Rédigé le 01 janvier 2010 à 18h47 dans Antichristianisme, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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Thibaud
Rédigé le 01 janvier 2010 à 17h48 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 30 décembre 2009 à 18h08 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Histoire, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le Docteur Dickès, président de l'Association Catholique des Infirmières, Médecins et professionnels de santé (ACIM), nous informe :
En 2007, les œuvres catholiques d'adoption, obligées par la loi à placer des enfants chez des couples homosexuels ont pour les deux tiers fermé leurs portes, le troisième tiers retirant le nom de catholique de leur appellation. Mais surtout, il a été créé un « Ministère de l'Egalité » confié à une dénommée Harriet Harman. Celle-ci vient d'annoncer un projet de loi sur « l'égalité des genres ». Il en résulterait que quiconque s'opposerait à ce que les prêtres soient mariés, homosexuels, concubinaires, serait lourdement condamné. Les clôtures des moines et des moniales sauteraient au nom de la discrimination liée au sexe. Ce qui ferait entrer l'Eglise catholique d'Angleterre en une guerre frontale avec l'Etat lui-même. L'épiscopat anglais, s'il s'opposait à cette loi au nom de la liberté de conscience et d'exercice de la religion, annonce qu'un « torrent » d'amendes diverses aboutira rapidement à la séquestration des biens de l'Eglise et à l'emprisonnement de ses représentants. Les évêques ont déclaré que ce clash visait une éradication délibérée du catholicisme dans le pays notamment par la suppression de la messe en public, la laïcisation des écoles catholiques par l'évacuation de l'enseignement religieux et de tous les symboles catholiques, notamment des crucifix. Assertion démentie par le gouvernement ; lequel précise que les prêtres refusant d'appliquer le projet de loi ne seraient pas poursuivis à la condition suivante : plus de 51 % de leur activité doit être réservé au culte et aux prêches... Ce qui est évidemment strictement illusoire précisent les évêques. Un amendement au projet de loi visant à protéger l'Eglise vient d'être repoussée par 314 voix contre 170. Le roi Henri VIII d'Angleterre faisait écarteler les prêtres catholiques. Celui de M. Gordon Brown les condamnera à l'exil. (Catholic Herald des 11 et 25 décembre 2009).
Rédigé le 30 décembre 2009 à 15h19 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de mort, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise, SOS Homofolie, Tendances | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Selon une enquête Ifop réalisée pour La Croix, les Français restent pour les deux tiers attachés à une identité catholique mais la messe du dimanche ne rassemble plus qu’une toute petite minorité.
Si deux tiers encore des Français se déclarent catholiques, rares sont ceux qui pratiquent : en effet, 4,5 % seulement de nos concitoyens disent fréquenter une église chaque dimanche, 15 % y allant régulièrement, de l’ordre d’une fois par mois environ.
« Avec 4,5 %, la France est aujourd’hui le pays catholique où la pratique dominicale est la plus basse », note Denis Pelletier, historien à l’École pratique des hautes études.
À titre de comparaison, 20 % des Espagnols vont à la messe une fois
par semaine, et si l’on ajoute ceux qui y vont au moins une fois par
mois, on obtient plus de 30 % de la population. Par ailleurs, dans ce
même pays, 75 % de la population se dit catholique.
Aujourd’hui, la minorité des catholiques pratiquants est, on le voit, très sensiblement plus âgée que la moyenne de Français. Sa répartition sur le territoire reste la même : on la retrouve essentiellement dans les régions nord-ouest et nord-est de la France. Plus nouveau en revanche : la très forte pratique des départements de l’ouest parisien, ce qui peut s’expliquer par la composition socioprofessionnelle des pratiquants.
Cliquez pour zoomer...
Rédigé le 29 décembre 2009 à 10h44 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Lu dans Famille Chrétienne n°1663, sous la plume de son rédacteur en chef Philippe Oswald :
Le motu proprio Summorum pontificum élargissant l’usage de la forme extraordinaire du rite romain a déjà fait couler beaucoup d’encre. Pourtant, deux ans après sa promulgation, il n’est pas sûr qu’il soit bien compris, même de ceux qui l’approuvent ou s’en félicitent. On le réduit souvent à une concession ou à un geste de sympathie envers les « tradis ». Or sa portée est bien plus vaste : elle concerne toute l’Église et son développement.
C’est un ami et disciple de Benoît XVI, doublé d’un expert en la matière, qui l’explique dans ce petit livre lumineux et d’une rare densité. Outre qu’il enseigne la liturgie et la théologie sacramentaire à l’Institut de théologie de Bari (Italie), Mgr Nicola Bux est à la fois consulteur pour la Congrégation pour la doctrine de la foi, consulteur de la Congrégation pour la cause des saints, et consulteur au Bureau des célébrations liturgiques du souverain pontife. C’est dire si son avis est autorisé. Son propos se voit d’ailleurs étayé par trois préfaciers non moins compétents, que l’éditeur a eu la judicieuse idée de réunir dans une exceptionnelle polyphonie : Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, pour l’édition française ; le célèbre journaliste et écrivain Vittorio Messori, pour l’édition italienne ; enfin, pour l’édition espagnole, le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements en personne, le cardinal Antonio Canizarès.
Au cœur des actuelles discussions doctrinales entre la Congrégation pour la doctrine de la foi et la Fraternité Saint-Pie-X, il y a l’héritage du concile Vatican II, et notamment la liturgie. Pour Benoît XVI, on le sait, le Concile doit être lu et appliqué selon une « herméneutique de la continuité » et non « de la discontinuité et de la rupture ». C’est bien ainsi, « entre innovation et tradition » (Mgr Aillet), qu’il faut concevoir la réforme liturgique qui n’est toujours pas achevée (cardinal Canizarès). Telle est la conviction du pape et telle est la volonté qu’il déploie avec « la patience de l’amour », souligne Mgr Bux : il s’agit de compléter et de corriger ce qui doit l’être afin que la liturgie eucharistique, « source et sommet de la vie chrétienne », donne un nouvel élan missionnaire aux chrétiens du XXIe siècle.
Donner la première place au caractère sacré et divin de la liturgie
Dans cette perspective dynamique, plus question d’opposer les Missels de 1962 et de 1970, mais de saisir le développement organique et continu qui unit les deux formes du même rite romain, pour retrouver un « ars celebrandi » donnant la première place au caractère sacré et divin de la liturgie, sans omettre la communion fraternelle mise en valeur dans la forme ordinaire du rite. Il faut pour cela plonger en eaux pro-fondes, jusqu’aux sources théologiques de la liturgie (cf. le Catéchisme, 1077-1112) que le Concile a voulu restaurer (comme l’écrit Vittorio Messori, « le problème n’est certainement pas le Concile, mais sa déformation : on sortira de la crise en retournant à la lettre et à l’esprit de ses documents »).
Ce programme implique que soit promue dans les séminaires « une connaissance à la fois théorique et pratique des richesses liturgiques, non seulement du rite romain, mais aussi, dans la mesure du possible, des divers rites de l’Orient et de l’Occident, créant ainsi une génération de prêtres libres de tous les préjugés dialectiques » (cardinal Antonio Canizarès).
L’œcuménisme n’est pas en reste : alors que des anglicans traditionnels rejoignent l’Église catholique romaine en y apportant leur art de célébrer, l’unité s’exprime aussi par la complémentarité des diverses formes rituelles entre l’Orient et l’Occident (on se souvient du satisfecit exprimé par le patriarcat de Moscou lors de la promulgation du motu proprio).
On le perçoit mieux grâce à l’étude de Mgr Bux : c’est un large horizon qu’ouvre le motu proprio de Benoît XVI. N’oublions pas cependant que cette ouverture dépend aussi très concrètement de l’effort de tous, pasteurs et fidèles attachés à l’une et à l’autre forme du rite, pour s’apprivoiser dans une volonté de compréhension et d’accueil mutuels, dans une communion fraternelle inspirée par une authentique charité.
Thibaud (via Paix liturgique)
Rédigé le 29 décembre 2009 à 09h36 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 27 décembre 2009 à 01h00 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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pour Noël.
"En contemplant le «nouveau-né de la crèche» que nous nous apprêtons à fêter, je
pense à la dépréciation alarmante de la vie humaine dont on cherche
parfois à se défendre plutôt que de la protéger, en particulier chez
les plus petits et les plus faibles : le drame de l’avortement - et
pour les innocents ainsi sacrifiés, et pour les femmes ainsi blessées
dans leur maternité -, le dépistage systématique des anomalies
génétiques, les recherches hasardeuses et inacceptables sur les
cellules souches embryonnaires, comme l’ont rappelé les évêques de
France dans le débat récent sur la révision des lois de bioéthique." (Lire le message dans son intégralité)
«Jésus est né loin de chez lui, on n'a pas voulu loger ses parents. Il
est l'exilé, le pauvre, le démuni. Comment ne pas voir en lui le signe
de tous les enfants qu'on ne veut pas accueillir parce qu'ils nous
dérangent. C'est l'enfant qui n'arrive pas au bon moment, c'est
l'enfant qui porte un handicap, c'est l'enfant qui n'a pas sa place et qu'une IVG banalisée fera
disparaître.
Dans de nombreux pays, l'enfant est livré à la prostitution, à la
mendicité, au vol, victime innocente de notre refus de partager les
biens de ce monde. La liste est longue, mais, aujourd'hui, à Noël, « un
enfant nous est donné ». (source)
Rédigé le 26 décembre 2009 à 18h30 dans Avortuerie, Bioéthique, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Economie et social, Notre Eglise, Tribune | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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n'en était pas à son coup d'essai !
Susanna Maiolo (photo), la jeune femme en rouge qui a fait tomber Benoît XVI durant la messe de minuit
jeudi soir, n'en était pas à son coup d'essai. D'après un responsable
du Vatican, cette ressortissante italo-suisse de 25 ans, qui
souffrirait de troubles psychiatriques, avait déjà tenté de s'approcher
du pape l'an passé en sautant par-dessus les barrières de sécurité à
l'occasion de la messe de minuit. Des agents de sécurité l'avaient
rapidement maîtrisée et immobilisée à terre.
Le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi, a précisé que Susanna Maiolo n'était pas armée et avait été emmenée ensuite dans une clinique pour y recevoir les soins nécessaires. Interrogé sur d'éventuelles poursuites judiciaires, ce dernier a affirmé que la justice du Vatican était «en général très clémente».
La protection du pape est à la fois assurée par les Gardes suisses, la police du Vatican et la police italienne. Elle a été renforcée depuis les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. Vendredi, le Vatican a annoncé qu'il procèderait à un réexamen de ses procédures de sécurité, tout en indiquant qu'il n'était pas possible d'assurer à 100% la sécurité du pape, régulièrement en présence de dizaines de milliers de personnes pour ses audiences hebdomadaires, des messes, et d'autres événements.
Rédigé le 25 décembre 2009 à 18h23 dans Délinquance, Economie et social, Notre Eglise, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 25 décembre 2009 à 18h17 dans Chrétien(s) au quotidien, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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EXCLUSIF ! Veuillez trouver infra la réponse de l'évêque de Troyes, Mgr Marc Stenger, à nos révélations sur la soirée organisée le 11 décembre dernier au séminaire des Carmes. Nous le remercions d'avoir pris le temps de nous écrire ainsi que pour sa bienveillance (qui tranche avec l'agressivité du supérieur du séminaire...). Nous avons souligné certains passages. Voici le courriel de Mgr Stenger :
Le 20 décembre 2009
Aux rédacteurs du site E-DEO
Chers amis,
Je vous avoue que je ne connais pas votre site, mais on m'a communiqué ce qui y a été écrit à propos de la fête de Noël qui s'est déroulée au Séminaire des Carmes, vendredi 11 décembre. Si j'ai eu cette communication, c'est parce qu'il se trouve que j'étais présent à cette soirée.
Pourquoi étais-je présent ce jour-là? Parce que j'avais été sollicité par le Supérieur du Séminaire pour présider l'Eucharistie au cours de laquelle étaient célébrées les admissions et les institutions d'un certain nombre de séminaristes. Le Supérieur fait appel chaque fois à un évêque, dont l'un ou l'autre séminariste fait partie de ceux qui sont admis ou institués. La fête de Noël, d'après ce qui m'a été dit, se vit habituellement ce soir là. J'ai été invité à rester au repas et à la fête. Je n'avais aucune raison de refuser cette invitation. J'ai regretté que dans la relation de cette soirée sur votre site, aucune mention n'ait été faite de la célébration. Je peux témoigner qu'elle était d'une belle tenue et d'une incontestable profondeur spirituelle.
Elle avait été préparée avec beaucoup de sérieux par les séminaristes et elle était animée par eux. De nombreux prêtres étaient présents et l'église était archi-pleine. Plusieurs personnes m'ont fait part à la sortie du bonheur qu'ils avaient éprouvé à participer à cette liturgie. A partir du moment où on voulait parler de ce qui s'est passé le 11 décembre, il eût été juste de témoigner aussi de ce temps de prière.
Venons en au repas et à la fête, où n'étaient plus présents que les séminaristes, leurs formateurs et les familles et amis de ceux qui avaient été admis ou institués. J'ai consacré seize années de ma vie de prêtre à la formation des séminaristes (dont sept comme supérieur du Séminaire de Metz). J'ai vécu autant de fêtes de Noël et je peux vous dire que dans le genre elles se ressemblent toutes. Les séminaristes considèrent ce moment comme un moment de détente, un peu débridé quelquefois, mais en principe toujours dans les limites. A part quelques sketches sur lesquels je vais revenir, ce qui a été proposé le 11 décembre était plutôt de bonne tenue.
Comme dans la communauté, il y a un grand nombre de séminaristes des Missions Étrangères de Paris, nous avons eu droit à une séquence Asie assez développée. C'est dans le cadre de cette séquence que j'ai été mis à contribution. Il fallait que le Supérieur et moi-même nous donnions à manger mutuellement avec des baguettes. Je puis vous assurer que ce fut bref et sans excès. Le Supérieur du Séminaire et moi, nous nous connaissons depuis 42 ans. J'ai pensé que les séminaristes voulaient de cette manière faire un clin d'œil à une vieille amitié. Il y a eu aussi un combat de Sumos auquel deux membres de l'équipe de formation se sont prêtés de bonne grâce. Je peux vous dire que lorsqu'on est membre d'une équipe de Séminaire, ce soir-là on joue le jeu et on accepte de se laisser « moquer ». D'autant plus qu'en général cela reste de bon aloi. J'ai lu quelque part une allusion à la tenue « légère » qu'aurait eue un des deux formateurs. Je peux vous assurer qu'il n'en est rien. Ils avaient plutôt une tenue ridicule et sans rien vous cacher, j'ai préféré que ce soit eux plutôt que moi. Si ma mémoire est bonne, cette tenue un peu « légère » était portée par un des séminaristes qui intervenaient dans le sketche. Je ne l'ai en tout cas pas trouvée scandaleuse.
J'en viens à ce qui a été particulièrement incriminé, le sketche autour du pape Jean-Paul II. Je vous confesse que je suis agacé par le goût qu'ont certains séminaristes de se déguiser en pape. J'ai constaté cela bien souvent dans les seize années où j'ai participé à des fêtes de Noël, organisées par les séminaristes. Ceci dit, il y avait quelque chose d'émouvant dans la conversation « céleste » à laquelle on nous faisait assister entre Jean-Paul II, Mère Thérésa, Soeur Emmanuelle, l'abbé Pierre et Mickaël Jackson. Ceux qui sont sortis dès le début de la scène n'ont pas pu apprécier cela, puisqu'ils ne l'ont pas entendue.
La présentation de Jean-Paul II, avec une perfusion rattachée au crucifix, n'était pas de très bon goût. Je pense d'ailleurs que cela leur a été dit. Mais pour ce que je sais de ces fêtes, la perspective des auteurs de sketche n'est pas iconoclaste, mais de moquerie, un peu à la manière de la « Fête des Fous ».
Je comprends cependant et je respecte ceux qui ont été choqués. En revanche, ce que je ne comprends pas du tout, c'est qu'ils n'aient pas plutôt exprimé leur désaccord aux organisateurs, comme ils en avaient le droit. Je ne sais pas qui a mis cette information sur votre site. La source est nécessairement quelqu'un qui a été témoin de cette soirée directement ou indirectement. Choisir plutôt de répandre sa désapprobation dans le grand public par le moyen d'Internet, c'est s'adresser à des personnes qui n'ont aucune connaissance du contexte et ne peuvent donc que garder une impression négative, qui ne correspond pas à toute la vérité. Cela ne rend service ni à l'Église ni à la vérité.
C'est pour cette raison que j'ai pris la peine de vous apporter mon témoignage. Vous en ferez l'usage que vous voudrez. Mais je pensais que cela valait la peine de vous le dire, alors que nous allons célébrer Noël, fête de la paix et de la communion autour de l'enfant de Bethléem.
Mgr Stenger se déclare par ailleurs prêt à en parler avec nous. Il ajoute :
En cette veille de Noël, où nous pensons à tous ceux qui souffrent, je voudrais faire une place aussi à ceux qui souffrent parce qu'ils ne comprennent pas. L'enfant de Bethléem veut nous sortir de notre aveuglement et nous mettre dans la communion. Qu'il en soit ainsi.
Thibaud (un grand merci à notre intermédiaire!)
Rédigé le 25 décembre 2009 à 17h31 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise, Tribune | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Rédigé le 25 décembre 2009 à 17h06 dans Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé le 25 décembre 2009 à 16h59 dans Détente, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Communiqué
A l’occasion de l’année sacerdotale et pendant 40 jours, de la Nativité jusqu’à la fête de la Présentation (2 février), l’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) vous propose d’allumer symboliquement un cierge pour soutenir les prêtres.
Allumer un cierge, c’est faire un don pour aider les prêtres, particulièrement là où ils sont persécutés ou menacés, partout où l’Eglise souffre. Vous pouvez déposer une prière à leur intention.
Ainsi, l’AED répond à sa mission de soutien matériel et spirituel des prêtres », explique Marc Fromager, directeur de l’AED.
L’ensemble des intentions de prières déposées seront recueillies et envoyées à tous les évêques de France. Ils attendent votre prière et votre générosité. Merci pour eux !
L’Aide à l’Église en détresse est une association internationale qui soutient les chrétiens partout où ils sont persécutés, refugiés ou menacés. L’AED est présente dans 145 pays.
Rédigé le 25 décembre 2009 à 16h51 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Culture de vie, Délinquance, Economie et social, Notre Eglise, Prière, Tendances, Vie étudiante | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La messe de minuit avait été avancée à 22 heures jeudi soir afin de préserver la santé du souverain pontife. Et pourtant, la soirée aura été éprouvante pour le Pape. Alors qu'il entrait dans la basilique Saint-Pierre de Rome pour célébrer la messe, une femme, vêtue de rouge, a sauté par-dessus les barrières et s'est jetée sur Benoît XVI. S'accrochant aux vêtements du souverain, elle l'a violemment poussé à terre. La femme, qui souffrirait de troubles psychiques, a été arrêtée par des services de sécurité quelque peu dépassés.
Au final, cette bousculade a fait plus de peur que de mal car Benoît XVI s'est relevé sans trop de difficulté. Il a également pu rejoindre l'autel, sous les applaudissements des quelque 10 000 fidèles présents, et débuter un office long de deux heures, sans paraître troublé par l'incident. Le cardinal français Roger Etchegaray, âgé de 87 ans, a eu moins de chance. Projeté au sol dans la confusion, il a été évacué sur une chaise roulante et transféré à l'hôpital. Selon le porte-parole de la papauté, Federico Lombardi, il souffrirait d'une fracture du fémur.
Les images de l'agression >>>
Rédigé le 25 décembre 2009 à 15h45 dans Chrétien(s) au quotidien, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Benoît XVI vient de reconnaître les vertus héroïques de Pie XII et Jean Paul II. Ces deux papes, durant leurs longs pontificats, ont été de grands éducateurs des laïcs que nous sommes.
Pie XII délivrait chaque année un radiomessage pour Noël, voici un extrait (d'actualité) de celui du 24 décembre 1954 :
Ce qui doit demeurer et qui sans aucun doute demeurera, c'est l'Europe véritable, c'est-à-dire cet ensemble de toutes les valeurs spirituelles et civiles que l'Occident a accumulées en puisant aux richesses de chacune des nations qui le composent, pour les répandre dans le monde entier.
L'Europe, selon les dispositions de la divine Providence, pourra être encore génératrice et dispensatrice de ces valeurs, si elle sait reprendre conscience de son caractère spirituel propre et renoncer à la divinisation de la puissance.
De même que, dans le passé, les sources de sa force et de sa culture furent éminemment chrétiennes, elle devra, si elle veut retrouver la base et le lien de son unité et de sa vraie grandeur, se décider à revenir à Dieu et aux idéals chrétiens.
Rédigé le 24 décembre 2009 à 19h27 dans Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Histoire, L'UE au quotidien, Notre Eglise, Tendances, Tribune, Vie politique française | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé le 24 décembre 2009 à 18h27 dans Antichristianisme, Chronique culturelle, Chrétien(s) au quotidien, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Bernard Antony, président de Chrétienté-Solidarité et président du Cercle d’Amitié Française Juive et Chrétienne a écrit au grand rabbin Bernheim, aux dirigeants du Congrès juif mondial et du consistoire central de France :
Nous avons lu avec tristesse et même indignation vos déclarations simultanément injustes et intruses contre la décision du pape Benoît XVI de proclamer vénérable, selon la tradition de notre Église, le grand pape Pie XII dont la mémoire est ainsi honorée pour l’héroïcité de ses vertus.
Vos propos, tout spécialement pour les catholiques informés de ce que fut l’action salvatrice de ce pape ne sont pas recevables. Mais, nous le savons, ils sont jugés aussi comme très regrettables par beaucoup de juifs. Ainsi, le rabbin David Dalin et beaucoup de ses confrères en Amérique et ailleurs ont, dans la continuité des grandes personnalités juives de l’après-guerre, à cœur de ne pas laisser salir la mémoire de Pie XII.
Ils évitent ainsi très heureusement qu’une généralisation hâtive, un amalgame qui serait regrettable, ne soient faits par des catholiques qui pourraient confondre vos institutions avec la réalité multiple de ce que nous appelons le pays réel juif.
Dans ce dernier en effet où les gens de culture et d’esprit libre sont nombreux, on se souvient des pièges et artifices de la propagande soviétique à l’égard des Juifs comme des chrétiens, on se méfie des mauvaises révisions historiques et de la désinformation médiatique.
Car vous reprenez hélas, ni plus ni moins, les thèmes de l’odieuse campagne contre la mémoire de Pie XII orchestrée en 1959 par les « services » des pays de l’Est autour de la pièce « Le Vicaire » de « l’agent provocateur culturel » Rolf Hochhuth. Ce dernier, personnage étrange, à la fois manipulateur et manipulé, fut en effet un excellent instrument de déstabilisation. On l’utilisa aux fins de la subversion dans l’Église. On l’utilisa comme apologiste du terrorisme d’extrême-gauche qu’inspiraient les mêmes services. On l’utilisa encore lorsqu’il parut utile à l’URSS pour sa politique arabe de combattre les influences juives. Il devint alors un « négationniste » selon le propos du président du Conseil Central Juif d’Allemagne, Paul Spiegel.
La manœuvre soviétique vis-à-vis de l’Église catholique consistait à éliminer autant que possible, coûte que coûte, son anticommunisme. On le fit avec le réseau Pax de l’ancien collaborateur polonais des nazis, Piasecki, comme avec Hochhuth. Pie XII avait en effet été aussi fermement, aussi prudemment, aussi efficacement anticommuniste qu’antinazi.
Il fallait, pour bien manœuvrer dans l’Église avec les « compagnons de route » des partis communistes, noircir le plus possible son pontificat.
Il fallait, pour en faire le « pape de Hitler », faire oublier les remerciements et hommages que lui avaient adressé les plus éminentes personnalités juives de l’après-guerre telles madame Golda Meir et Albert Einstein.
Il fallait faire oublier les expressions de gratitude du grand rabbin de Jérusalem, Isaac Herzog, et celle du grand rabbin de Rome Elie Toaff. Il fallait occulter l’éloge de sa prudence par le grand rabbin du Danemark, Marcus Melchior, rescapé de l’extermination.
Surtout, pour certains, il fallait en finir avec l’histoire du grand rabbin de Rome pendant la guerre, Israël Zoller. Ce dernier avait tout obtenu de Pie XII : tout l’or possible pour payer les sommes exigées par les nazis, tous les asiles possibles dans les couvents, et Castel Gandolfo, résidence d’été des papes, était devenu un refuge pour trois mille juifs. Plein d’amitié et de reconnaissance pour Pie XII, le grand rabbin de Rome en vient à épouser sa foi dans le Christ et à se convertir, devenant alors Eugenio Zolli, professeur à l’Université Grégorienne.
Est-ce cela que certains juifs, et peut-être parmi vous, reprocheraient finalement le plus à Pie XII ?
Quelques-uns peut-être, n’ayant pas sur le christianisme le regard si amical de l’admirable historien et homme de vérité, Robert Aron ?
Mais maintenant, pour vous aider peut-être et en aider beaucoup à comprendre le soi-disant silence de Pie XII, qui ne fut qu’une prudence non provocatrice, assumée aux limites des plus grands risques, ne pourrait-on pas comparer son attitude à celles de bien de vos éminents prédécesseurs, conducteurs de votre peuple, quelquefois confrontés aux autres tragédies exterminationnistes ou, pour le moins, informés de leur réalité. Que firent-ils donc de mieux que Pie XII ?
Vous le savez, l’Église catholique avec Jean-Paul II a professé des repentances souvent justifiées pour les actes odieux commis par le passé au nom de notre religion. Pourquoi des autorités juives ne reconnaîtraient-elles pas de même, comme le fit la grande journaliste et écrivain Annie Kriegel, l’engagement d’une partie importante (elle en avait été) du peuple juif dans les révolutions communistes au sein desquelles beaucoup assumèrent les plus hauts postes et hélas aussi d’immenses crimes.
Pourquoi ne pas prononcer aussi, pour l’honneur du peuple juif, quelques phrases de repentance ? C’est, en tous cas, déjà, celui du journaliste israélien Sever Plocker (de Yediot Ahronot) que d’avoir demandé le 21 décembre 2006 de « ne pas oublier que quelques-uns des plus grands meurtriers des temps modernes étaient juifs ».
Bien sûr, nous le savons, le plus grand nombre des juifs des pays conquis par le communisme réprouvaient les horreurs des tchékistes. Quoi qu’il en soit, il serait utile et juste que l’on puisse apprécier quelle fut l’attitude des autorités spirituelles juives. Peut-être à ses débuts la révolution russe les inquiéta-t-elle moins que le nazisme plus tard. On veut bien le comprendre. Mais, lorsque Staline s’allia à Hitler, lorsqu’il s’achemina lui aussi vers un antisémitisme de plus en plus menaçant (complot des « blouses blanches, création du Birobidjan, etc…), qu’en fut-il ?
Osera-t-on nous répondre qu’ils étaient tenus au silence pour ne pas exciter le meurtrier psychopathe du Kremlin ?
Le peuple juif étant par vocation ouvert à « l’universel » comme vous aimez souvent le rappeler, vos prédécesseurs n’ont pu être indifférents aux autres génocides du XX° siècle.
Celui perpétré par le régime maçonnique Jeune-Turc, qui a exterminé les Arméniens et autres chrétiens en 1915, fut de proportion comparable à la Shoah et vit se dérouler des crimes et massacres d’une hallucinante cruauté sadique. La communauté juive turque était alors laissée en paix et plutôt prospère.
On aimerait donc savoir quelle fut l’attitude de vos grands rabbins et de vos dirigeants face à cette tragédie qui, on l’a trop oublié, annonça celle de votre peuple. Hitler ne déclara-t-il pas : « Qui se souvient des Arméniens ? » On n’ose pas penser que vos prédécesseurs auraient été plus indifférents pour les chrétiens que Pie XII pour les Juifs. Là aussi les historiens seront heureux d’accéder à toutes les archives.
Le rédacteur de ces lignes, messieurs les rabbins et dirigeants, est l’auteur d’une « Histoire des juifs d’Abraham à nos jours ». Elle a été écrite pour favoriser un véritable dialogue inter-religieux, dans la vérité, sans complaisance frelatée, mais dans le respect et même l’amitié telle que celle qui règne entre patriotes français juifs et chrétiens au sein de notre cercle d’Amitié Française.
Ce livre lui a valu les éloges de beaucoup de lecteurs, chrétiens et juifs. Commandé par plusieurs instituts et périodiques juifs, il n’a fait l’objet de leur part depuis bientôt quatre ans d’aucune réprobation. Bénéficiant d’articles très favorables dans les principales publications du catholicisme de conviction, il n’a suscité d’hostilité que celle de quelques personnages et groupuscules agités par un antisémitisme aussi affligeant que ridicule.
À l’évidence, les moins sommaires me reprochent d’avoir écrit un livre dans la recherche de la vérité et non sans amour pour le peuple « que Dieu s’est choisi » selon l’expression de Malachi Martin. Ils ne me pardonnent pas d’avoir confié que j’ai souvent travaillé en regardant l’image de Sainte Thérèse Bénédicte de la Croix, Edith Stein de son nom de jeune fille.
Entrée au Carmel de Cologne en octobre 1993, sa supérieure, sachant le redoublement de la haine des nazis pour les juifs catholiques, l’envoya pour la protéger au Carmel d’Echt aux Pays-Bas. Mais lorsque ce pays fut envahi et occupé, un plan de déportation des juifs fut élaboré en 1942. Après la protestation des évêques de Hollande le 11 juillet, ce plan fut aussitôt accéléré. L’ordre avait été donné par le Commandant SS de traiter en priorité, avec une sévérité encore plus grande, les juifs catholiques. Edith Stein et sa sœur Rosa furent arrêtées le 2 août. Au camp de transit de Westerbock, le 5 août, elles n’eurent pas droit au minimum de nourriture encore accordé aux juifs. Une petite carmélite juive, et sa sœur, catholique aussi, voilà en effet des personnes qui constituaient un grand danger pour le III° Reich. Il fallait au plus vite les conduire à la mort. Ce fut fait dès l’arrivée à Auschwitz-Birkenau le 9 août 1942.
La protestation courageuse des évêques hollandais n’avait servi à rien, qu’à augmenter et accélérer la fureur meurtrière des exterminateurs. Cela incita Pie XII à mesurer jusqu’où il pouvait aller trop loin… Mais vous, ses accusateurs aujourd’hui, êtes-vous bien sûrs de bien servir la cause de votre peuple ? Les rabbins et les historiens juifs qui défendent la vérité pour Pie XII et n’injurient pas Benoît XVI le font certainement mieux que vous.
Et voici d’ailleurs qu’au moment même où je terminais ces lignes, je prends connaissance des propos délicats, justes et intelligents de Me Serge Klarsfeld déclarant notamment que « Pie XII a joué un rôle déterminant contre Hitler » et comment grâce à ses directives « des milliers de juifs ont pu être sauvés ».
Je vous prie d’agréer, messieurs, l’expression d’une considération proportionnée à l’esprit de vérité dont vous témoignerez en n‘offensant pas la mémoire d’un pape auquel tant de vos coréligionnaires odieusement pourchassés doivent la vie.
Rédigé le 24 décembre 2009 à 18h05 dans Antichristianisme, Chrétien(s) au quotidien, Economie et social, Histoire, La vie des médias, Notre Eglise, Tendances, Tribune | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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