Rédigé le 19 novembre 2010 à 18h30 dans Détente, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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5 députés communistes, évidemment.
Thibaud
Rédigé le 19 novembre 2010 à 18h26 dans Antichristianisme, Histoire, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Les Jeunes du Parti chrétien-démocrate communiquent :
La Cour de cassation a saisi le Conseil constitutionnel sur la question du mariage homosexuel, aujourd’hui interdit en France.
Le Parti Chrétien-Démocrate rappelle quels sont les termes de la loi aujourd’hui dans notre pays : « Selon la loi française, le mariage est l’union d’un homme et d’une femme ; ce principe n’est contredit par aucune des dispositions de la Convention européenne des droits de l’homme et de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne qui n’a pas en France de force obligatoire. » (arrêt n° 511 du 13 mars 2007 de la Cour de Cassation)
Aujourd’hui, la Cour de Cassation, par la transmission le 16 novembre d’une Question Prioritaire de Constitutionnalité au Conseil Constitutionnel, remet en cause ce qu’elle a elle-même jugée selon la loi française en 2007.
Une telle initiative est contradictoire et potentiellement lourde de conséquences pour notre société.
Toucher au mariage entre un homme et une femme, c’est toucher au socle fondateur de notre société. La défense du mariage dépasse de loin le simple « choix personnel », c’est un choix institutionnel. Or le mariage entre un homme et une femme fonde la cohésion sociale. Il est du devoir de l’État de protéger ce modèle institutionnel précisément en ce qu’il permet de pérenniser la famille.
Il serait très grave, pour l’avenir même de notre société, que ce socle symbolique universel soit remis en question sous la pression de lobbies qui représentent, en France, une minorité évaluée entre 0,5 et 1,1 % de la population selon la dernière enquête de l’Inserm.
« C’est le bien commun qui est ici en jeu », rappelle Maxence Poumaere, Président des Jeunes du PCD. « Les articles 75 et 144 du code civil constituent l’épine dorsale du droit de la famille depuis deux siècles. C’est pourquoi les jeunes du PCD comptent sur le Conseil Constitutionnel pour répondre encore une fois, d’un NON ferme et définitif ».
Rédigé le 19 novembre 2010 à 18h13 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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Dans un entretien au Monde, Patrick Devedjian raconte "la véritable histoire" de sa défaite à la présidence de l'UMP des Hauts-de-Seine.
L'ex-ministre de la relance a été battu, le 15 novembre, par 319 voix contre 180 par Jean-Jacques Guillet, maire UMP de Chaville. De son récit, il ressort que Nicolas Sarkozy serait intervenu par téléphone auprès de plusieurs élus du département en faveur de son concurrent.
Patrick Devedjian met en cause le cabinet du chef de l'Etat et des responsables nationaux de l'UMP qui ont, selon lui, donné des "consignes" en faveur de Jean-Jacques Guillet. "J'ai appris qu'Olivier Biancarelli, attaché parlementaire de l'Elysée, et Eric Cesari, directeur général de l'UMP, téléphonaient aux principaux responsables politiques des Hauts-de-Seine pour leur dire de voter pour Jean-Jacques Guillet", déclare-t-il.
Le président du conseil général des Hauts-de-Seine rapporte le témoignage d'un élu UMP de Colombes auprès de qui Jean Sarkozy aurait exercé des "pressions" pour les dissuader de voter en sa faveur. Candidat à sa propre réélection en mars 2011, à la tête de l'assemblée départementale, Patrick Devedjian confie : "Je ne doute pas que pour me faire battre à la présidence du conseil général, ils utiliseront la même méthode qu'aujourd'hui."
Fortes pressions au FN
Selon un membre de l'équipe de campagne de Marine Le Pen, Jean-Marie Le Pen a tenté de retourner Jacques Colombier il y a de cela plusieurs semaines. Pas étonnant : le président du Front national a choisi de ne pas adopter l'attitude qu'exige sa fille des députés européens et des dirigeants des partis de droite nationale de l'UE. Jean-Marie Le Pen a donc convoqué le président du groupe FN au Conseil régional d'Aquitaine dans son bureau au Carré à Nanterre (Hauts-de-Seine), lui expliquant que Bruno Gollnisch divisait la famille nationale.
Le lendemain de la parution d'une tribune de soutien d'Erwan le Gouëllec à Bruno Gollnisch sur le site des Jeunes avec Gollnisch le 15 novembre, l'ancien directeur national du FNJ a reçu un coup de téléphone courtois mais très ferme de Jean-Marie Le Pen exigeant qu'il retire "héritier naturel de Jean Marie Le PEN (comme celui-ci l’a bien souvent précisé)". Ne subsiste donc plus qu'"héritier naturel de Jean Marie Le PEN, légitime et incontournable" sur le site des JAG... Mais le "cache" Google permet de vérifier ce que nous avançons ("cache" archivé ici). Jean-Marie Le Pen ne souhaite manifestement pas que les adhérents du Front national se souviennent de ses déclarations en faveur de Bruno Gollnisch pour lui succéder.
Selon d'autres sources, Me Ghislain Dubois, avocat au bareau de Liège, aperçu au domaine de Grand'Maison à Villepreux samedi dernier a été contacté de façon répétée par téléphone par Louis Aliot pour qu'il se rende au Back-Up à Paris (XVe) et s'affiche aux côtés de Marine Le Pen dimanche dernier. Sans succès.
Rédigé le 19 novembre 2010 à 18h02 dans Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Nicolas Sarkozy devancerait de trois points Martine Aubry au premier tour de la présidentielle si l'élection avait lieu ce dimanche, Marine Le Pen arrivant en troisième position, selon un sondage Ifop pour La lettre de l'opinion diffusé vendredi.
A la question "si le premier tour de l'élection présidentielle se déroulait dimanche prochain, parmi les candidats suivants, pour lequel y aurait-il le plus de chances que vous votiez?", 26% des personnes interrogées répondent Nicolas Sarkozy (= à octobre), 23% Martine Aubry (-2 points), 13% Marine Le Pen (-1 point).
Rédigé le 19 novembre 2010 à 16h42 dans Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Dans un communiqué commun, les députés Véronique Besse et Dominique Souchet indiquent qu'ils siégeront à la Commission spéciale qui sera chargée d'examiner le projet de révision des lois de bioéthique, une commission "nécessaire" selon eux "car le projet de loi touche à des enjeux fondamentaux. Il ne doit pas être examiné dans l'urgence ni la précipitation".
Les deux élus (non inscrits, MPF) de Vendée "seront particulièrement vigilants afin que le texte de loi respecte la dignité de chaque personne humaine et n'autorise pas les dérives liées à la sélection des individus ou la marchandisation du corps humain".
On compte sur eux et quelques autres pour faire entendre raison aux Bloche et autre Mamère qui siègent dans la Commission spéciale !
Rédigé le 19 novembre 2010 à 15h45 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Communiqué
L'Acpervie-sos-Maternité (site) appelle les chrétiens protestants et évangéliques à féliciter les sept députés qui ont souhaité alerter sur une dérive du projet de loi de bioéthique : la délégation excessive de pouvoir confiée à l’Agence de la biomédecine (ABM). « Initialement conçue comme une instance publique au service de la recherche scientifique, il lui est aujourd’hui confié un pouvoir outrepassant son simple rôle de contrôle, notamment en ce qui concerne les autorisations de recherche sur l’embryon ».
Rappelant que des décisions, qui "concernent la vie de tous les français", ne peuvent être de la seule responsabilité de quelques de scientifiques, ces parlementaires demandent "solennellement qu’à l’occasion des prochaines révisions des lois de bioéthique, le Parlement soit confirmé dans son devoir de contrôle, a priori, des décisions de l’Agence de la biomédecine, comme de tous règlements ministériels".
Cet appel a été signé par Marc le Fur, député UMP des Côtes d'Armor et vice-président de l'Assemblée nationale, Jean-Marc Nesme, député UMP de Saône et Loire, Jacques Remiller, député UMP de l’Isère, Damien Meslot, député UMP du Territoire de Belfort, Philippe Gosselin, député UMP de la Manche, Xavier Breton, député UMP de l’Ain et Philippe Meunier, député UMP du Rhône.
L'Acpervie rappelle que l'expérimentation sur l'embryon est une expérimentation sur l'homme aboutissant à sa destruction. La production et la congélation d'embryons dits "surnuméraires" ne souffre pas d'excuses depuis qu'il est possible de congeler les gamètes maternels et donc de produire les embryons un à un.
Voici les adresses courriel des députés à féliciter :
Rédigé le 19 novembre 2010 à 11h05 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Arnaud Markert, responsable de la commission Philosophies politiques des Jeunes du PCD :
[NDLR : appel rédigé par Arnaud Markert en son nom propre.]
« Au nom de Dieu, le miséricordieux, le très miséricordieux » ainsi s'ouvre le Coran. Une belle affirmation spirituelle dans laquelle beaucoup, croyants ou non, peuvent reconnaître le cœur de leurs valeurs. De même, quand le Secours Islamique de France affirme : « La souffrance n'a ni origine, ni religion, ni sexe. La solidarité non plus. »
Au contraire, en Iran, en Egypte, en Turquie, au Maroc… des minorités religieuses sont persécutées, parfois jusqu'à la mort, du simple fait de leur foi ! 70% de la population mondiale vit dans des pays où il existe de fortes restrictions dans le domaine religieux ; majoritairement des pays dont la religion officielle est l'islam.
Il s'ensuit qu'une sorte de réflexe de défiance se développe à l'égard de nos concitoyens musulmans. Plus encore, une part grandissante de nos contemporains est intimement persuadée que l'islam est comme radicalement vicié, que l'islam modéré est une fable.
Il va sans dire qu'il appartient aux musulmans de faire la démonstration du contraire. A mon avis, les personnes de bonne volonté doivent leur tendre la main. C'est ce que je souhaite faire ici.
Certes le Conseil Français du Culte Musulman réagit assez régulièrement aux actes barbares perpétraient au nom de l'islam. Certes le Dr MOUSSAOUI, président du CFCM, est l'un des signataires de l'appel en faveur des chrétiens d'Irak mais cela est peu médiatisé, cela ne suffit pas.
Je suis d'avis que, plus que des écrits ou des paroles, les Français attendent des actes. Non pas des actes humiliants mais des gestes forts. Qu'il me soit permis d'en suggérer trois :
Rédigé le 18 novembre 2010 à 21h36 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
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Le vice-président du Front national Bruno Gollnish a qualifié jeudi à Craon de “ratonnade anti-blancs” les incidents ayant impliqué des adolescents en réinsertion scolaire, préconisant le renvoi dans leur “pays d’origine” des jeunes impliqués dans des violences.
“Il faut que ces jeunes et leurs parents soient réinsérés dans leur pays d’origine. La plupart du temps ce sont des double nationaux”, a déclaré Bruno Gollnisch lors d’une conférence de presse, à quelques centaines de mètres du collège où des incidents se sont produits le 9 novembre lors de l’installation de jeunes dans un établissement de réinsertion scolaire (ERS).
Selon le vice-président du Front national, en campagne au sein du FN pour succéder à Jean-Marie Le Pen, les jeunes en cause sont des “produits de l’immigration africaine à 95%”.
Rédigé le 18 novembre 2010 à 15h39 dans Culture de mort, Délinquance, Immigration, Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 18 novembre 2010 à 14h13 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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dont nous vous parlions hier (ici, là et là) ont été publiés par Nouvelles de France.
Rédigé le 18 novembre 2010 à 13h53 dans Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (29) | TrackBack (0)
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Traité de "crevure nazie" en Janvier 2009 par Fabrice David, ancien élu écologiste de Franconville, Alexandre Simonnot communique :
J’ai le grand plaisir d’apprendre que pour ce délit, Fabrice David vient d’être condamné par le Tribunal de Grande Instance de Pontoise à 500€ d’amende avec sursis ainsi qu’à me verser 1 000€ de dommages-intérêts.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 23h32 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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à la musique tchèque. Tant que ça n'est pas au PaCS ou à la loi Veil !
Thibaud
Rédigé le 17 novembre 2010 à 22h00 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Communiqué
L’amendement à l'article 57 du projet de loi de finances pour 2011 qui visait à rétablir l'avantage fiscal accordé aux jeunes mariés l'année de leur union a été rejeté ce matin à l’Assemblée nationale.
Hervé Mariton a fait savoir qu’il comptait revenir sur cette mesure dans les prochaines semaines, à l'occasion de l'examen du projet de loi de finance rectificative.
Le Collectif pour l’enfant, qui réunit 76 associations de protection de l’enfance apporte son soutien à Hervé Mariton et déplore que l’idéologie l’ait emporté aujourd’hui sur le bon sens.
En effet, la famille rend un service social sans équivalent. Le meilleur cadre pour accueillir un enfant et le voir grandir est une famille stable, et le mariage offre les meilleures chances pour l’enfant de grandir avec son père et sa mère.
Certes, ce ne sera pas toujours possible, mais pourquoi ne pas, au moins, l’encourager ? Pourquoi tant de réticence à adopter des mesures favorisant la stabilité de la famille, c'est-à-dire le mariage ? Comment expliquer que, au gré des réformes successives, le divorce soit toujours plus facilité, le pacs et le concubinage soient encouragés par le bénéfice des avantages auparavant réservés au mariage, alors que rien n’est envisagé, ni même pensé, pour encourager le mariage et le fait de rester marié ? Si l’on est bien convaincu que l’idéal pour l’enfant est la stabilité, comment se fait-il qu’aucune réflexion ne soit menée dans cette direction ?
L’hostilité à l’égard de l’amendement Mariton caractérise ce non sens de vouloir la stabilité des familles sans vouloir en prendre les moyens. Cette mesure aurait dû emporter l’adhésion. « En privilégiant les jeunes mariés sur les « jeunes pacsés » ou « jeunes divorcés », elle n’annonçait pas le retour de l’ordre moral mais, seulement, du bon sens ! » conclut Béatrice Bourges, porte-parole du Collectif pour l’enfant.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 21h36 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 17 novembre 2010 à 21h15 dans Tendances, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (20) | TrackBack (0)
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Communiqué
Alors que le Conseil constitutionnel vient d'être saisi par la Cour de cassation sur la question du mariage homosexuel, Véronique Besse, député du Mouvement pour la France, souligne que l'autorisation du mariage homosexuel serait une décision particulièrement dangereuse et antidémocratique.
Dangereuse parce que l'autorisation du mariage homosexuel entraînerait automatiquement le droit à l'adoption. Or, autoriser le mariage homosexuel ne ferait que satisfaire les revendications d’un lobby ultra minoritaire au détriment de l'intérêt supérieur de chaque enfant à être élevé par un père et une mère.
Antidémocratique parce que la Justice n’a pas à légiférer à la place du peuple français et de ses représentants. Elle ne peut modifier fondamentalement le patrimoine historique et juridique que constitue le Code civil, sans consulter les Français.
Véronique Besse rappelle que le mariage homosexuel demeure illégal dans notre pays car les articles 75 et 144 du Code civil excluent le mariage entre personnes de même sexe.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 21h06 dans Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Christian Vanneste, député UMP du Nord et président de Famille et Liberté, communique :
On pouvait se demander si la référence à la famille ne faisait pas partie des délégations ministérielles par hasard ou par oubli. La réponse a été apportée aujourd’hui avec clarté.
Tout d’abord, l’amendement Mariton qui maintenait un avantage fiscal spécifique pour les mariés l’année de leur mariage avait été voté en commission. Il a été aujourd’hui repoussé dans l’hémicycle d’une manière lamentable. Le rapporteur général du budget, Gilles Carrez d’habitude plus terne a défendu avec vigueur le projet gouvernemental en vantant l’évidence et les mérites de l’évolution sociale comme si l’instauration du PACS contre laquelle notre majorité avait votée, l’effondrement du mariage et l’augmentation du nombre des divorces étaient des progrès manifestes. On a senti combien l’économie réalisée enflammait le comptable résolument imperméable à l’idée que la stabilité de la cellule familiale soit infiniment plus importante.
Ensuite, alors que 48 voix, de gauche pour la plupart s’étaient opposées avec succès à 48 voix toutes de droite, le président de séance, Marc Laffineur, zélé godillot, a prétendu que la majorité avait voté l’article 57 au sein duquel s’inscrivait cet amendement. Une simple aptitude arithmétique doublée d’un peu d’honnêteté suffisait cependant à comprendre que les voix de gauche, cette fois hostiles, ajoutées à celles des partisans de l’amendement rejeté, formaient une majorité contre l’article. Autrement dit, l’amendement établissant une distinction fiscale entre le mariage, fondateur de la famille et le PACS ou le divorce a été combattu avec acharnement par le gouvernement et ceux qui lui ont obéi docilement. Afin d’apaiser les esprits, le tout nouveau Ministre des relations avec le Parlement réunissait le groupe des “contestataires” qui avait quitté l’hémicycle en protestant bruyamment, et leur promettait une seconde lecture de l’article 57.
A midi, nous étions à l’Elysée où la question de l’intérêt pour la famille fut posée. Tant le Président de la République que le Premier Ministre, qui désormais a le droit à la parole se sont plu à montrer que leur intérêt allait d’abord à l’économie dans sa version comptable et non à la défense des valeurs familiales. L’avantage fiscal de l’année du mariage n’était qu’une niche à raboter comme les autres.L’après-midi, la seconde lecture, promesse qui n’engageait que ceux à qui elle avait été faite, passait évidemment à la trappe ! Belle leçon du respect pour les parlementaires…
Ces péripéties sont inquiétantes. Elles révèlent par trop combien les valeurs ne sont aujourd’hui invoquées qu’à court terme et non en visant, au-delà des échéances électorales, l’intérêt de la société et de notre pays. Il est loin le temps de l’instauration de la PAJE en 2003. Ce n’est donc pas par hasard que la famille et l’identité nationale ont disparu du paysage gouvernemental !
De son côté, Famille et liberté
déplore l’absence de la Famille parmi les nombreuses attributions des membres du nouveau Gouvernement, Fillon III et rappelle que la famille constitue la cellule de base de notre société.
Après un débat sur les retraites rendu difficile par une natalité insuffisante, Famille et Liberté rappelle que plus que jamais, l’avenir de notre pays dépend des familles.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 20h25 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le premier courriel de Marine Le Pen pour exiger des dirigeants des partis nationalistes qu'ils ne se rendent pas aux rassemblements de campagne de Bruno Gollnisch a été suivi d'un second courriel... d'excuse ! Selon une source proche de Marine Le Pen, la vice-présidente du FN a estimé que "c'était une erreur". D'avoir envoyé un tel message ou de l'avoir fait par écrit ?
Rédigé le 17 novembre 2010 à 20h03 dans Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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