Rédigé le 11 juin 2009 à 13h05 dans Chrétien(s) au quotidien, Défendre la famille, Economie et social, Le dimanche, c'est sacré !, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le Pélicastre jouisseur commente les résultats des élections européennes en France :
Veaux qui se dénient, imbéciles sans
mémoire. Refus de la réflexion et rejet de la logique. Ni volonté ni
courage. Ni dans la rue, ni dans les urnes. Voilà la mentalité de notre
beau pays.
La Bête a gagné. Elle a fait le boulot.
On a l’impression qu’elle est partout. Elle ne se contente plus de
radoter, de redonder, elle est omniprésente, constante, implacable,
comme un long bourdonnement assourdissant qui finit par faire perdre la
raison. C’est bien à l’image de notre société de bruit et du festif,
qui ne s’arrête décidément plus d’avancer dans le vide et l’allégresse.
La décérébration générale a fait son œuvre. La Bête n’a plus besoin de
se retenir, d’agir en finesse. Elle se montre, elle griffe et elle
rugit.
Vous le remarquez comme moi, elle est tellement grossière qu’il n’est
même plus besoin d’y adjoindre analyses et commentaires, il suffit de
s’asseoir et de l’observer, tantôt avec effroi, tantôt avec le sourire.
Bien au chaud dans notre liberté en carton, nous n’avons qu’à nous
faire les chroniqueurs d’une époque qui ne cache même plus sa folie.
Rédigé le 09 juin 2009 à 16h14 dans Culture de mort, Ecologisme, Elections européennes, La vie des médias, Réacosphère, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Dans Libération, l'écrivain Iegor Gran s'en prend au film "Home", "un film de propagande aux dimensions inouïes" :
(...) il sera impossible d’échapper aux images forcément «sublimes», pas plus que l’on ne pourra ignorer le message du film, aussi lourdingue que les poches de Pinault, sponsor du projet : l’homme serait une blatte nocive pour la planète. Perché sur l’hélico, observant son monde avec bonté et paternalisme, Yann-Dieu assène prophéties glaçantes et déclarations dégoulinantes de sensiblerie. «Tout ce que tu vois n’est pas seulement un paysage, c’est le visage aimé de notre Terre.» Le tutoiement de la voix off cloue le bec et impose sa liturgie. On communie ad nauseam devant la beauté bio, écolo-guimauve d’un atoll en forme de cœur. La transe est accentuée par la musique, onirique à souhait, toute en trémolos vocaux et arrangements planants.
Yann-Dieu égrène sa vision binaire : homme - mauvais, Terre - jolie. Homme - parasite, Terre - richesse. Terre - notre maman adorée, homme - blatte. Pire que blatte - une blatte Sapiens sapiens.Les Dieux sont tombés sur la tête, Vu d’en haut, c’est imparable : la blatte se démène dans les villes surchargées, aux fumées nauséabondes, accumulant les déchets, suçant l’eau, cultivant intensivement le sol. 200 000 ans que la blatte détruit ce que dame Nature a patiemment tissé en 4 milliards d’années. Cela ne peut plus continuer. Encore veut-on bien tolérer la blatte africaine ou inuite quand on la voit ramper dans le désert mauritanien ou polaire, traînant péniblement son barda. Brave petite blatte, économe de ses besoins, si belle dans son dénuement ! Touchantes images du making of où l’on voit Yann-Dieu, littéralement descendu du ciel, telle la bouteille de Coca-Cola dans prendre un bain de foule parmi les indigènes. Blattes des pays pauvres, votre mode de vie est tellement tendance ! Il en va autrement de la blatte occidentale. Franchement, on a envie de l’écraser, cette blatte-là ! Lui faire bouffer les stations de pompage, les plates-formes off-shore, les usines qui puent, les aérodromes !
(...)
Tous les Homère, Newton, Brunelleschi du monde ne sont rien à côté de la beauté sauvage d’une chute d’eau. La civilisation peut aller se rhabiller devant un éléphant gabonais galopant dans la brousse. «Les jeunes sont en quête de sens», dit le réalisateur, émerveillé par tant de cerveaux vierges à conquérir. «Il faut donner du sens à nos affaires», précise sans ciller François-Henri Pinault. Quel meilleur choix que de surfer sur l’hystérie collective du réchauffement climatique ? Judicieux marketing ! L’investissement dans la bonne conscience est rentable. Regardez les retombées presse ! La motivation des 88 000 salariés de Pinault grimpe en flèche. Les marques du groupe (Gucci, Sergio Rossi, Conforama, etc. - longuement énumérées au générique) récoltent leur onction écolo. La gabegie consumériste des hommes, ô combien vomie dans le film, se refait une santé dans un sympathique tour de passe-passe. Chez Sergio Rossi, on trouvera un «escarpin écologique» à 370 euros. Chez Gucci, un tee-shirt en coton bio, estampillé Home, 140 euros. Comme tout est simple, finalement. Après-demain, le char d’assaut sera dans les écoles. On va l’y envoyer «accompagné d’une fiche pédagogique». La rééducation forcée a commencé. Nature contre culture… L’opportunisme contre le génie humain. Je frémis et je me sens un peu seul.
A écouter aussi : Dernières nouvelles de l'escroquerie réchauffiste (Lumière 101)
Rédigé le 09 juin 2009 à 15h48 dans Cinéma, Culture de mort, Ecologisme, Environnement, Histoire, Identité, La vie des médias, Patrimoine, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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ce soir à Fougères (Ile-et-Vilaine). La parole au Père Yacoub Abou Sa'da, prêtre catholique melkite :
Rédigé le 09 juin 2009 à 07h45 dans Chrétien(s) au quotidien, Conférence/débat, Notre Eglise, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Dominique Morin
Rédigé le 08 juin 2009 à 13h24 dans Avortuerie, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Notre Eglise, Société civile (EU), Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Caroline Parmentier
Le triomphe de Daniel Cohn-Bendit. Pauvre France. En sauveur providentiel de la planète. Le film Home de Yann Arthus-Bertrand diffusé à la télévision et vu par 9 millions de personnes a été à cet égard un gigantesque clip de propagande de deux heures trente en faveur du mouvement écolo, à la veille des élections. Toute la pression médiatique et « tendance » du moment porte d’ailleurs à ce vote vert. Pas un instant sans que l’on nous rappelle que « vite ça chauffe », qu’il faut se battre pour sauver la planète, léguer un héritage sain à nos enfants, etc.
De même les dernières quarante-huit heures ont propulsé Dany le Rouge en victime sympathique des « coups bas » de François Bayrou, flingué en plein vol par les médias. Ahurissant traitement de la presse et de la télévision dans l’affaire en question. C‘était Bayrou le méchant et Cohn la victime.
Rappelons quand même les faits en détail. Dans l’un de ses livres Le Grand Bazar (1975) Daniel Cohn-Bendit évoque son expérience d’aide-éducateur au jardin d’enfants autogéré de Francfort : « Il m’est arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi moi et pas d’autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. »
Bayrou, non sans un réel opportunisme car il y a bien longtemps qu’il connaît cet épisode de la vie de Dany et que cela ne l’a jamais empêché de copiner avec lui, a rappelé au leader écolo qu’il avait défendu des ignominies. Mais c’est Bayrou qui a été qualifié d’ignoble par tous : Arlette Chabot, Xavier Bertrand, Martine Aubry, Hervé Morin (qui a été jusqu‘à le qualifier de « Le Pen »…) La grosse presse et les gros médias ne sont-ils pas tenus par tous les anciens camarades, potes ou sympathisants des thèses de Cohn-Bendit ? Certains même sont au gouvernement. Les thèses libertaires qui incluaient la pédophilie au rang des libertés sexuelles ont été défendues publiquement par des personnages qui ont aujourd’hui pignon sur rue : Bernard Kouchner, notamment, signataire avec Jack Lang et beaucoup d’autres de la pétition dans Libération en mars 1979 pour mettre fin à la détention préventive de deux pédophiles : « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers cela suffit. »
Le passé soixante-huitard de Dany le Rouge qui lançait des pavés contre les CRS et ses thèses d’extrême gauche, puis anarchistes (Noir et rouge), sa défense du régime aux 100 millions de morts, ne peut lui valoir que toute la sympathie et l’estime de ceux qui sont installés dans les gros médias, ou sous les ors de la République, grâce à l’ouverture à gauche de Sarko et Carla. C’est Michel Field, ancien maoïste sans repentance, qui dirigeait hier la soirée électorale sur LCI. Et l’on pourrait continuer longtemps la litanie, jusqu‘à la récente arrivée de Philippe Val, directeur de Charlie-Hebdo, qui devient le dirigeant éminent de la radio d’Etat.
Alors, après ça, Cohn-Bendit en héros du jour, il n’y a vraiment plus que nous à qui cela fait mal.
Article extrait du n° 6856 du 9 juin 2009
Rédigé le 08 juin 2009 à 13h04 dans Culture de mort, Elections européennes, En kiosque, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Un article (fichier au format pdf) à lire de toute urgence. Le cas de l'Institut pour la Justice est longuement abordé...
Rédigé le 06 juin 2009 à 20h38 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Conso, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Economie et social, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 04 juin 2009 à 15h43 dans Ecologisme, Environnement, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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selon Denis Tillinac (Valeurs Actuelles du 28 mai) :
"Les éditorialistes et les politiciens reprochent aux Français de ne s’intéresser que très
modérément aux élections européennes. (...)
J’irai voter, par principe, même si l’Union patine trop souvent pour mon goût dans la choucroute techno. (...).
En France, pour aggraver l’indifférence des citoyens, on a découpé des monstres suprarégionaux : à Saint-Flour,Cantal, on va voter pour les mêmes listes qu’à Vendôme, Loir-et-Cher. C’est grotesque. En outre, les partis dits de gouvernement casent leurs rossignols, pour les nourrir ou pour s’en débarrasser (...)
Au-delà de cette guignolade,une évidence s’impose que nos “officiels” ont du mal à admettre : le patriotisme européen n’existe pas dans l’âme des peuples et peut-être n’existera jamais. C’est ainsi. Si je prends mon modeste cas, à titre d’exemple, je découvre un système de patriotismes en cercles concentriques, où l’Europe n’a aucune part. Ma patrie intime(...), c’est mon village et ses prolongements dans mon imaginaire. Pas le département de la Corrèze, encore moins la région Limousin. L’histoire-géo de ces deux entités n’a aucune unité. Mon patriotisme tout court, c’est la France et rien d’autre. Néanmoins, en qualité de catholique, Rome est ma capitale spirituelle, je me sens chez moi quand je baguenaude autour du Vatican (...). Sur le plan géopolitique, je me sens occidental, donc aussi proche des Américains que des Européens. (...) Pour compliquer encore le jeu de mes proximités affectives, l’écrivain francophone que je tâche d’être a forcément plus de connivences avec un poète haïtien, libanais ou mauricien qu’avec un Norvégien ou un Croate. Ce qui n’empêche pas un minimum de cosmopolitisme culturel – juste un minimum –mais rend mon “identité” européenne vraiment sujette à toutes sortes de caution.
Elle existe cependant, dans l’ordre intellectuel et esthétique, avec une franche prédilection pour les paysages, les mouvements,les écrivains, les tours d’esprit français. Simplement, l’identité ne débouche pas sur un patriotisme.
La coupe de mes patriotismes étant pleine à ras bord, il n’y a plus de place pour l’Europe. Selon toute vraisemblance, nos compatriotes n’ont pas davantage que moi la fibre europhile. Ni les citoyens des autres pays membres de l’Union. Ils en perçoivent l’intérêt, leurs dirigeants en prennent ce qui les arrange et démagogisent sur les méfaits supposés des directives de la Commission ou sur les dysfonctionnements des instances pour occulter leurs inerties. C’est ainsi et, au fond, la pérennité des patriotismes nationaux n’a rien pour me déplaire. À condition toutefois de ne pas renoncer à cet objectif éminemment louable : un marché homogène et régulé au sein duquel les lois fiscales et sociales, les systèmes policiers et judiciaires, la dévolution des diplômes seraient les mêmes. Au lieu de se gargariser avec des “valeurs” qui les diviseront toujours, si tant est qu’ils y croient, les politiciens européens seraient avisés de s’atteler à cette tâche concrète."
Rédigé le 30 mai 2009 à 16h50 dans Elections européennes, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Meredith Turney, dans une tribune intitulée "La bataille pour le mariage a commencé", prévient :
The average American has the tendency to only take political action when absolutely necessary. Moms and dad are too busy raising their children to become political activists. But as we have seen with the national Tea Party movement, citizens are awakening to realize their country’s leadership has been taken over by elitists who work tirelessly through government, politics and the education system to accomplish their goals. The judicial victory today should encourage citizens to be more involved in their government.
As Ronald Reagan warned, “Freedom is never more than one
generation away from extinction. We didn’t pass it on to our children
in the bloodstream. It must be fought for, protected, and handed on for
them to do the same, or one day we will spend our sunset years telling
our children what it was once like in the United States when men were
free.” It’s time for those who cherish Judeo-Christian values, which
founded and sustained our nation, to take action. While traditional
marriage won this particular battle, the war over marriage will rage on
for years to come.
Le collectif "Protect Marriage - Yes on 8", à l'origine de la proposition 8, ne dit pas autre chose dans son communiqué du 26 mai :
Rédigé le 27 mai 2009 à 05h11 dans Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Culture de vie, Défendre la famille, Etats-Unis, Jeunes, Société civile (EU), SOS Homofolie, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Certains me reprochent parfois mon insistance. Partout où on me cède quelques instants la parole, je répète comme une rengaine qu'il est grand temps de s'engager. Suis-je inutilement alarmiste ?
Au Danemark, le maire de Copenhague propose de faire de l'arabe la deuxième langue étrangère enseignée à l'école.
En Grèce, à Athènes ces jours-ci, plusieurs manifestations violentes ont opposé la police à des centaines de musulmans hurlant "Allah est grand".
Aux Pays-Bas, Ahmed Marcouch, maire d'un arrondissement d'Amsterdam, propose que plusieurs arrondissements de l'ouest d'Amsterdam fusionnent et forment une ville musulmane à part entière, vivant selon la charia.
Toujours aux Pays-Bas, le maire de Rotterdam est Ahmed Aboutaleb, fils d'imam. Les burkas se multiplient dans la ville. Au Zuidplein Theatre, l'un des théâtres les plus prestigieux de la ville, on peut désormais y séparer les hommes et les femmes du public pour respecter les coutumes musulmanes.
En Belgique, un ancien ministre déclare qu'il n'y a pas encore assez d'hommes et de femmes issus de l'immigration dans les rangs de la police belge et propose de permettre aux femmes musulmanes de porter à la fois le foulard et l'uniforme.
Le mois prochain s'ouvrira à Bruxelles le "Directorat des affaires religieuses de Turquie" chargé de sensibiliser l'Europe à l'islam. Et en avril dernier, le Premier ministre albanais a déposé la candidature de l'Albanie (à 70% musulmane) à l'Union Européenne.
A Strasbourg, l'Ecole de Management a lancé cette année un diplôme de finance islamique. Finance islamique (c'est-à-dire régie par les règles de la charia) récemment vantée par Christine Lagarde, Ministre des Finances.
Au cours des prochaines années, les constructions de grandes mosquées vont s’accélérer en France. Les projets prennent forme à Marseille, Strasbourg, Nantes, Paris, Tours, Saint-Denis, Cergy-Pontoise… La création de dizaines d’autres lieux de culte, plus modestes, est également prévue. Ce sont environ deux cents mosquées de tailles diverses qui s’ouvriront.
Dans les banlieues françaises, des armes de guerre sont utilisées contre les forces de l'ordre.
Nous pourrions allonger la liste jusqu'à donner la nausée. Je ne puis me résigner à croire que tout ceci pourrait vous laisser indifférents. Si cette Europe-là vous est insupportable, si vous lui préférez sans conteste l'Europe chrétienne, ne restez pas spectateurs de cette subtilisation du pouvoir qui s'opère sous vos yeux. Nous vous attendons ! Il y a tant à faire !
Rédigé le 27 mai 2009 à 01h27 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Identité, Islam, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Alors que les blocages cessent enfin dans les dernières universités,
l’UNI a cosigné une tribune avec les Jeunes Populaires (UMP), les
Jeunes Centristes, les Jeunes Radicaux et les Jeunes du FRS (Forum
républicain Social).
Il y est notamment souligné la très
mauvaise image que les blocages ont donné à nos universités, et la
nécessité d’avoir une Université française qui donne sa chance à
chacun, qui prépare les jeunes à l’emploi et à la compréhension du
monde qui les entoure.
Alors que le mouvement dans les
universités s’éteint, quelques faits doivent être rappelés. En l’espace
de trois mois ce sont près de quarante universités qui ont été
perturbées à des degrés divers, allant de la simple rétention de notes
à des saccages inacceptables. Ainsi, pendant plus de 15 semaines, la
majorité des étudiants de La Sorbonne, Toulouse-le Mirail, Lyon-II,
Lille-III, n’a pas pu suivre le moindre cours à cause de quelques
individus d’extrême gauche qui se disent « étudiants ». Cette minorité
a impunément paralysé des facs en clamant des slogans insensés : à
Rennes-II, on a voté la fin du capitalisme ! A Caen, on a détruit le
matériel : 21 personnes arrêtées, dont 14 n’étaient pas étudiants !
C’est en effet cela le plus grave. Les contestataires sont, pour nombre d’entre eux, hors du champ universitaire. Tandis que le NPA, la CGT et le parti de gauche se montrent de plus en plus présents, les syndicats traditionnels de gauche sont totalement dépassés. Inutile dès lors de tenter de négocier avec ces bloqueurs, car la loi LRU et les autres réformes ne sont que des prétextes à leur action violente. Quel message adressent-ils aux 50% d’étudiants qui échouent en L1, aux 54 % de de titulaires d’un M1 qui mettent plus d’un an à trouver un emploi ?
Le mal est fait, reste à constater les dégâts et penser à l’après. L’image de certaines facs a été gravement ternie, elles courent à présent un risque majeur. Celui de voir les lycéens les plus volontaires éviter les universités perpétuellement bloquées. Celui de dissuader les étudiants étrangers de venir se former sur des campus où on ne les laisse pas étudier sereinement. Celui, enfin, de voir les recruteurs déserter les universités les plus « dures » et écarter les CV qui en viennent.
Quant à ces étudiants qui ont perdu la moitié de leur
année, comment leur rendre ces mois de formation que quelques militants
irresponsables leur ont volés ? Qui ira expliquer aux jeunes des
classes moyennes, à ceux qui n’ont pas les moyens de perdre toutes ces
semaines, qu’il faudra tout recommencer ? Pas ces bloqueurs
jusqu’au-boutistes, qui pourtant en sont parfaitement conscients.
Et ils voudraient à présent que cette année soit automatiquement validée pour tous, portant le coup de grâce à la valeur de nos diplômes et à la crédibilité de nos universités. Voici donc leur vision : « inutile de venir en cours car ils n’auront pas lieu, vos crédits seront de toute façon validés ».
Chacun comprend qu’une telle position est dangereuse. Non seulement pour l’image des facs auprès des entreprises et de l’étranger, mais aussi pour le futur immédiat des étudiants, la rentrée de septembre. Offrir ce semestre à tous, ce serait encourager ceux qui se complaisent dans le chaos des AG anti-démocratiques et des manifestations violentes. Nous ne pouvons accepter que nos universités deviennent des camps d’entraînement pour ces militants qui n’ont que faire du rôle essentiel que jouent nos facs dans la formation et le développement de la pensée de ce pays. Nous voulons une Université qui donne sa chance à chacun, qui prépare les jeunes à l’emploi et à la compréhension du monde qui les entoure.
C’est l’avenir de notre
génération, et de bien d’autres ensuite, qui se joue en ce moment.
Cette génération, ce sont les étudiants d’aujourd’hui, les actifs de
demain, l’avenir de la France et son image dans le monde. Nous refusons
de penser que l’avenir des jeunes, leur éducation et leur formation,
puissent être compromis par l’égoïsme et l’attentisme d’une minorité.
Rémi MARTIAL, Délégué National de l’UNI
Benjamin LANCAR, Président des Jeunes Populaires
Annabelle FERRY, Présidente des Jeunes Radicaux
Damien ABAD, Président des Jeunes Centristes
Jacques LEFORT, Président des Jeunes du FRS
Rédigé le 26 mai 2009 à 21h51 dans Economie et social, Tribune, Vie politique française, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Louis Chagnon
Vous connaissiez l’ablutophobie, l’acarophobie, l’acrophobie, l’agoraphobie, l’apiphobie, l’apopathodiaphulatophobie, l’aquaphobie, l’arachnophobie, l’astraphobie, la claustrophobie, la dysmorphophobie, l’émétophobie, l’éreutophobie, la gymnophobie, la gynécophobie, l’hexakosioihexekontahexaphobie, etc. L’imam Khomeiny nous avait concocté l’islamophobie, nos bobos de gauche l’homophobie, vous aimerez le dernier né : « la transphobie » ou la peur irraisonnée des transexuels dont la prolifique population couvre la planète, c’est bien connu, et est victime de scandaleuses persécutions. C’est pour sauver cette catégorie de la population que nos pseudo élites de gauche ont lancé un appel : « Refusons la transphobie, respectons l’identité de genre » publié dans Le Monde des 17et 18 mai dernier.
Constatons déjà que le sexe est mort, remplacé par « identité de genre », paix à son âme. À l’âme de Simone de Beauvoir aussi qui en écrivant son Deuxième sexe ne savait pas qu’elle parlait d’un sexe qui n’existe pas, si elle était encore de ce monde nos pseudo-élites de gauche pourraient lui faire la morale aujourd’hui et lui expliquer qu’elle aurait dû intituler son livre « La deuxième identité de genre » car pour elles le bon vieux sexe, trop réactionnaire à leur goût, a laissé la place à un sexe de troisième type ! Nous attendons que l’administration modifie le plus rapidement possible ses formulaires et remplace la rubrique fascisante : « sexe » par : « identité de genre » plus progressiste. Et nos « élites » de gauche d’en appeler à l’O.N.U., à l’O.M.S. et aux États du monde pour que cesse ce manque de respect des droits humains vis à vis des transexuels, remarquons qu’ils ne s’adressent pas à la grande tolérance musulmane, ils doivent se douter de la réponse. Tout cela pour essayer de démontrer en fait que la normalité naturelle des relations hétérosexuelles n’étaient qu’une normalité parmi d’autres. En fait nos pseudo-élites de gauche sont atteints de « normalophobie », autrement dit de la peur irraisonnée de ce qui est normal.
Lorsque nous lisons ces informations nous avons l’impression que notre vie politique se passe dans un asile d’aliénés et qu’il serait urgent d’ouvrir les fenêtres car la nausée nous submerge. Le massacre de la petite Jeanne-Marie Kegelin ou l’assassinat dans le R.E.R. de la jeune Anne-Lorraine Schmitt par un Turc récidiviste ne les a pas émus outre mesure, par contre qu’une infinitésimale partie de la population mondiale soit victime de discrimination et les voilà partis en croisade alors que tous les jours des milliers de gens dans leur pays souffrent de l’insécurité. Cela, ils n’en ont cure.
Par contre il existe des « phobies » qui n’ont pas l’heur de plaire à nos politiciens surtout de gauche, nous voulons parler de la christianophobie et de la francophobie.
Pour ces combats vous ne pouvez compter que sur une seule organisation : l’AGRIF
Louis CHAGNON
Rédigé le 26 mai 2009 à 08h10 dans Antichristianisme, Détente, SOS Homofolie, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Monsieur le Président,
Dans quelques jours, les Français vont voter pour choisir leurs députés au Parlement européen. Ils ont le droit de savoir quelle sera la politique menée dans les mois qui viennent, surtout sur des questions qui touchent à ce que vous avez appelé « les repères de civilisation ».
Si j’ai décidé de vous écrire personnellement aujourd’hui, c’est parce que j’ai été stupéfait par les propos tenus dans le journal le Monde du dimanche 24 mai par votre Secrétaire d’Etat à la famille, Nadine Morano, propos que j’ai jugés particulièrement graves.
- Le premier concerne l’homoparentalité. Elle déclare d’emblée : « 30 000 enfants sont élevés par deux adultes de même sexe. Cette réalité s’impose à moi : je me dois de faciliter la vie quotidienne de toutes les familles sans discrimination et de leur apporter des outils juridiques nouveaux ».
Le propos a le mérite d’être clair, le projet aussi.
- Le second propos de votre Secrétaire d’Etat à la Famille, développé le même jour dans le même journal, concerne les « femmes porteuses ». Elle se dit favorable à l’autorisation de la gestation pour autrui mais elle croit devoir ajouter que c’est une formidable aventure humaine. Elle ose parler d’ « indemnisation des frais de maternité » ce qui correspond très exactement à ce que les spécialistes de bioéthique appellent la location d’utérus.
Monsieur le Président, vous ne pouvez pas laisser faire un tel travail de destruction des repères de notre civilisation ou alors vous devez le dire aux Français, non pas le 8 juin au matin mais dans les heures qui viennent afin que chacun puisse se déterminer en connaissance de cause.
Il se trouve que la charte des droits fondamentaux annexée au traité de Lisbonne refuse le lien entre le mariage et la différenciation des sexes ouvrant ainsi la voie à l’homoparentalité. Nous savons que vous êtes favorable au traité de Lisbonne. Pouvez-vous nous préciser votre position sur ces sujets d’une importance capitale pour l’avenir de notre société ?
Je vous prie de croire, Monsieur le Président à l’expression de ma plus haute considération.
Rédigé le 25 mai 2009 à 12h40 dans Tribune | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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par Patrick Louis, député français au Parlement européen, candidat
Libertas sud-Est
Parti à Marseille à la
rencontre des professionnels ce vendredi 15 mai, en compagnie de Philippe de
Villiers et de Frédéric Nihous, je n’ai pu que constater à quel point pêcheurs,
vignerons, camionneurs et fleuristes sont, comme tant d’autres, au fait de la
mondialisation sauvage.
Arrivé le matin sur le port, les pêcheurs nous interpellent aussitôt, désespérés, eux qui sont interdits de pêche par la Commission européenne alors que sur 100 kilos de poisson consommés en France, 80 kilos ont été importés ! Il se propage un véritable mensonge sur le manque de ressources du monde maritime, qui fait le jeu des pays extra-européens. La Norvège pêche dix fois plus de cabillaud que toute l’Union européenne réunie ! Et les 4 millions d’euros d’aumône de Barnier n’y feront rien, la profession est en péril.
Même constat au contact d’un fleuriste, qui vend la rose 32 centimes. Pour vivre de son commerce, il ne peut pas l’acheter en France, où il paierai la rose varoise 30 centimes. Non, il est obligé de se fournir au Kenya, où la rose coûte 15 centimes, arrive en Hollande par avion, redescend sur Lyon en camion, et termine sa course à Marseille en bateau. Une belle leçon d’écologie ! Pourquoi le Kenya ? Les travailleurs y sont payés 50 euros par mois. Mais eux aussi sont menacés, car les producteurs comptent délocaliser sont peu chez leur voisin éthiopien, où le salarié se paie là bas moins de 25 euros…
Que dire du camionneur français d’Aubagne ? Lui qui coûte 3.800 euros par mois à son employeur, et ne travaille « que » 48 heures hedbomadaire. Les camionneurs lituaniens, très en vogue, travaillent par équipe de deux, 24h/24h, pour 700 euros par mois, tout comme les chauffeurs roumains, qui font des allers-retours d’Aubagne à Marseille nuit et jour, sans discontinuité.
Une visite honorable en Provence ne saurait se terminer sans la rencontre d’un vignoble. La encore, les perspectives sont très sombres. Informés par leurs syndicats, les viticulteurs savent que M. Barnier avait donné son accord au coupage du vin rosé, et que ce dernier est, à terme, condamné. Les AOC connaitront un peu de répit face aux vins de pays, mais pour combien de temps ?
Voilà tout le paradoxe d’une Europe qui, au nom d’une idéologie mondialiste, accable nos économies de contraintes, de taxes, et de normes, alors qu’elle les expose dans le même temps à la concurrence avec des pays qui n’ont aucune contrainte à respecter, pas même sociales. De pays qui -comme la Chine, le Niger ou la Bulgarie- font même travailler des enfants.
Quel mal y a-t-il à mettre en place des droits compensateurs ? Il y a au contraire urgence. Contrairement aux apparences, l’Europe du couple Sarkozy-Merkel nous a précipité dans la crise, avec une récession annoncée de 2,5% pour l’année 2009, soit bien plus que les Etats-Unis qui devraient connaître 1,6% de recul.
Rééquilibrer les échanges internationaux, c’est en somme permettre à chacun de pouvoir vivre de son travail, mais aussi faire en sorte que les pays puissent se nourrir de leur propre agriculture, conserver leurs industries. Penser global pour agir local, voilà le vrai acte économique et écologique de demain.
Rédigé le 24 mai 2009 à 19h30 dans Economie et social, Elections européennes, L'UE au quotidien, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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En exclusivité, e-deo publie la lettre de Bruno Gollnisch à Thibaud de Chassey, directeur du Renouveau français qui organise aujourd'hui un congrès nationaliste à Villepreux dans les Yvelines. Ce texte sera lu aux participants vers 15h...
Je pense que vous comprendrez mon absence à l’heure où commence la dernière ligne droite de la campagne européenne, et où je suis retenu par le combat que je mène, dans le Grand Est, le combat pour une France française dans une Europe européenne.
Ce combat, vous avez choisi de le mener sur le terrain de la formation de la jeunesse, de la préservation et de la diffusion du patrimoine intellectuel et doctrinal de la famille nationale, de la transmission de la tradition et de la mémoire.
Ce n’est pas une tâche secondaire dans l’époque troublée que nous vivons, où l’existence de la France, et même son essence, sont menacées.
Les batailles, dit-on, se gagnent d’abord dans les esprits.
Et ceux de notre peuple sont abrutis par des décennies de dictature du politiquement correct imposé par nos élites auto-proclamées, appuyées sur une police de la pensée chargée de faire appliquer les les lois prétendues mémorielles et les lois liberticides, Gayssot, Pleven, Toubon… Lois qui donnent d’extravagants privilèges judiciaires et financiers à n’importe quelle minorité assoiffée de reconnaissance morale , médiatique, ou institutionnelle. Les Français sont ainsi priés de se repentir, de culpabiliser, de se haïr ou de se mépriser, d’avoir honte de ce que fut la France et de ce qu’elle est, de refuser ce qu’elle pourrait encore devenir.
Notre pays se plie à la logique du brassage obligatoire, universel, sans frontières, matérialiste, des hommes, des marchandises et des capitaux, dont un des principaux instruments est cette construction européenne que l’on prétend la seule voie de coopération entre les nations d’Europe.
Mais qu’avons-nous à faire dans cette Union européenne qui n’aspire qu’à être pour le monde entier un modèle de société multi-ethnique, multi-culturelle, multi-confessionnelle ? Un modèle qui broie les identités, les cultures et les traditions quand elles sont enracinées, mais les valorise et les porte aux nues quand elles sont allogènes,
Qu’avons-nous à faire dans cette union européenne qui nie ses valeurs spirituelles, ses racines chrétiennes, son héritage culturel et juridique issu de la Grèce et de Rome, la spécificité de ses peuples et de ses nations, la singularité de son génie ? Dans une entité qui se refuse à se définir au point de ne pas même fixer ses limites physiques et de vouloir accueillir en son sein un pays sans doute respectable, mais qui n’est ni culturellement, ni démographiquement, ni historiquement, ni géographiquement un pays européen ?
Nous savons, nous, que la nation est le cadre le mieux à même d’assurer la liberté, la sécurité, la prospérité des peuples. Nous savons que l’Europe peut et doit être autre chose que cette addition délétère de faiblesses, ce magma mercantile et pleurnichard.
Partout en Europe, de voix s’élèvent, des patriotes s’organisent face à la destruction de nos nations, à la submersion de nos peuples, à l’asservissement de nos économies, à la désintégration de nos sociétés. Eveilleurs ou formateurs des consciences, nous sommes les nouveaux, et les seuls résistants au nouvel ordre mondialisé et niveleur. Je forme des vœux pour le succès de votre revue et de vos efforts de formation intellectuelle et morale.
Bruno GOLLNISCH,
Député français au Parlement européen
Vice-Président du Front National.
Rédigé le 24 mai 2009 à 14h32 dans Elections européennes, Jeunes, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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par Alexandre Gitakos
J'entends ici et là dans
nos milieux de droite que la réforme constitutionnelle du comité
Balladur apporte une innovation en matière de démocratie directe par
l'instauration d'un « référendum d'initiative populaire ». Entendez la
possibilité pour les citoyens en fonction de leur nombre d'imposer au
pouvoir en place un référendum. Ce type de procédé existe dans 49 états
aux États Unis, il permet un pétition populaire qui débouche avec
suffisamment de signatures sur un référendum législatif. Ce sont
d'abord les médias qui ont largement commenté les conclusions du Comité
Balladur par le terme de « référendum d'initiative populaire » citant
même le modèle américain.
Là où il faut bien replacer les choses c'est que... C'est tout simplement faux ! La réforme de juillet 2008 n'instaure absolument pas le référendum d'initiative populaire.
A l'origine c'est le Président de la République qui peut, sur proposition du Premier ministre ou à la demande conjointe des deux chambres, déclencher le référendum. La nouveauté que j'entends qualifier de « voix des citoyens » est simplement la possibilité pour 1/5 des députés soutenus par 1/10 des électeurs inscrits de soumettre à référendum un texte de loi. Cela dans la mesure où les deux chambres après examen de la requête valident celle-ci.
C'est donc en réalité la possibilité pour les minorités politiques représentées à l'Assemblée Nationale d'être à l'origine d'un référendum... Ce n'est pas du tout ce que j'appelle donner l'initiative des lois aux citoyens ! C'est une escroquerie totale quand on entend dans les médias le terme « référendum citoyen » ou « référendum d'initiative populaire ». Car j'espère avoir mis en relief l'énorme différence entre le modèle américain et le dernier gadget français.
Nicolas Sarkozy se voulait pendant la campagne de 2007 patriote et libéral, je me définis moi même comme un « libéral-patriote ». Mais de l'ouverture à gauche jusqu'à la protection de la terroriste communiste Petrella, on est loin de la « Reagan Revolucion » promise. Je ne suis pas certain non plus que la relance keynésienne soit digne d'un président de la droite de la droite...
Son admiration pour les Etats Unis, Nicolas Sarkozy assume. A lui de nous donner une liberté d'expression digne de ce nom et un vrai référendum citoyen digne de ce nom et non pas cette escroquerie cadeau aux minorités politiques MoDem et PCF du Parlement ! En l'espèce on aura aura voulu embellir la réalité grossièrement.
Heureusement chers lecteurs, la vraie droite veille !
Rédigé le 24 mai 2009 à 10h51 dans Constitution française, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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