiles et donc d’abord les enfants à naître. Si elle ne veut pas remplir cette mission, nul n’est à l’abri.
ThibaudRédigé le 23 février 2010 à 15h13 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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[ACTION !]
Peut-être avons-nous remercié trop tôt Luc Chatel d’avoir fait droit à la demande des parents d’élèves du primaire qui ne souhaitent pas que « Le Baiser de la lune »soit diffusé dans les classes de CM1 et de CM2. S’il faut en croire les associations « LGBT » (Lesbiennes, gays, bi et transsexuels), le ministre tient un double langage. D’un côté il rassure les parents ; de l’autre, il encourage les enseignants à ne pas tenir compte de ses propres décisions.
Le ministre de l’Education nationale avait déclaré, le 3 février sur RMC, que le film d’animation prétendument « pédagogique » qui fait la promotion de l’homosexualité n’avait « pas vocation à être diffusé en primaire à l’école ». Nous nous en étions réjouis, en dépit du pas de deux accompli par Luc Chatel, qui annonçait qu’en revanche le court-métrage serait visionné par les élèves des collèges et lycées. Mais le ministre est depuis revenu sur la légère concession qu’il avait faite au bon sens en jugeant « prématurée »sa présentation aux élèves du primaire.
Recevant le 15 février les représentants du « Collectif Education contre les LGBTphobies en milieu scolaire » (sic !) et de plusieurs associations « Inter-LGBT », Luc Chatel leur aurait assuré que les enseignants du primaire qui utiliseraient le film ne seraient pas sanctionnés, et « qu’ils avaient "la liberté pédagogique"», a raconté Philippe Castel, porte-parole de l'Inter-LGBT.
Toujours selon ce dernier, la «prudence» du ministre s'expliquerait par « la période pré-électorale », qui l’incite à ne pas « se mettre à dos un électorat conservateur ».
Si Philippe Castel dit vrai, la duplicité du ministre de l’Education est une insulte intolérable faite à cet électorat « conservateur », auquel le président de la République doit son élection, et Luc Chatel son ministère.
Une telle attitude aurait des effets immédiats lors des élections régionales – sans préjuger des conséquences à plus long terme de cette politique, en 2012.
Nous demandons donc au ministre de l’Education nationale de démentir explicitement et officiellement les affirmations du porte parole de l’Inter-LGBT (Lesbiennes-gays-bi et transsexuels).
Nous lui demandons en outre de renoncer officiellement à faire projeter Le Baiser de la lune dans les lycées et collèges, un collégien de sixième n’étant pas mieux disposé à visionner un tel film qu’un élève de CM2, et l’éducation affective relevant de la responsabilité des familles et non pas de la mission de l’Education nationale.
A cette fin, nous invitons nos lecteurs à signer notre deuxième Pétition nationale à Luc Chatel contre la diffusion du Baiser de la Lune dans les écoles primaires, les collèges et les lycées.
>>> PETITION <<<
Rédigé le 23 février 2010 à 14h23 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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[Membre du Collectif pour l'Enfant, l'association parisienne de défense de la famille déposera en tout début de matinée cette lettre dans les boîtes aux lettres à l'Assemblée des 40 députés les plus pro-famille - tous UMP.]
Madame, Monsieur le député,
Nous vous savons attachés aux valeurs familiales, au droit de l’enfant et au respect de la dignité de l’Homme, c’est pourquoi nous vous faisons parvenir cette lettre. Mardi, vous allez être amenés à vous prononcer sur une proposition de résolution du Parti Socialiste visant à « aligner le droit français sur le droit des États membres de l'Union européenne les plus progressistes dans chaque domaine du droit de la famille ».
Il faut savoir que les politiques familiales les plus progressistes de l’Union Européenne autorisent le mariage homosexuel, l’adoption d’enfant par des couples homosexuels et l’euthanasie. Si cette proposition de résolution était adoptée, l’avenir de la politique familiale française serait définitivement voué à la perte de repères pourtant essentiels à notre société.
Ainsi, conscients de ces enjeux et éclairés par nos valeurs, nous vous demandons d’intervenir auprès de vos collègues pendant la réunion des députés UMP qui se tiendra mardi, avant la séance à l’Assemblée, pour sensibiliser votre groupe à l’idée de ne pas voter en faveur de la proposition socialiste.
A quelques mois des élections régionales, il serait en effet déroutant pour l’électorat de droite de vous voir coopérer avec le Parti socialiste sur des thèmes aussi importants que polémiques.
Merci, Madame, Monsieur le député, de bien saisir le rôle que vous avez à jouer au sein du groupe UMP et à l’Assemblée Nationale.
A notez que la Grande Bretagne et la Suède autorisent l'avortement jusqu'à 24 semaines, que le mariage homosexuel est autorisé en Espagne, en Belgique, aux Pays Bas, en Norvège, en Suède, au Portugal ainsi qu'au Luxembourg, que les homosexuels peuvent adopter en Espagne, au Royaume Uni, en Belgique, au Danemark, aux Pays Bas et en Suède ; quant à l'euthanasie, elle est pratiquée légalement en Belgique et aux Pays Bas.
Nous vous prions d’agréer Madame, Monsieur le député, l’expression de nos considérations les plus distinguées.
L'association Cité et Culture basée à Cholet nous indique pour sa part avoir contacté tous les députés du département du Maine-et-Loire. Elle diffuse sur son blog des extraits complètement surréalistes des débats qui ont eu lieu à l'Assemblée nationale le 10 février dernier.
Les équipes des députés du MPF et du PCD se seront fortement mobilisées sur cette question, merci à elles. Chers lecteurs du matin, vous pouvez encore contacter votre député si cela n'a pas déjà été fait.
Mais surtout, prions. Prions ce matin pour nos femmes et hommes politiques. Pour toutes ces femmes poussées à avorter, tous ces enfants tués dans l'indifférence générale.
Rédigé le 23 février 2010 à 06h17 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Prière, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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[Communiqué]
Déposée par le Parti socialiste, une
proposition de résolution « visant à promouvoir l’harmonisation des
législations européennes applicables aux droits des femmes » sera
soumise demain au vote de l'Assemblée nationale. Christine
Boutin, Présidente du PCD, invite les députés de la majorité à refuser
le piège qui leur est tendu et à voter massivement contre cette
résolution.
« Sous prétexte de progrès social et d’égalité des sexes, cette résolution vise à nous contraindre à adopter sans discernement les dispositions législatives les plus permissives de certains Etats Membres de l'Union Européenne. Ce qui signifierait par exemple s’aligner automatiquement sur le Royaume-Uni qui autorise l'avortement sur simple demande jusqu'à la 24ème semaine de grossesse. La France l’autorise aujourd’hui jusqu’à 14 semaines. Irions-nous vraiment dans le sens d’un progrès pour la femme et l’enfant ?
Quant à la méthode, ce texte bafoue l’un des piliers de la construction européenne : le principe de subsidiarité. Il se montre par là profondément irrespectueux de l’identité et du mode d’organisation sociétal le plus particulier de chacun des Etats membres qu’est la famille.
En définitive, les socialistes utilisent l’Union Européenne pour faire passer par des voies mécaniques ce qu'ils ne savent pas faire accepter par des voies démocratiques... faut-il vraiment les y aider ? »
Lire la lettre aux députés de la Majorité
Télécharger le communiqué de presse en PDF
Rédigé le 22 février 2010 à 19h19 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Toutes les informations pratiques sont sur ce tract (fichier au format .pdf).
Rédigé le 22 février 2010 à 17h26 dans Avortuerie, Bioéthique, Conférence/débat, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Et nous n'en sommes qu'au 6ème jour !
Thibaud
Rédigé le 22 février 2010 à 14h03 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Etats-Unis, Jeunes, Notre Eglise, Prière, Société civile (EU), Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 21 février 2010 à 22h53 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, L'UE au quotidien, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 21 février 2010 à 19h40 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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