selon Oskar Freysinger. L'homme politique suisse et conseiller national UDC traite notre Président de la République de "vendeur de cacahuètes". "Et il les vend bien" ajoute-t-il...
selon Oskar Freysinger. L'homme politique suisse et conseiller national UDC traite notre Président de la République de "vendeur de cacahuètes". "Et il les vend bien" ajoute-t-il...
Rédigé le 23 novembre 2010 à 13h00 dans Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 22 novembre 2010 à 12h07 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Prière, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 20 novembre 2010 à 20h11 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Islam, Jeunes, Notre Eglise, Prière, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le Collectif pour l'enfant, qui regroupe 76 associations de protection de l'enfance, communique :
La Cour de Cassation vient de saisir le Conseil Constitutionnel sur la question de la conformité à la Constitution du mariage défini comme l’union d’un homme et d’une femme. Ceci est quelque peu surprenant alors que ses arrêts ont toujours été fidèles à l’esprit du Code civil, à savoir que le mariage ne concerne, pas définition, qu’un homme et une femme.
Le Collectif pour l’Enfant, soucieux de l’intérêt de l’enfant, est confiant dans le fait que les Sages du Conseil Constitutionnel sauront rester fermes sur le sens du mariage tel qu’il existe dans notre pays. Le Conseil constitutionnel vient en effet de rappeler que « la différence de situation entre les couples mariés et ceux qui ne le sont pas pouvait justifier, dans l'intérêt de l'enfant, une différence de traitement » (décision du 6 octobre 2010). Précisément, le 20 novembre, la France célèbre la Journée des droits de l’enfant, et il n’est pas inutile de rappeler qu’un de ses droits est de connaître et d’être élevé par son père et sa mère. Admettre un mariage entre personne de même sexe serait contraire aux droits de l’enfant puisqu’il aboutirait tôt ou tard à la création d’une filiation artificielle à l’égard de deux hommes ou entre deux femmes.
Réaffirmer que le mariage c’est l’union d’un homme et d’une femme n’est pas contraire à la liberté garantie par notre Constitution. Car, l’Etat n’a pas à s’immiscer dans les choix personnels des individus. Au contraire, l’Etat doit garantir la cohésion et la stabilité de la famille et de la société par le mariage entre un homme et une femme qu’il doit non seulement réaffirmer mais, encore, promouvoir comme structure adéquate pour le développement harmonieux des enfants.
La définition du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme exclut, de fait, les couples de personnes de même sexe, mais ceci n’est en rien inégalitaire. L’égalité n’exige pas de traiter toutes les situations de la même manière mais seulement les situations équivalentes. Or, la relation d’un homme et d’une femme et la relation de deux personnes de même sexe ne sont pas dans une situation équivalente au regard de la procréation. Le mariage n’est pas la reconnaissance sociale d’une relation de couple mais il fonde la famille. La relation entre deux personnes de même sexe n’est pas fondatrice d’une famille, non en raison d’un défaut de qualité de ces personnes mais pour la raison objective que seule l’union de l’homme et de la femme permet la procréation.
Rédigé le 20 novembre 2010 à 10h02 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Les Jeunes du Parti chrétien-démocrate communiquent :
La Cour de cassation a saisi le Conseil constitutionnel sur la question du mariage homosexuel, aujourd’hui interdit en France.
Le Parti Chrétien-Démocrate rappelle quels sont les termes de la loi aujourd’hui dans notre pays : « Selon la loi française, le mariage est l’union d’un homme et d’une femme ; ce principe n’est contredit par aucune des dispositions de la Convention européenne des droits de l’homme et de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne qui n’a pas en France de force obligatoire. » (arrêt n° 511 du 13 mars 2007 de la Cour de Cassation)
Aujourd’hui, la Cour de Cassation, par la transmission le 16 novembre d’une Question Prioritaire de Constitutionnalité au Conseil Constitutionnel, remet en cause ce qu’elle a elle-même jugée selon la loi française en 2007.
Une telle initiative est contradictoire et potentiellement lourde de conséquences pour notre société.
Toucher au mariage entre un homme et une femme, c’est toucher au socle fondateur de notre société. La défense du mariage dépasse de loin le simple « choix personnel », c’est un choix institutionnel. Or le mariage entre un homme et une femme fonde la cohésion sociale. Il est du devoir de l’État de protéger ce modèle institutionnel précisément en ce qu’il permet de pérenniser la famille.
Il serait très grave, pour l’avenir même de notre société, que ce socle symbolique universel soit remis en question sous la pression de lobbies qui représentent, en France, une minorité évaluée entre 0,5 et 1,1 % de la population selon la dernière enquête de l’Inserm.
« C’est le bien commun qui est ici en jeu », rappelle Maxence Poumaere, Président des Jeunes du PCD. « Les articles 75 et 144 du code civil constituent l’épine dorsale du droit de la famille depuis deux siècles. C’est pourquoi les jeunes du PCD comptent sur le Conseil Constitutionnel pour répondre encore une fois, d’un NON ferme et définitif ».
Rédigé le 19 novembre 2010 à 18h13 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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C'est le quotidien populaire koweïtien Al-Qabas (libéral) qui l'affirme :
Quand [l'Europe] défend son identité et sa façon de vivre, nous n’avons pas le droit de nous en offusquer. Elle ne fait que défendre la démocratie et les libertés individuelles contre une pensée religieuse, celle de l’islamisme.
Il faut être objectif pour comprendre les réactions de colère des Européens face à “l’assaut humain et culturel” musulman. Au bout d’une ou deux générations, le monde entier, et le monde arabe en premier lieu, regrettera l’Europe telle qu’elle avait été jusque-là. Celle-ci aura été transformée sous l’effet de l’immigration musulmane. Les Européens ont donc raison de s’inquiéter. Mettons-nous à leur place : dans les pays du Golfe, ne nous inquiétons-nous pas de l’influence exercée par les immigrés asiatiques sur nos propres modes de vie ?
Les ghettos musulmans prolifèrent autour des grandes villes européennes, le voile s’y est banalisé, le niqab y progresse jour après jour et les mosquées y attirent plus de monde que les églises. Il y aurait quarante-cinq millions de musulmans en Europe, ce qui ne serait pas si grave s’ils voulaient vraiment s’intégrer. Or beaucoup soutiennent le principe des attentats, les crimes d’honneur sont courants et les femmes se voient souvent traitées par leurs familles comme si elles étaient encore dans leur pays d’origine. C’est effrayant de voir que ceux qui ont fui des dictatures politiques, militaires ou religieuses voudraient transformer l’Europe en quelque chose qui ressemblerait à ce à quoi ils cherchaient à échapper.
Nous écrivons cela simplement afin de nous élever contre la victimisation qui accompagne la défense du droit des musulmans de vivre conformément à leurs convictions. Cela est d’autant plus inacceptable que nous-mêmes, dans nos propres pays, nous refusons à toutes les minorités, y compris aux Européens, de simplement respirer et ne cessons de vouloir leur imposer nos choix.
Thibaud (merci à PG)
Rédigé le 19 novembre 2010 à 16h19 dans Economie et social, Histoire, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Communiqué
L'Acpervie-sos-Maternité (site) appelle les chrétiens protestants et évangéliques à féliciter les sept députés qui ont souhaité alerter sur une dérive du projet de loi de bioéthique : la délégation excessive de pouvoir confiée à l’Agence de la biomédecine (ABM). « Initialement conçue comme une instance publique au service de la recherche scientifique, il lui est aujourd’hui confié un pouvoir outrepassant son simple rôle de contrôle, notamment en ce qui concerne les autorisations de recherche sur l’embryon ».
Rappelant que des décisions, qui "concernent la vie de tous les français", ne peuvent être de la seule responsabilité de quelques de scientifiques, ces parlementaires demandent "solennellement qu’à l’occasion des prochaines révisions des lois de bioéthique, le Parlement soit confirmé dans son devoir de contrôle, a priori, des décisions de l’Agence de la biomédecine, comme de tous règlements ministériels".
Cet appel a été signé par Marc le Fur, député UMP des Côtes d'Armor et vice-président de l'Assemblée nationale, Jean-Marc Nesme, député UMP de Saône et Loire, Jacques Remiller, député UMP de l’Isère, Damien Meslot, député UMP du Territoire de Belfort, Philippe Gosselin, député UMP de la Manche, Xavier Breton, député UMP de l’Ain et Philippe Meunier, député UMP du Rhône.
L'Acpervie rappelle que l'expérimentation sur l'embryon est une expérimentation sur l'homme aboutissant à sa destruction. La production et la congélation d'embryons dits "surnuméraires" ne souffre pas d'excuses depuis qu'il est possible de congeler les gamètes maternels et donc de produire les embryons un à un.
Voici les adresses courriel des députés à féliciter :
Rédigé le 19 novembre 2010 à 11h05 dans Avortuerie, Bioéthique, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Arnaud Markert, responsable de la commission Philosophies politiques des Jeunes du PCD :
[NDLR : appel rédigé par Arnaud Markert en son nom propre.]
« Au nom de Dieu, le miséricordieux, le très miséricordieux » ainsi s'ouvre le Coran. Une belle affirmation spirituelle dans laquelle beaucoup, croyants ou non, peuvent reconnaître le cœur de leurs valeurs. De même, quand le Secours Islamique de France affirme : « La souffrance n'a ni origine, ni religion, ni sexe. La solidarité non plus. »
Au contraire, en Iran, en Egypte, en Turquie, au Maroc… des minorités religieuses sont persécutées, parfois jusqu'à la mort, du simple fait de leur foi ! 70% de la population mondiale vit dans des pays où il existe de fortes restrictions dans le domaine religieux ; majoritairement des pays dont la religion officielle est l'islam.
Il s'ensuit qu'une sorte de réflexe de défiance se développe à l'égard de nos concitoyens musulmans. Plus encore, une part grandissante de nos contemporains est intimement persuadée que l'islam est comme radicalement vicié, que l'islam modéré est une fable.
Il va sans dire qu'il appartient aux musulmans de faire la démonstration du contraire. A mon avis, les personnes de bonne volonté doivent leur tendre la main. C'est ce que je souhaite faire ici.
Certes le Conseil Français du Culte Musulman réagit assez régulièrement aux actes barbares perpétraient au nom de l'islam. Certes le Dr MOUSSAOUI, président du CFCM, est l'un des signataires de l'appel en faveur des chrétiens d'Irak mais cela est peu médiatisé, cela ne suffit pas.
Je suis d'avis que, plus que des écrits ou des paroles, les Français attendent des actes. Non pas des actes humiliants mais des gestes forts. Qu'il me soit permis d'en suggérer trois :
Rédigé le 18 novembre 2010 à 21h36 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Economie et social, Identité, Immigration, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 18 novembre 2010 à 14h13 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Islam, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Communiqué
L’amendement à l'article 57 du projet de loi de finances pour 2011 qui visait à rétablir l'avantage fiscal accordé aux jeunes mariés l'année de leur union a été rejeté ce matin à l’Assemblée nationale.
Hervé Mariton a fait savoir qu’il comptait revenir sur cette mesure dans les prochaines semaines, à l'occasion de l'examen du projet de loi de finance rectificative.
Le Collectif pour l’enfant, qui réunit 76 associations de protection de l’enfance apporte son soutien à Hervé Mariton et déplore que l’idéologie l’ait emporté aujourd’hui sur le bon sens.
En effet, la famille rend un service social sans équivalent. Le meilleur cadre pour accueillir un enfant et le voir grandir est une famille stable, et le mariage offre les meilleures chances pour l’enfant de grandir avec son père et sa mère.
Certes, ce ne sera pas toujours possible, mais pourquoi ne pas, au moins, l’encourager ? Pourquoi tant de réticence à adopter des mesures favorisant la stabilité de la famille, c'est-à-dire le mariage ? Comment expliquer que, au gré des réformes successives, le divorce soit toujours plus facilité, le pacs et le concubinage soient encouragés par le bénéfice des avantages auparavant réservés au mariage, alors que rien n’est envisagé, ni même pensé, pour encourager le mariage et le fait de rester marié ? Si l’on est bien convaincu que l’idéal pour l’enfant est la stabilité, comment se fait-il qu’aucune réflexion ne soit menée dans cette direction ?
L’hostilité à l’égard de l’amendement Mariton caractérise ce non sens de vouloir la stabilité des familles sans vouloir en prendre les moyens. Cette mesure aurait dû emporter l’adhésion. « En privilégiant les jeunes mariés sur les « jeunes pacsés » ou « jeunes divorcés », elle n’annonçait pas le retour de l’ordre moral mais, seulement, du bon sens ! » conclut Béatrice Bourges, porte-parole du Collectif pour l’enfant.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 21h36 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Communiqué
Alors que le Conseil constitutionnel vient d'être saisi par la Cour de cassation sur la question du mariage homosexuel, Véronique Besse, député du Mouvement pour la France, souligne que l'autorisation du mariage homosexuel serait une décision particulièrement dangereuse et antidémocratique.
Dangereuse parce que l'autorisation du mariage homosexuel entraînerait automatiquement le droit à l'adoption. Or, autoriser le mariage homosexuel ne ferait que satisfaire les revendications d’un lobby ultra minoritaire au détriment de l'intérêt supérieur de chaque enfant à être élevé par un père et une mère.
Antidémocratique parce que la Justice n’a pas à légiférer à la place du peuple français et de ses représentants. Elle ne peut modifier fondamentalement le patrimoine historique et juridique que constitue le Code civil, sans consulter les Français.
Véronique Besse rappelle que le mariage homosexuel demeure illégal dans notre pays car les articles 75 et 144 du Code civil excluent le mariage entre personnes de même sexe.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 21h06 dans Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Christian Vanneste, député UMP du Nord et président de Famille et Liberté, communique :
On pouvait se demander si la référence à la famille ne faisait pas partie des délégations ministérielles par hasard ou par oubli. La réponse a été apportée aujourd’hui avec clarté.
Tout d’abord, l’amendement Mariton qui maintenait un avantage fiscal spécifique pour les mariés l’année de leur mariage avait été voté en commission. Il a été aujourd’hui repoussé dans l’hémicycle d’une manière lamentable. Le rapporteur général du budget, Gilles Carrez d’habitude plus terne a défendu avec vigueur le projet gouvernemental en vantant l’évidence et les mérites de l’évolution sociale comme si l’instauration du PACS contre laquelle notre majorité avait votée, l’effondrement du mariage et l’augmentation du nombre des divorces étaient des progrès manifestes. On a senti combien l’économie réalisée enflammait le comptable résolument imperméable à l’idée que la stabilité de la cellule familiale soit infiniment plus importante.
Ensuite, alors que 48 voix, de gauche pour la plupart s’étaient opposées avec succès à 48 voix toutes de droite, le président de séance, Marc Laffineur, zélé godillot, a prétendu que la majorité avait voté l’article 57 au sein duquel s’inscrivait cet amendement. Une simple aptitude arithmétique doublée d’un peu d’honnêteté suffisait cependant à comprendre que les voix de gauche, cette fois hostiles, ajoutées à celles des partisans de l’amendement rejeté, formaient une majorité contre l’article. Autrement dit, l’amendement établissant une distinction fiscale entre le mariage, fondateur de la famille et le PACS ou le divorce a été combattu avec acharnement par le gouvernement et ceux qui lui ont obéi docilement. Afin d’apaiser les esprits, le tout nouveau Ministre des relations avec le Parlement réunissait le groupe des “contestataires” qui avait quitté l’hémicycle en protestant bruyamment, et leur promettait une seconde lecture de l’article 57.
A midi, nous étions à l’Elysée où la question de l’intérêt pour la famille fut posée. Tant le Président de la République que le Premier Ministre, qui désormais a le droit à la parole se sont plu à montrer que leur intérêt allait d’abord à l’économie dans sa version comptable et non à la défense des valeurs familiales. L’avantage fiscal de l’année du mariage n’était qu’une niche à raboter comme les autres.L’après-midi, la seconde lecture, promesse qui n’engageait que ceux à qui elle avait été faite, passait évidemment à la trappe ! Belle leçon du respect pour les parlementaires…
Ces péripéties sont inquiétantes. Elles révèlent par trop combien les valeurs ne sont aujourd’hui invoquées qu’à court terme et non en visant, au-delà des échéances électorales, l’intérêt de la société et de notre pays. Il est loin le temps de l’instauration de la PAJE en 2003. Ce n’est donc pas par hasard que la famille et l’identité nationale ont disparu du paysage gouvernemental !
De son côté, Famille et liberté
déplore l’absence de la Famille parmi les nombreuses attributions des membres du nouveau Gouvernement, Fillon III et rappelle que la famille constitue la cellule de base de notre société.
Après un débat sur les retraites rendu difficile par une natalité insuffisante, Famille et Liberté rappelle que plus que jamais, l’avenir de notre pays dépend des familles.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 20h25 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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au contraire du PCD, du Collectif pour l'enfant, de Véronique Besse ou du CNIP :
La présence de nombreux ministres publiquement engagés pour l'égalité des droits pour les personnes LGBT, ou amis de GayLib (Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Frédéric Mitterrand, Roselyne Bachelot, Chantal Jouanno, Nadine Morano, Jeanette Bougrab) sont un encouragement pour notre mouvement à continuer le combat pour l'égalité avec encore plus de vigueur.
L'UMP a vraiment envie de prendre une raclée électorale en 2012 !
Rédigé le 17 novembre 2010 à 12h27 dans Avortuerie, Culture de mort, Défendre la famille, Economie et social, SOS Homofolie, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Communiqué
Avant de s'exprimer sur sa position politique quant au remaniement, le CNIP tient à dénoncer deux carences structurelles du nouveau gouvernement.
La famille n'est plus identifiée dans les missions ministérielles. C'est d'autant plus inexcusable qu'il faut plus que jamais défendre cette cellule fondamentale de notre société à une époque où elle paraît menacée.
Dans un autre domaine, le CNIP déplore la disparition d'un Secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants. La France paraît aujourd'hui négliger ce qu'elle doit à ceux qui ont donné de leur jeunesse pour défendre les valeurs que nous partageons.
Rédigé le 17 novembre 2010 à 11h09 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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déclare-t-il aux Nouvelles de France :
Si une association souhaite m'inviter à m'exprimer sur ce sujet, je viendrai avec plaisir. Car la balance ne nous est actuellement pas favorable. Alors si on peut créer des petits événements pour réveiller les réseaux catholiques ou conservateurs et prendre les médias à leur propre jeux, je suis partant même si je sais que ceux-ci ne diffuseront qu'une petite partie de mon message...
Avis aux amateurs...
Rédigé le 16 novembre 2010 à 05h04 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Jeunes, Tendances, Tribune, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
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Communiqué
Véronique Besse regrette la disparition du ministère de la Famille.
Elle rappelle que la famille constitue la pierre angulaire de notre société, à partir de laquelle notre pays pourra relever les nombreux défis qui l'attendent : solidarité entre les générations, éducation, protection sociale...
Ce sont les familles qui assurent l’avenir de notre pays. Elles méritent plus que jamais notre reconnaissance et notre soutien, au moment où notre société est guettée par la tentation du repli sur soi et de l'individualisme.
Véronique Besse sera particulièrement vigilante à l’Assemblée nationale afin de toujours mieux promouvoir et défendre les intérêts matériels et moraux des familles, comme elle l'a fait pour défendre les mères de famille lors de la réforme des retraites ou plus récemment pour préserver l'avantage fiscal en faveur des jeunes mariés.
Rédigé le 16 novembre 2010 à 00h40 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Communiqué
Le Collectif pour l’enfant regrette que le ministère de la famille ait disparu dans le nouveau gouvernement tel que présenté aujourd’hui par François Fillon.
La famille est la cellule de base de la société et mérite toute la sollicitude du gouvernement. De nombreuses crises sociales, qui touchent en premier lieu les enfants, sont des conséquences de ce que la famille n’est pas assez protégée et encouragée alors qu’elle rend un service social sans équivalent.
La famille est le lieu de l’éducation et de l’apprentissage de la citoyenneté. Elle offre à ses membres un cadre de stabilité et de solidarité, un soutien ou même un refuge en cas de besoin, autant de services qu’aucune structure sociale ne peut compenser vraiment lorsque la famille est défaillante.
La société n’est pas composée d’individus isolés mais de personnes liées par des liens de famille, qui constituent le tissu social fondamental. Fortifier la famille est donc une priorité pour le bien des individus et de la société entière.
Le Collectif attire donc l’attention du Premier Ministre sur cette priorité qui semble mise au second plan et espère que la disparition du ministère de la famille ne révèle pas un désintérêt du gouvernement pour la famille.
Il est étonnant que le ministère de la famille disparaisse le jour où le défenseur des enfants, madame Dominique Versini, présente son rapport annuel au premier ministre, dans lequel elle alerte les pouvoirs public sur l'aggravation de la pauvreté des enfants vivant dans des familles qui connaissent le chômage, la rupture ou l'isolement.
« Il est illusoire de tenter de lutter contre la précarité, l’exclusion et l’isolement sans une politique familiale engagée qui seule permet d’éviter ces situations d’exclusion et d’isolement au lieu de tenter d’en limiter les dégâts », déclare Béatrice Bourges, porte-parole du Collectif pour l’enfant.
Rédigé le 15 novembre 2010 à 18h21 dans Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Délinquance, Economie et social, Jeunes, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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selon Annie Laurent, politologue spécialiste du Proche-Orient :
On prête à certains le projet périlleux de faire éclater l’Iraq en Etats confessionnels ou ethniques. De cet Iraq mosaïque, un Etat sunnite et un Etat chiite pourraient naître. Afin de préparer cette renaissance étatique, les minorités marginales sont donc peu à peu évincées. Draguées au nord-est de Mossoul, dans la plaine de Ninive, tout est fait pour les parquer dans cette zone tampon, entre le Kurdistan et la région sunnite - les chiites se trouvant dans le sud et à Badgad.
Si cette épuration est donc tout autant confessionnelle que géopolitique, elle est également encouragée économiquement. Car cet exode contraint vers le Kurdistan entraîne quelques avantages socio-économiques, tels que la construction de maisons, de commerces, d’écoles. Or, les chrétiens gardent en mémoire la dureté dont les Kurdes avaient fait preuve envers eux, lors du génocide arménien. Bien qu’ils soient méfiants, ils n’ont malheureusement pas vraiment le choix.
Rédigé le 15 novembre 2010 à 17h39 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Islam, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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