Le premier pays catholique du monde a vu le nombre de ses mosquées quadrupler en dix ans. La misère sociale et l'influence du hip-hop n'y sont pas pour rien. Certains musulmans rêvent désormais tout haut d'imposer la sharia au Brésil...
Thibaud
Le premier pays catholique du monde a vu le nombre de ses mosquées quadrupler en dix ans. La misère sociale et l'influence du hip-hop n'y sont pas pour rien. Certains musulmans rêvent désormais tout haut d'imposer la sharia au Brésil...
Thibaud
Rédigé le 29 avril 2010 à 17h17 dans Economie et social, Islam | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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grâce à la pression des catholiques. Du pain-béni pour les avocats des familles des enfants de l'école Saint-Projet.
Au fait, à quand une infiltration au Grand-Orient de France ?
Dans une écoles islamique ? Dans un kibboutz ?
Rédigé le 28 avril 2010 à 12h13 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Economie et social, Islam, Jeunes, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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“Les symboles chrétiens n’ont pas leur place dans les écoles publiques”, a déclaré Aygül Özkan, future ministre des Affaires sociales de l’Etat régional de Basse-Saxe (centre), dans un entretien paru dans l’hebdomadaire Focus.
“L’école doit être un lieu neutre”, a-t-elle ajouté, précisant que le voile n’avait “rien à faire” non plus dans une salle de classe. Comme si on pouvait mettre la croix et le voile islamique sur le même plan...
Aygül Özkan, 38 ans, doit devenir mardi la première ministre d’origine turque en Allemagne.
Le responsable des questions d'intégration du groupe parlementaire des Unions chrétiennes, Stefan Müller, issu de la CSU, la frange bavaroise et conservatrice de la CDU, a qualifié les positions de Mme Özkan de "tellement aberrantes que c'en est effrayant".
"Des responsables politiques qui voudraient bannir les crucifix des écoles devraient réfléchir s'ils ont vraiment leur place dans un parti chrétien-démocrate", a-t-il ajouté.
Le "cercle des chrétiens engagés" du parti de la chancelière Angela Merkel a été encore plus catégorique en affirmant que "l'expérience consistant à faire d'une femme musulmane une ministre de la CDU en Basse-Saxe semble avoir échoué avant même d'avoir débuté".
Selon les médias allemands, la future ministre a reçu des menaces de mort et a été placée sous protection policière.
Rédigé le 27 avril 2010 à 01h53 dans Antichristianisme, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, L'UE au quotidien, Patrimoine, Tendances | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 25 avril 2010 à 11h08 dans Antichristianisme, Identité, Immigration, Islam, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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ce soir dans l'émission "On n'est pas couché" sur France 2.
Rédigé le 24 avril 2010 à 17h11 dans Antichristianisme, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Histoire, Identité, Immigration, Islam, SOS Homofolie | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Le FNJ communique :
Le sinistre Richard Descoings est à l’origine d’un concert de rap qui aura lieu ce soir à Sciences Po.
L’élite des « artistes » anti-français au grand complet : Amhed Mazouz (La Caution), Calbo (Arsenik), Tunisiano (Sniper), ainsi que Dj Cut Killer.
Allant toujours plus loin dans la promotion du métissage et du cosmopolitisme, le directeur de Sciences Po se ridiculise et envoie un message déplorable aux jeunes Français.
Au lendemain du débat électoraliste sur l’identité nationale, le scandale vient de la participation à cette soirée du secrétariat d’Etat à la Politique de la ville, mais aussi de la Fondation Jean-Luc Lagardère.
C’est en fait la rencontre entre le pire de la sous culture occidentale et le pire de la sous culture anti Française, séduisant au même titre les bobos complexés et les immigrés ingrats.
Cet évènement démontre l’incapacité et la perversité de ce système politique dans lequel, au-delà des grandes déclarations Sarkoziennes, tous les pouvoirs plient devant la culture anti française et plus largement devant les comportements anti français, favorisés par ce climat.
Il ne manque plus que le Pass VIP pour les agresseurs du jeune de Sciences-po dans un Noctilien une nuit d'avril 2009...
Rédigé le 23 avril 2010 à 19h03 dans Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia :
Première thèse : la presse est de moins en moins libre en France.
Et ce n’est pas Polémia qui le dit. C’est Reporters sans frontières.
Chaque année Reporters sans frontières publie un baromètre de la liberté de la presse dans le monde. Année après année, la France plonge dans le classement : 11e en 2002, 19e en 2004, 35e en 2006 et en 2008, 43e en 2009 : une place peu enviable ! Certes, devant le Cap Vert mais juste derrière le Guyana et le Surinam. Chapeau !
Deux explications à cela : les lois liberticides de plus en plus sévères et de plus en plus nombreuses et la concentration économique et financière des grands médias.
Deuxième thèse : le système médiatique français est aux mains de grands oligarques.
Le groupe Figaro pour Dassault, Bernard Arnault de LVMH pour Les Echos, Edouard de Rothschild pour Libération, Bouygues pour TF1, « Lagardère active » pour les filiales de Vivendi Universal, de nombreuses radios dont Europe 1, des télévisions dont Canal+, des journaux dont Le Parisien ainsi que des entreprises de production d’images. Sans oublier l’oligarque des oligarques, Alain Minc, qui tisse sa toile entre les uns et les autres et impose ses vues au journal Le Monde.
Troisième thèse : les grands médias français ne donnent pas le point de vue du peuple, ils défendent les intérêts de la superclasse mondiale.
Les intérêts des grands oligarques des médias sont clairs : ils se trouvent concentrés dans le luxe, le transport aérien, notamment d’affaires, l’immobilier et les travaux publics ; leurs principaux clients sont les super-riches et les pétromonarchies. Sans oublier le rôle de la finance. Si vous regardez TF1, n’oubliez pas que BNP Paribas, le Crédit Agricole, la financière Artémis, Groupama et Goldman Sachs, oui, Goldman Sachs, siègent au conseil d’administration de Bouygues.
Il est donc logique que l’orientation générale de ces médias – dont beaucoup perdent de l’argent d’ailleurs – soit conforme aux intérêts des oligarques qui les possèdent. Les grands médias défendent donc un monde sans frontières et sans régulation au service des plus riches et des entreprises transnationales. L’intérêt des oligarques se confond avec celui de la superclasse mondiale : ces quelques millions d’hommes qui, par delà les Etats et les peuples, sont les principaux bénéficiaires du nouveau désordre mondial.
Quatrième thèse : les grands médias français ne dépendent pas de leurs lecteurs mais de la publicité.
Il y a trente ans, Louis Pauwels et Jean-Claude Valla, journaliste récemment disparu, avaient créé un nouveau journal : le Figaro-Magazine avec du contenu, du sens et des lecteurs. Le Figaro Magazine a été épuré et normalisé à la demande des publicitaires, et notamment de Publicis et des époux Badinter. Aujourd’hui, le Figaro Magazine n’a plus guère de contenu ni de sens, plus beaucoup de lecteurs non plus : qu’importe, il a l’argent de la publicité. C’est aussi la publicité qui fait vivre les journaux gratuits : quelle belle scène orwellienne que de voir dans une voiture de métro ou de train des dizaines de clones lisant le même journal !
Reconnaissons à Patrick Le Lay, alors patron de TF1, cette belle formule – je cite : « Le métier de TF1, c’est d’acheter du temps de cerveau disponible pour Coca-Cola. »
Les grands médias ne suivent pas les désirs de leurs lecteurs; ils obéissent aux grands oligopoles : oligopoles agro-alimentaires, oligopoles de distribution, oligopoles pharmaceutiques, oligopoles de services, oligopoles bancaires.
Une simple anecdote : regardez les couvertures des hebdomadaires ; elles vous expliquent toujours que l’immobilier repart à la hausse et que c’est une bonne chose. Mais une bonne chose pour qui ? Pour qui, sinon pour les promoteurs, pour les banquiers et pour les rentiers !
Cinquième thèse : les journalistes – à de rares exceptions près – ne sont pas des intellectuels libres mais des salariés précaires, c'est-à-dire dépendants de leurs employeurs et soumis au conformisme dominant de leurs confrères.
Mimétisme et panurgisme sont devenus les règles d’or d’une profession qui s’éloigne chaque jour davantage de ses règles traditionnelles de déontologie : vérification des faits et présentation impartiale des réalités, notamment.
Ceci étant, le conformisme est tel que la servilité est souvent consentie sans souffrances. Les commentateurs ont ironisé sur la reprise du quotidien Libération par Rothschild : mais l’extrême gauche est depuis toujours l’alliée objective du capitalisme financier mondialisé ; elle est utilisée comme un bulldozer pour affaiblir les nations, les Etats et les traditions enracinées. Et défendre le droit au séjour des clandestins fait autant plaisir au MEDEF qu’au Réseau (trotskyste) éducation sans frontières (RESF). La connivence de l’extrême capitalisme et du gauchisme est un élément clé pour comprendre le fonctionnement des médias.
Sixième thèse : les médias français ne sont pas un contre-pouvoir ; ils sont le pouvoir : le pouvoir sur les esprits.
Les Français passent en moyenne près de quatre heures par jour devant les écrans de télévision. Et nul ne peut échapper aux écrans de télévision qui envahissent l’espace public : bus, quais de métro, grandes surfaces commerciales, cafés et restaurants. Là aussi une situation orwellienne.
Or les télévisions (comme la presse écrite, d’ailleurs) sont des instruments de formatage de l’opinion, notamment à travers la publicité. S’agissant de l’information, les médias ne rapportent pas seulement des faits, ils les sélectionnent ; ils distinguent ceux qu’ils occultent d’un côté, ceux dont ils font un événement majeur, de l’autre ; et ce en fonction de grilles d’interprétation idéologique. Les grands médias scénarisent les faits : ils disent où est le « bien », où est le « mal » ; où sont les « bons », où sont les « méchants » ; qui doit être « angélisé » et qui doit être « diabolisé ». Par là, les grands médias se sont arrogé le pouvoir de prononcer la peine de mort sociale.
Une scénarisation qui présente un double intérêt : commercial (c’est plus facile à comprendre) et idéologique (voilà ce qu’il faut penser).
Septième thèse : les médias français ne sont pas pluralistes.
Si l’on vous lisait à l’aveugle Libération ou Le Figaro, vous ne pourriez pas faire la différence. Et c’est pareil pour la télévision ; tout juste trouve-t-on un plus fort concentré de trotskysme sans frontiériste sur France 3 régions. Bien sûr vous avez le choix entre Le Parisien et Le Monde ; le style est différent mais l’orientation similaire. A la belle époque de l’Union soviétique, d’ailleurs, les Russes avaient aussi le choix entre la Pravda et les Izvestia.
Huitième thèse : les médias dans leur ensemble sont les vecteurs d’une seule et unique idéologie.
• mondialisme et libre-échangisme économique ;
• « antiracisme », prétendue « diversité » et « discrimination positive », c'est-à-dire négative pour les Jeunes Hommes Blancs, surtout s’ils sont hétérosexuels ;
• rupture des traditions et lutte contre toute forme de valeurs familiales
Neuvième thèse : les médias français parlent de moins en moins français et de plus en plus un mélange de novlangue et de sabir anglo-saxon.
La « gouvernance » des procédures a remplacé le gouvernement des hommes. La « planète » est mise à toutes les sauces. Fermer un robinet est devenu un geste « citoyen ». Et les délinquants étrangers clandestins sont dénommés des « sans-papiers » ; des « sans-papiers » omniprésents à la télévision et source de juteux profits pour les cabinets d’avocats spécialisés. Des « sans-papiers » à qui, bien sûr, il faut donner des papiers : car la réponse à la question est dans la dénomination qui leur a été choisie. Quant à ceux qui ne pensent pas bien ils sont « controversés » et passent leur temps à « déraper » !
Dixième thèse : les médias français imposent un triple déni : déni de débat, déni de réalité, déni de cohérence.
Déni de débat : dans les débats tout le monde est d’accord, sauf à partir de 23h30 ou minuit quand Zorro/Zemmour apparaît ; et encore, les sociétés de production qui organisent ce genre de spectacle paient des figurants pour qu’ils aboient contre ceux qui se risqueraient à ne pas bien penser. La fonction de ces tricoteuses médiatiques est de rappeler aux intervenants, mais surtout au public qui regarde, les interdits qu’il ne faut pas franchir.
Déni de réalité : on parle de « crimes racistes » sans jamais évoquer les milliers de victimes françaises des voyous de l’immigration.
Déni de cohérence : les races n’existent pas mais il faut se métisser ; les races sont égales mais les enfants métis sont réputés plus grands, plus beaux et plus forts ; il est scandaleux de poursuivre Polanski pour des faits remontant à plus de vingt ans mais il est légitime de reprocher à Benoît XVI des fautes commises par des prêtres, au fin fond du Nebraska, dans les années 1960 ou 70 !
Onzième thèse : pour imposer le déni de débat, le déni de réalité et le déni de cohérence, la désinformation n’est ni accidentelle, ni marginale, elle a un rôle central.
Cette désinformation, on la trouve sous toutes ses formes : occultation, déformation, supercherie et gros mensonges. Ce sera dans quelques instants la responsabilité de Michel Geoffroy que d’analyser et de décrire ce phénomène.
Douzième thèse : les grands médias établissent une forme de tyrannie nouvelle : la tyrannie médiatique.
Lors de référendums et des élections, les grands médias disent au peuple ce qu’il doit penser. Et quand le peuple vote mal on le dénonce et on explique qu’il doit revoter.
Les médias scénarisent les élections et présélectionnent les candidats. Dans une élection présidentielle française, le rôle du peuple se borne à ratifier le choix que les médias lui offrent. Aux yeux des grands médias, certains candidats n’ont pas vocation à concourir pour la victoire, comme on l’a vu en 2002. Seuls sont promus les médiagogues, c'est-à-dire les hommes politiques qui calent leur discours et leur comportement sur ce qui plaît aux médias.
Les médias – et pas seulement français, il faut bien le dire – ont même prétendu élire le pape en 2005 : idéalement, un Noir, sud-américain, progressiste et jouant sur le registre émotionnel. La désobéissance des pères conciliaires fut flagrante : ils choisirent un Européen, de surcroît allemand, de grande réputation intellectuelle et attaché à la raison comme à la tradition. Il ne faut pas chercher ailleurs le secret des campagnes de diabolisation contre Benoît XVI ni s’imaginer que quelques concessions pourraient les faire cesser.
Treizième thèse : les médias imposent les dogmes du politiquement correct, ce qui empêche tout changement politique réel.
A titre d’exemple, les médias imposent les dogmes suivants : « L’immigration est une chance pour la France », « La mondialisation est heureuse et le libre-échange économiquement bienfaisant », « Le problème de l’éducation nationale, c’est le manque de moyens.».
L’objectif de la répétition de ces dogmes est double : D’abord, les imposer dans l’esprit du plus grand nombre possible. Ensuite, empêcher que ceux qui n’y croient pas osent s’exprimer ; et ce en jouant sur un processus de sidération et de diabolisation. Retenez l’expression souvent utilisée : « Vous n’avez pas le droit de dire cela ! ». Les médias font sortir les débats qui gênent du domaine du « vrai » et du « faux » pour les faire entrer dans celui du « licite » et de « l’illicite ».
Expliquons-nous. Bien peu de Français croient dans les dogmes officiels. Mais bien peu osent s’y opposer. Car ils craignent de le faire. Ce qui les freine, c’est le souci de leur réputation dans leur milieu professionnel, dans leur famille et, bien sûr, à l’école de leurs enfants.
Nous vivons derrière un rideau de fer de l’information et de la désinformation.
Quatorzième thèse : le mur de l’information, le mur de la désinformation tombera.
Nous sommes emprisonnés derrière le mur de l’information et de la désinformation. Ce mur tombera comme est tombé le Mur de Berlin. Car, comme le rappelle l’historien Dominique Venner, l’histoire est le lieu de l’inattendu. Le 1er septembre 1989, personne ne pensait voir s’effondrer l’empire soviétique ni voir tomber le Mur de Berlin. Quelques mois plus tard, le monde avait changé. Et, un an après, la quasi-totalité des agents de la Stasi étaient devenus d’excellents policiers de la République fédérale réunifiée. Quand le mur de l’information sera tombé les journalistes du Figaro et de TF1 décriront les réalités qu’ils occultent aujourd’hui.
A nous de préparer le terrain par le dévoilement, le contournement et le désarmement de la désinformation.
Quinzième thèse : dévoilons la désinformation.
Décrire une tyrannie, c’est déjà l’affaiblir. C’est ce que nous nous efforçons de faire avec la tyrannie médiatique. C’est la démarche de la réinformation. C’est ce que fait la blogosphère qu’il faut appeler réinfosphère : de Radio Courtoisie à Françoisdesouche, en passant par le Salon beige, Novopress et bien d’autres.
Seizième thèse : contournons la désinformation.
C’est ce que permet Internet. Grâce à Internet, l’information est redevenue pluraliste. Grâce à Internet, les thèses dissidentes peuvent se faire entendre. Grâce à Internet, l’information existentielle, celle qui provient de ce qui est vécu, peut venir concurrencer l’information mimétique des grands médias dominants.
Regardez : en seulement un an, trois débats sont entrés dans le maelström d’Internet et de la réinfosphère. Le couvercle de la pensée unique a sauté : sur le changement climatique, sur la grippe H1N1, sur l’identité nationale ; et en Suisse, c’est sur Internet que le référendum sur le non aux minarets s’est joué. De même, en Islande, lors du référendum sur le remboursement des dettes dues aux financiers spéculateurs.
Dix-septième thèse : désarmons la désinformation.
Le bobard est un terme qui s’est développé dans deux acceptions principales : le « bobard de presse » et le « bobard de guerre ». Les deux ne sont évidemment pas incompatibles et l’usage qui est fait du bobard de presse relève de la guerre idéologique. Les médias mentent au nom du politiquement correct. Dénoncer les bobards comme nous le faisons aujourd’hui, c’est donc se consacrer à une entreprise de désarmement.
Rédigé le 22 avril 2010 à 13h09 dans Antichristianisme, Culture de mort, Délinquance, Ecologisme, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, La vie des médias, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 22 avril 2010 à 09h06 dans Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Il y avait du monde ce mardi soir à la salle Athènes-Service dans le IXème arrondissement de la capitale. Du monde pour écouter Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia (organisatrice de la soirée) résumer 17 thèses sur la désinformation ambiante. Les 150 personnes présentes ont levé leur carton rouge et primé l'insupportable Dominique Wolton dans la catégorie "Maîtres à penser", Stéphane Durand-Souffland, président de l'Association des journalistes judiciaires (et journaliste au Figaro) dans la catégorie "Presse écrite" et David Pujadas dans celle "Télévision" - les internautes, très sensibles à HADOPI, lui avaient préféré Laurence Ferrari. Espérons que Pujadas gagne un bobard d'or en 2011 pour l'infiltration malintentionnée de Mathieu Maye chez des catholiques de Bordeaux et son émission "Les Infiltrés" diffusée mardi prochain. Un prix spécial (les ciseaux d'or) a finalement été réservé au médiateur des rédactions du groupe TF1, Jean-Marc Pillas pour ses délires relatifs à la marche pour la vie. Jean-Yves Le Gallou a annoncé pour l'année prochaine la création d'un bobard d'or pour la radio... A noter qu'aucun des heureux élus n'était présent dans la salle pour recevoir en main propre son prix.
Addendum 11h30, voici le communiqué de Polémia :
David Pujadas, Dominique Wolton et Stéphane Durand-Souffland, lauréats des premiers « Bobards d’or ». Le prix spécial du jury, « Les Ciseaux d’or », attribué au médiateur de TF 1, Jean-Marc Pillas
La cérémonie de remise des premiers bobards d’or a eu lieu mardi soir 20 avril, à Paris, devant plus de 200 personnes réunies dans une salle pleine à craquer.
Pour récompenser les meilleurs désinformateurs, les internautes, le public et le jury ont décerné les prix suivants :
Bobard d’or (télévision) : David Pujadas de France 2 qui avait utilisé, le 28 décembre 2009, des images du Honduras pour illustrer la répression d’une manifestation en …Iran. Le tout en avertissant au préalable les spectateurs : « Attention ! Si des enfants sont à vos côtés, certaines de ces images peuvent choquer. » David Pujadas, qui était dépassé par Laurence Ferrari lors du vote des internautes, a refait son handicap au cours de la soirée et a été plébiscité par le public dont le jury a repris le choix.
Bobard d’or (presse écrite) : Stéphane Durand-Souffland du Figaro pour avoir écrit, le 2 janvier 2010, que les meurtriers de Jean-Claude Irvoas (le photographe de lampadaires tué à Épinay en 2005) étaient « d’origine européenne » (en fait il s’agit d’un Sénégalais, d’un métis de Congolais, d’un Antillais et d’un Maghrébin né en Franche Comté). Stéphane Durand-Souffland est une référence dans le monde de la presse en tant que président de l’Association des journalistes judiciaires. C’est une donc une « autorité morale » qui se voit couronnée du Bobard d’or.
Bobard d’or (maîtres à penser) : Dominique Wolton l’a largement emporté sur tous ses concurrents. Une déception pour Bernard-Henry Lévy habitué à cumuler les distinctions honorifiques.
Enfin le jury a créé une distinction spéciale, les Ciseaux d’or, qui ont été attribués à Jean-Marc Pillas, médiateur de TF 1. Jean-Marc Pillas a expliqué la censure, par TF1, des images de la Marche pour la vie ainsi : « la “première chaîne nationale”, n’a pas vocation à couvrir la manifestation de quelques militants anti-avortement contestant une loi de la République. » Une explication qui ne manque pas de saveurs alors qu’il ne se passe pas de semaine sans que TF 1 ne parle de manifestations de clandestins et de leurs soutiens demandant la modification des lois sur l’immigration.
La deuxième cérémonie des Bobards d’or aura lieu au printemps 2011. Elle distinguera aussi des journalistes de radio."
Rédigé le 21 avril 2010 à 09h04 dans Culture de mort, Délinquance, Détente, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, La vie des médias, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Un rassemblement de soutien à Eric Zemmour est organisé jeudi 22 avril à 17h30 devant le siège de la LICRA, 42 rue du Louvre dans le 1er arrondissement de la capitale (station de métro Louvre-Rivoli, ligne 1).
Thibaud
Rédigé le 21 avril 2010 à 03h25 dans Agenda, Délinquance, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, La vie des médias, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'est le site de gauche Rue 89 qui nous l'apprend :
Beaucoup ont d'abord cru qu'il s'agissait d'une blague lorsque, le 1er avril, est paru le premier magazine « homo » du monde arabe. « Mithly » est un jeu de mots : le titre signifie à la fois « homo » et « comme moi » en arabe.
La publication qui fait figure de véritable révolution dans les milieux des activistes libertaires se passe sous le manteau. La version papier a été tirée en 200 exemplaires, imprimés à Rabat, en toute clandestinité.
A l'origine, Samir Bargachi, coordinateur général de Kif-Kif, l'association de défense des LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transexuels) marocains. L'éditorialiste de Mithly raconte :
« C'était tout simplement impossible d'obtenir un numéro de dépôt légal et une autorisation de publier. »
L'article 489 du Ccde pénal marocain punit de six mois à trois ans d'emprisonnement et d'une amende « les actes licencieux ou contre nature avec un individu du même sexe ».
Selon l'association Kif-Kif basée à Madrid, plus de 5 000 homosexuels auraient purgé des peines de prison depuis l'indépendance du Maroc en 1956.
C'est sur le site Internet de Mithly que les fondateurs du mensuel misent pour toucher un plus grand lectorat. Le support en langue arabe est financé par l'Union européenne et, à but non lucratif, il a pour objectif d'apporter une note arc-en-ciel dans espace médiatique ultra-stigmatisant.
Dommage qu'il ne soit pas possible de trouver un juste milieu : défense des libertés individuelles tout en rappelant ce qui est beau, ce qui est bien, ce qui est vrai. Autrement dit et très concrètement : les personnes majeures se définissant (à notre avis à tord) comme homosexuelles font ce qu'elles veulent, entre elles, dans leur espace privé et ne doivent pas être inquiétée pour cela. On leur demande juste de ne pas s'afficher publiquement comme homosexuelles pour le bien de la société car il s'agit d'un comportement intrinsèquement désordonné qui ne doit ni être encouragé ni être banalisé.
Rédigé le 20 avril 2010 à 11h12 dans Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Islam, L'UE au quotidien, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Suite à son audition par la police nationale, Franck Ribéry serait menacé de garde à vue, son ami Sidney Govou étant simplement soupçonné. Pour avoir eu des "relations tarifées" avec une prostituée qui s'est avéré être mineure. Mais là, aucune campagne de dénigrement officiel.
Là, au contraire, tous les éléments viennent s'additionner et conforter le passif et le côté un petit peu ridicule d'une équipe qui doute beaucoup. La méfiance va s'accroître et cette affaire va faire rire. Et puis si Govou [le nom du Lyonnais a été cité mais son avocat soutient que le joueur n'est impliqué] avait déjà un petit casier et s'inscrit dans la tradition du footballeur fantasque, Ribéry avait l'air sérieux. Il s'est converti à l'islam et présentait tous les signes extérieurs de la conformité religieuse.(...)
Et puis, tout le monde sait que les footballeurs ne sont pas des modèles de vertu...
La conversion à l'Islam est donc une marque de sérieux. La religion serait-elle revalorisée ? Le catholicisme n'est pas sérieux, il est pervers. L'Islam n'est pas dangereux, il est purificateur. C'est du moins ce que pensent nos journaleux, qui prennent toutes les précautions nécessaires pour protéger Govou. Précautions qu'ils n'ont jamais eu pour les prêtres.
Didyme
Rédigé le 19 avril 2010 à 23h12 dans Antichristianisme, Immigration, Islam, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Le philosophe (matérialiste et de gauche) André Comte-Sponville est interrogé par La Voix du Nord à l’occasion de la publication de son nouvel ouvrage.
La liberté d’expression serait-elle en train de rétrécir ?
« En tout cas elle existe ! Les polémiques le confirment. Mais ce qui la menace, c’est ce qu’on appelle le politiquement correct, qui est en fait un moralement correct. Il y a une pression moralisatrice qui rend les choses difficiles à dire. C'est l'exemple de Zemmour : on condamne ses propos parce qu’on le soupçonne de racisme mais on ne se pose pas la question de savoir si ce qu’il avance est vrai ou faux. On ne peut pas parler. Tout de suite il y a procès moral. D’ailleurs, on n’évoque pas les “propos” de Zemmour mais le “dérapage” de Zemmour. »
On parle d’autocensure, de couvre-feu moral… nous serions dans une nouvelle ère du politiquement correct ?
« Oui, et je vais prendre un autre exemple. Christian Vanneste a été condamné deux fois parce qu’il a affirmé que “l’homosexualité était inférieure à l’hétérosexualité”. Je ne suis pas d’accord avec lui mais il a le droit de le dire. D’ailleurs, la Cour de cassation a annulé cette condamnation. Christian Vanneste est catholique et c’est la position de l’Église catholique de dire que l’homosexualité [vécue, c'est-à-dire le comportement homosexuel, NDLR] est un péché. N’a-t-on plus le droit, en France, d’être catholique ? Tous les êtres humains sont égaux en droit et en dignité mais tous les comportements et toutes les idées ne se valent pas. Qu’un chrétien juge que le christianisme est supérieur à l’Islam, c’est la moindre des choses. Ce n’est pas du racisme tant qu’il reconnaîtra que les musulmans ont une dignité et des droits égaux aux siens. On a le droit “d’être contre”. » (…)
Cela valait le coup d'être rappelé par un homme de gauche.
Rédigé le 09 avril 2010 à 18h17 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, La vie des médias, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'est le thème de la conférence organisée par Ichtus qui se déroulera le jeudi 15 avril à Paris. Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, parlera de son expérience et répondra à cette question. Plus d'informations ici.
André
Rédigé le 06 avril 2010 à 13h01 dans Identité, Islam, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 06 avril 2010 à 01h23 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Délinquance, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Les arguments de Yoann Le Nevé sont d'une mauvaise foi abyssale. Petit passage en revue :
Certains disent que le groupe KISS, que nous recevons cette année, est un groupe nazi, à cause des lettres 'SS' qui figurent à la fin de son nom. S’ils avaient pris un peu de temps pour se renseigner, ils auraient compris que ce n'est pas vrai : les deux fondateurs du groupe sont de confession juive et l’un d’entre eux, Gene Simmons, a même vécu en Israël.
Personne n'a dit que le groupe Kiss était nazi. Par contre, ce groupe utilise délibérément comme logo l'emblème de la SS. Et le fait qu'ils soient juifs ou qu'un d'entre eux ait vécu en Israël ne leur donne pas ce droit. Respecter la mémoire des victimes juives et non juives de la Schutzstaffel n'est pas une option, c'est un devoir. Y compris pour Kiss.
On comprend que des gens soient offensés, mais il ne faut pas oublier qu’il y a aussi des groupes de metal chrétiens, qui, eux, prêchent la bonne parole. Nous veillons à ce qu’il y ait un équilibre entre les deux types de groupes. Il faut prendre un peu de distance avec ce qui se dit, et je pense que chacun a le droit d’avoir sa propre opinion sur la religion.
Que dirait-on d'un festival qui veillerait à ce qu'il y ait un équilibre entre groupes juifs et groupes antisémites ? Poser la question, c'est déjà y répondre... Qu'il y ait un équilibre entre groupes athées/agnostiques et groupes chrétiens, aucun problème. Idem pour un déséquilibre. Par contre, la présence au Hellfest de ne serait-ce qu'un groupe appelant aux meurtres des chrétiens, c'est déjà trop. Lancer des appels aux meurtres et aux profanations n'est pas une "opinion sur la religion".
Rédigé le 06 avril 2010 à 01h04 dans Antichristianisme, Culture de mort, Délinquance, Islam, Notre Eglise, Satanisme, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 05 avril 2010 à 17h16 dans Avortuerie, Culture de mort, Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Jeunes, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 02 avril 2010 à 13h02 dans Economie et social, Identité, Immigration, Islam, La vie des médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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